

Le jour c'est levé, plein de perplexité, pourtant ce n'est pas un rêve ou plutôt un cauchemar qui est revenu le hanter. Il se lève, un peu hagard dans les premiers pas, pourtant il ne titube pas. Il écarte les couvertures et draps qui le couvre, s'avance dans la pièce froide pour fixer le foyer et une forme recroquevillée devant. Il cligne des yeux, fixant la silhouette de sa femme qui se déplie et lui sourit. Le temps d'un battement de cils elle s'est évanoui dans les lueurs du jour qui emplissent la pièce lentement. Était ce un rêve ou la suite du cauchemar qui le hante depuis ces derniers temps ? La tempête à chamboulé les esprits, chez lui cela s'est traduit par des veillées de plus en plus tardives pour avaler tout le travail qu'il peut. Ce n'est qu'une fois les presque lueurs de l'aube qu'il monte à sa chambre. Alors pourquoi ce rêve une fois de plus ? Il sait qu'il n'est pas éveillé, parce qu'il ne sent pas l'air frais sur sa peau. C'est une fois de plus en sursaut qu'il s'extirpe du rêve. La sueur mouille son front une fois de plus, son regard se porte aussitôt sur l'âtre qui laisse échapper de maigres braises. Aucune silhouette devant, ce n'était qu'un cauchemar de plus, il frotte ses yeux et se lève. Le jour est levé, mais loin d'être haut dans le ciel. Il entend les bruits répétés qui l'ont sortit du sommeil, se drapant d'une cape il descend les escaliers pour trouver un messager.
De nouveau sa présence est demandée, dans un des lieux qu'il apprécie pour une fois. Il s'assure que la missive achève bien les travaux et il referme la porte après avoir prit le journal. Il abandonne celui-ci sur la table et remonte dans la chambre, il remet la cape à sa place, enfile une tenue plus appropriée à l'hiver après avoir fait sa toilette matinale. Lentement il descend, exceptionnellement aujourd'hui il ne retourne pas la pancarte d'ouverture de sa boutique. Il avale un léger petit déjeuner, regroupe ses instruments, s'assure qu'il n’oublie rien. Non pas que refaire le chemin le dérangerait, il n'aimait pas à montrer de l'incompétence, surtout face à un client aussi régulier que le Moulin Rouge. Il se mit en route après avoir une dernière fois vérifié ses outils, le chemin est encore vierge de bruits divers, il est tôt mais suffisamment tard pour apprécier l'éveil de la ville. Il avance tranquillement à travers les rues qui s'animent, passe le chemin jusqu'à l'entrée des artistes sur laquelle il frappe. Le même vient lui ouvrir cependant il semble quelque peu défait, aurait il perdu des proches dans la tempête ? Il ne pose pas la question, il est là pour le travail et sait très bien qu'il ne faut certaine fois ne rien demander si on ne veut pas entendre les choses. Il s'avance jusqu'à la fosse reconstruite, apparemment ici aussi les intempéries n'ont pas été tendres, alors lentement il saisit un à un les instruments et note sur son carnet les travaux à effectuer, ceux à évacuer pour réparation, ceux réparables sur place, et ceux qui ne nécessitaient qu'une révision.
De nouveau sa présence est demandée, dans un des lieux qu'il apprécie pour une fois. Il s'assure que la missive achève bien les travaux et il referme la porte après avoir prit le journal. Il abandonne celui-ci sur la table et remonte dans la chambre, il remet la cape à sa place, enfile une tenue plus appropriée à l'hiver après avoir fait sa toilette matinale. Lentement il descend, exceptionnellement aujourd'hui il ne retourne pas la pancarte d'ouverture de sa boutique. Il avale un léger petit déjeuner, regroupe ses instruments, s'assure qu'il n’oublie rien. Non pas que refaire le chemin le dérangerait, il n'aimait pas à montrer de l'incompétence, surtout face à un client aussi régulier que le Moulin Rouge. Il se mit en route après avoir une dernière fois vérifié ses outils, le chemin est encore vierge de bruits divers, il est tôt mais suffisamment tard pour apprécier l'éveil de la ville. Il avance tranquillement à travers les rues qui s'animent, passe le chemin jusqu'à l'entrée des artistes sur laquelle il frappe. Le même vient lui ouvrir cependant il semble quelque peu défait, aurait il perdu des proches dans la tempête ? Il ne pose pas la question, il est là pour le travail et sait très bien qu'il ne faut certaine fois ne rien demander si on ne veut pas entendre les choses. Il s'avance jusqu'à la fosse reconstruite, apparemment ici aussi les intempéries n'ont pas été tendres, alors lentement il saisit un à un les instruments et note sur son carnet les travaux à effectuer, ceux à évacuer pour réparation, ceux réparables sur place, et ceux qui ne nécessitaient qu'une révision.