

Monsieur de Fremont a reçu une invitation chez sa tutrice, il y a quelques jours de cela. Une heure de rendez-vous en fin de matinée et l’indication de se retrouver au port militaire, au quai numéro 7, là où mouille la barge impériale « Le Bienveillant de cuivre », vaste navire péniche, offrant la possibilité d’un pont agréable et d’appartements intérieurs agencés à une perfection parfaite. « Le Bienveillant de cuivre » est un navire de plaisance, où les Empereurs et les Impératrices peuvent prendre repas et remonter à l’intérieur des terres, à travers le Fleuve de Lorre jusqu’au château d’été. Nous longerons les côtes passant le repas sur le pont, avant de retourner vers la capitale.
Ce sont des bottes montantes qui accompagnent mon pas, alors que ma tenue, pourrait laisser croire à une robe militaire. Le haut de la vêture ressemble à une redingote militaire d’apparat, accompagné d’une chemise blanc, au col montant fermé par une broche aux effigies de l’empire. Le bas, un pantalon sombre. Le bas arrière de la redingote laisse croire de dos, qu’il s’agit d’une robe, mais ce n’est pas le cas. Les cheveux serrés dans une tresse complexe, à multiples nattes, et d’un diadème simple au front, un porteur d’ombrelle se tient à mon flanc.
J’observe l’étendu aquatique sous mes yeux, amoureuse des ressacs des vagues. J’espère que la compagnie du jeune homme me sera agréable. Je ne connais que peu de chose de Monsieur de Frémont, si ce n’est la réputation de sa famille et les quelques lignes rapportées sur un dossier sur son comportement. Je n’y vais pas à l’aveugle, mais je tiens à découvrir quelques peu mon prétendant, comme chacun d’entre eux.
--Votre majesté, Monsieur de Fremont est arrivé. –M’informe mon majordome alors que je me retourne de mes contemplations.
-Parfait.
J’aurais aimé souligné au porteur que je n’avais pas besoin de lui, mais prendre un coup de soleil sur une peau aussi pâle que la mienne aurait été inconfortable. Rien d’insurmontable, mais j’ai connu enfant le déplaisir d’une insolation, je n’ai pas le temps pour une autre. J’avoue détester laisser le palais pour ces rendez-vous, ou même mon office, j’ai énormément de travail et de chose à prévoir ou faire, malheureusement, je ne peux y déroger. Un simple rendez-vous au palais ne suffit jamais et chaque prétendant analyse sa propre entrevue –pour les plus maniaques.- Si j’ai choisis le navire pour Monsieur de Fremont, c’est bien par rapport à l’histoire de sa famille avec l’entreprise familiale. Je me serais grès de faire quelques originalités à chacun, en marque de respect.
Je me défais de mon emplacement, pour me présenter face à l’arrivée d’Alberich, l’attendant avec patience, qu’il monte sur le navire et que nous nous saluons enfin. Les musiciens qui sont présent pour l’agrément entameront des musiques plus tard, bien que je préfère le bruit des océans, il n’est pas possible de l’imposer tout à fait. Mais j’ai bon espoir qu’ils ne jouent pas. Il est rare que je puisse me sortir du palais, alors, j’espère bien profiter du bruit de l’océan.
Ce sont des bottes montantes qui accompagnent mon pas, alors que ma tenue, pourrait laisser croire à une robe militaire. Le haut de la vêture ressemble à une redingote militaire d’apparat, accompagné d’une chemise blanc, au col montant fermé par une broche aux effigies de l’empire. Le bas, un pantalon sombre. Le bas arrière de la redingote laisse croire de dos, qu’il s’agit d’une robe, mais ce n’est pas le cas. Les cheveux serrés dans une tresse complexe, à multiples nattes, et d’un diadème simple au front, un porteur d’ombrelle se tient à mon flanc.
J’observe l’étendu aquatique sous mes yeux, amoureuse des ressacs des vagues. J’espère que la compagnie du jeune homme me sera agréable. Je ne connais que peu de chose de Monsieur de Frémont, si ce n’est la réputation de sa famille et les quelques lignes rapportées sur un dossier sur son comportement. Je n’y vais pas à l’aveugle, mais je tiens à découvrir quelques peu mon prétendant, comme chacun d’entre eux.
--Votre majesté, Monsieur de Fremont est arrivé. –M’informe mon majordome alors que je me retourne de mes contemplations.
-Parfait.
J’aurais aimé souligné au porteur que je n’avais pas besoin de lui, mais prendre un coup de soleil sur une peau aussi pâle que la mienne aurait été inconfortable. Rien d’insurmontable, mais j’ai connu enfant le déplaisir d’une insolation, je n’ai pas le temps pour une autre. J’avoue détester laisser le palais pour ces rendez-vous, ou même mon office, j’ai énormément de travail et de chose à prévoir ou faire, malheureusement, je ne peux y déroger. Un simple rendez-vous au palais ne suffit jamais et chaque prétendant analyse sa propre entrevue –pour les plus maniaques.- Si j’ai choisis le navire pour Monsieur de Fremont, c’est bien par rapport à l’histoire de sa famille avec l’entreprise familiale. Je me serais grès de faire quelques originalités à chacun, en marque de respect.
Je me défais de mon emplacement, pour me présenter face à l’arrivée d’Alberich, l’attendant avec patience, qu’il monte sur le navire et que nous nous saluons enfin. Les musiciens qui sont présent pour l’agrément entameront des musiques plus tard, bien que je préfère le bruit des océans, il n’est pas possible de l’imposer tout à fait. Mais j’ai bon espoir qu’ils ne jouent pas. Il est rare que je puisse me sortir du palais, alors, j’espère bien profiter du bruit de l’océan.
