Informations
Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.
PERIODE DE JEU
été 440 AM
été 440 AM
Dignitaire - Aÿmĕrik G. de RAUCHECHOYR
2 participants
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Lun 23 Jan 2017 - 2:40
Invité
Invité
DE RAUCHECHOYR
Aÿmĕrik Gůstav
Aÿmĕrik Gůstav
ft. Gérard Butler de By Lilith de Choiseul_HERE
Surnom : ‘‘le Saurien’’
Âge : 37 ans
Métier : Secrétaire de Madame la Ministre de l’Education (..et donc Haut Fonctionnaire du Ministère de l’éducation)
Nationalité et origines : Ambrosienne et né en la capitale impériale. Il appartient à la grande noblesse féodale d’Eskr par sa mère et à la petite noblesse Ambrosienne par son père.
Situation conjugale : Veuf inconsolable.
Culte : Celui de l’empire, pour éviter toute disgrâce. Nuisible à sa tranquillité.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel, quoique pour le moment abstinent
Groupe : Dignitaire, vicomte de Bosset en Ambrosia.
Âge : 37 ans
Métier : Secrétaire de Madame la Ministre de l’Education (..et donc Haut Fonctionnaire du Ministère de l’éducation)
Nationalité et origines : Ambrosienne et né en la capitale impériale. Il appartient à la grande noblesse féodale d’Eskr par sa mère et à la petite noblesse Ambrosienne par son père.
Situation conjugale : Veuf inconsolable.
Culte : Celui de l’empire, pour éviter toute disgrâce. Nuisible à sa tranquillité.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel, quoique pour le moment abstinent
Groupe : Dignitaire, vicomte de Bosset en Ambrosia.
Carnation : Caucasienne.
Taille : 1 mètre 87
Corpulence : Athlétique, très proche de celle des triathlètes et donc une musculature équilibré et fonctionnelle, dépourvue de amas graisseux, significative d’une pratique régulière d’exercice.
Cheveux : Une chevelure plutôt courte et soignée ne masquant pas pour autant les ‘‘grisonances natives’’ sur une masse brune à tendance châtain.
Yeux : Bleu clair avec une couronne pupillaire verte émeraude.
Signes distinctifs : Quelques cicatrices, marques de son petit passage au sein des armées et un tatouage du glyphe ducal sur la seconde côte de son flanc gauche. Il possède aussi un médaillon ogival orné d’un merveilleux jade de même forme et qui dissimule en son sein une miniature de sa défunte épouse et une mèche de cheveu de celle-ci incluse dans l’autre moitié...
Taille : 1 mètre 87
Corpulence : Athlétique, très proche de celle des triathlètes et donc une musculature équilibré et fonctionnelle, dépourvue de amas graisseux, significative d’une pratique régulière d’exercice.
Cheveux : Une chevelure plutôt courte et soignée ne masquant pas pour autant les ‘‘grisonances natives’’ sur une masse brune à tendance châtain.
Yeux : Bleu clair avec une couronne pupillaire verte émeraude.
Signes distinctifs : Quelques cicatrices, marques de son petit passage au sein des armées et un tatouage du glyphe ducal sur la seconde côte de son flanc gauche. Il possède aussi un médaillon ogival orné d’un merveilleux jade de même forme et qui dissimule en son sein une miniature de sa défunte épouse et une mèche de cheveu de celle-ci incluse dans l’autre moitié...
Caractère :
Le premier regard laisse la sensation d’un homme méprisant, suffisant, dénué de toute humanité, ce qui au final n’est pas entièrement faux, mais il ne faut pas s’arrêter à cette vitrine, façade pour éloigner les opportuns et les nuisibles. Cette attitude n’est que le fruit d’une vie personnelle parsemée de malheurs et de la perte d’êtres aimés. La souffrance se part ainsi de l’habit de froideur et de distance, gage d’une protection qui certes s’accompagne d’un isolement tout aussi nuisible. Mais pour l’heure, c’est la seule façon, la seule méthode qui lui permet de garder un lambeau de d’envie de vivre… pour ses enfants !
Certes, Aÿmerik est conscient de sa condition et de l’image qu’il donne, mais l’aspect le plus dangereux de sa personnalité est sa faculté à dissimuler l’étendue de son intelligence et de son érudition. Ce caméléon émotionnel a pour lui un avantage qui contribue plus que significativement à cette manipulation d’image publique, un manque profond d’ambition, somme toute normale avec un tel pedigree.
Volontaire et tenace, ce cher vicomte de Bosset poursuit sans relâche la quête de vérité sur l’éradication de tous les membres mâles de sa famille, ainsi que celle du commanditaire de la tentative d’assassinat sur son fils. Oh, il possède certains éléments pouvant déjà incriminer les divers responsables, mais ce qu’Aÿmerik désire, c’est une annihilation complète et parfaite de ses fous qui ont osé s’en prendre aux siens. La volonté de les salir, de les tâcher de déshonneurs et de hontes et enfin de les ruinés pour n’en faire que des loques qui supplieront une délivrance mortelle.
On peut également dire de lui que sa confiance est très longue à obtenir, mais qu’ensuite sa fidélité n’aura aucun équivalent dans cette société où seuls ses propres intérêts priment sur ceux du plus grand nombre.
Attention !..
Autant, il est difficile d’obtenir sa confiance, autant il est très facile de la perdre… Il vous faudra cous montrez tous aussi loyal qu’il peut l’être et vous ne serez jamais seul dans vos combats.
Mais sa plus grande qualité est l’intelligence, peu importe la complexité d’une situation, il en aura toujours une vision suffisamment claire et anticipative des conséquences, qui serait en mesure de lui nuire, pour habilement s’en protéger.
Utilisant avec parcimonie et prudence des connaissances multiples et variées sur les sciences, l’histoire, la psychologie et les principes économiques des grands marchés financiers, il n’attire que rarement la méfiance.
Peu croyant, il ne se soucie guère des religions, sectes et prédicateurs en tout genre, seule une nuisance à l’intérêt de ses proches peut conduire à de sévères réajustements de la part de cet homme. Trop introverti sur ses convictions religieuses pour en formuler une nouvelle doctrine correspondant parfaitement à sa vision de l’univers.
C'est donc avec une certaine désinvolture qu'il écoute les sermons d'un oncle devenu moine serviteur du culte d'Ameth sans pour autant se laissé endoctriner. Il a donc adopté des cultes qui correspondent à ses priorités, sans pour autant devenir un grand pratiquant…
Le premier regard laisse la sensation d’un homme méprisant, suffisant, dénué de toute humanité, ce qui au final n’est pas entièrement faux, mais il ne faut pas s’arrêter à cette vitrine, façade pour éloigner les opportuns et les nuisibles. Cette attitude n’est que le fruit d’une vie personnelle parsemée de malheurs et de la perte d’êtres aimés. La souffrance se part ainsi de l’habit de froideur et de distance, gage d’une protection qui certes s’accompagne d’un isolement tout aussi nuisible. Mais pour l’heure, c’est la seule façon, la seule méthode qui lui permet de garder un lambeau de d’envie de vivre… pour ses enfants !
Certes, Aÿmerik est conscient de sa condition et de l’image qu’il donne, mais l’aspect le plus dangereux de sa personnalité est sa faculté à dissimuler l’étendue de son intelligence et de son érudition. Ce caméléon émotionnel a pour lui un avantage qui contribue plus que significativement à cette manipulation d’image publique, un manque profond d’ambition, somme toute normale avec un tel pedigree.
Volontaire et tenace, ce cher vicomte de Bosset poursuit sans relâche la quête de vérité sur l’éradication de tous les membres mâles de sa famille, ainsi que celle du commanditaire de la tentative d’assassinat sur son fils. Oh, il possède certains éléments pouvant déjà incriminer les divers responsables, mais ce qu’Aÿmerik désire, c’est une annihilation complète et parfaite de ses fous qui ont osé s’en prendre aux siens. La volonté de les salir, de les tâcher de déshonneurs et de hontes et enfin de les ruinés pour n’en faire que des loques qui supplieront une délivrance mortelle.
On peut également dire de lui que sa confiance est très longue à obtenir, mais qu’ensuite sa fidélité n’aura aucun équivalent dans cette société où seuls ses propres intérêts priment sur ceux du plus grand nombre.
Attention !..
Autant, il est difficile d’obtenir sa confiance, autant il est très facile de la perdre… Il vous faudra cous montrez tous aussi loyal qu’il peut l’être et vous ne serez jamais seul dans vos combats.
Mais sa plus grande qualité est l’intelligence, peu importe la complexité d’une situation, il en aura toujours une vision suffisamment claire et anticipative des conséquences, qui serait en mesure de lui nuire, pour habilement s’en protéger.
Utilisant avec parcimonie et prudence des connaissances multiples et variées sur les sciences, l’histoire, la psychologie et les principes économiques des grands marchés financiers, il n’attire que rarement la méfiance.
Peu croyant, il ne se soucie guère des religions, sectes et prédicateurs en tout genre, seule une nuisance à l’intérêt de ses proches peut conduire à de sévères réajustements de la part de cet homme. Trop introverti sur ses convictions religieuses pour en formuler une nouvelle doctrine correspondant parfaitement à sa vision de l’univers.
C'est donc avec une certaine désinvolture qu'il écoute les sermons d'un oncle devenu moine serviteur du culte d'Ameth sans pour autant se laissé endoctriner. Il a donc adopté des cultes qui correspondent à ses priorités, sans pour autant devenir un grand pratiquant…
Histoire :
Avant tout, il serait contre-productif de se lancer sur la présentation du beau vicomte sans commencer par évoquer succinctement l’histoire familiale qui en a forgé l’essentiel de la personnalité de cette ombre invisible…
Pour faire court tout en restant le moins exhaustif possible, l’arbre généalogique de la famille du vicomte de Bosset eut l’éphémère prétention de s’afficher pompeusement comme celle des Ducs de Rauchechoyr, charge qu’elle ne posséda qu’une cinquantaine d’années avant d’être ramené à une plus juste et réaliste vision de leur statut par celle des de Choiseul. S’en suivit une petite rancœur qui perdure encore de nos jours, dans les tréfonds belliqueux d’un caractère orgueilleux et un temps soi peu arrogant.
Toutefois, il est important d’indiquer qu’avant de suivre les coutumes aristocrates de s’exposer aux nombreux risques des carrières militaires, qui certes attestent et confirment l’appartenance à l’élite de la société et en afficher la suffisance. Ceci ne suffit pas pour tout effacer, les Rauchechoyr avaient un passé trouble de trafiquants, d’informateurs et autres activités peu glorieuses, qui leur octroyèrent une fortune phénoménale. Perdant la raison et la sagesse, cette richesse rapidement acquise leur fit perdre l’intelligence et surtout la sagesse qui les avait accompagné jusqu’à leur premier titre d’anoblissement.
S’en suivit une chute et la perte d’un titre de Duc, qui n’avait de toute manière jamais été reconnu comme efficient dans les actes et perceptions extérieures.
Cependant, la mémoire familiale ne perdit pas ces virtuels acquis sociologique, ni le vilain et cruel retournement de situation, conséquence d’un mur d’indifférences aux événements historique. Estimant que la lignée de Mérimin de Choiseul ne serait pas celle de l’avenir, celle des Rauchechoyr en paya chèrement le prix.
Qui plus est, fruit d’une politique dédiée à conserver le patrimoine, l’héritage d’une filiation aux implexes trop nombreux découlèrent sur la genèse d’un parfait idiot, aisément manipulable tant son égo lui obscurcissait ses maigres capacités cérébrales. Les temps des grands esprits, fins et intuitifs, qui avaient valu la brillante réussite d’un modeste clan de commerçants d’une époque oubliée pour en faire une famille aristocrate admirée et respectée. La disette fut longue, perçu même comme une éternité par les intéressés, le temps que du sang frais dépourvu de certitude vienne réveiller le dragon de la roche tombée…
La ‘reconquista’ se fit jour sous l’égide de l’arrière-grand-père d’Aÿmĕrik, qui d’un mariage avec une fille appartenant à l’une des familles nouvellement anoblis sous le jeu d’allégeances habillement choisi gagnait en influence. Lui-même ayant provoqué la chance en s’illustrant au sein de l’armée pour finir vice-général sous les ordres direct d’un de Choiseul.
Apprécié et surtout très discret, l’ancien modeste chevalier de Rauchechoyr obtint les terres et titres de la baronnie de Bosset. L’ascension ne s’arrêta pas là, car son épouse hérita de quelques seigneuries voisines de Bosset, dont deux autres baronnies. On pourrait croire que ce cher Wilhem Aigmär de Rauchechoyr eut l’ambition d’en espérer plus et bien, en réalité il s’en contenta facilement, car ses espoirs se portèrent sur l’avenir, son fils. Celui-ci choisit la voie des grandes écoles d’administrations et d’économies pour s’ouvrir la porte du ministère du commerce et de l’industrie.
Toujours dans une politique de noyer l’histoire des Rauchechoyr dans celle des grandes familles sans courir les risque d’un retour de flamme à trop en vouloir. L’épouse de ce premier fonctionnaire au sein d’une famille à l’image chevaleresque, un tantinet gonflée par rapport à la vérité, possédait une ascendance des plus hétérogènes. Optant pour une politique matriarcale sans frontière, qui plus est avec une certaine forme de narcissisme à exposer les origines multiples de l’ensemble des entités aux pouvoirs.
Riche de ses diversités Raclusienne, Ambrosienne et autres terres inféodées dans son ascendance, le petit fils de Wilhem et futur père d’Aÿmĕrik ne fit qu’un court passage au sein des armées. Plus intéressé par l’argent et le pouvoir que d’honneurs et de reconnaissance, il gagna une fortune durant la famine nommé par les historiens, « la colère de Natos ».
Étrangement, son apparente invisibilité au sein de la cour, également en plein négoce marital avec le protectorat d’Ameth, lui était très profitable dans les affaires financière qu’il menait en faisant fit des embargos. L’Empire d’Ambrosia fermait volontiers les yeux sur les échanges commerciaux aux interlocuteurs inconnus, tant que le peuple avait de quoi se nourrir et donc maintenir une paix civil toute relative.
On n’avait donc jamais manqué de quoique ce soit au château de Bosset, élevé au rang de vicomté par un empereur Ambrosien en quête d’argent pour entretenir un couteux train de vie en cette période de disette. Adoptant une discrétion absolue, au point où l’apparente inexistence de la famille vicomtale était telle, que la disparition de quatre-vingt pour cent des mâles de celle-ci n’éveilla qu’une maigre enquête de principe. Ou bien, pourrait-on même considérer que personne dans les personnages d’importances ne s’en rendit compte, et d’ailleurs pourquoi le devrait-elle ?..
Ce n’étaient que des fonctionnaires après tout !.. De simples employés de bureau sans pouvoir décisionnel !..
A l’exception du Protectorat d’Ameth qui poussa ses investigations sur la mort de l’un de leur moine, ce qui les porta à s’intéresser au royaume d’Eskr. Afin d’éviter de raviver des braises encore rougeoyante, ils gardèrent un œil sur ce qui semblait être la véritable cible de cet accident dont on ne pouvait en déterminer la nature criminel avec certitude.
Mais avant de s’intéresser à ces disparitions, il serait plus judicieux de revenir sur ce cher Vicomte de Bosset, humble secrétaire de Madame la Ministre de l’Éducation entièrement dévoué à ses enfants et qui semble ignorer le poison qui s’invite au sein même de sa maison…
Sans dévoilé un secret d’état, le vicomte a vécu une enfance heureuse, ne connaissant aucune grande souffrance jusqu’à la fin de son adolescence. Ayant atteint l’âge où les jeunes aristocrates sont confiés aux soins éducatifs des Tuteurs Impériaux pour s’éveiller à la vie mondaine, mais surtout à l’échange culturel d’une expérience hors du giron familial, il n’appris que bien plus tard les accidents de ses frères et la conduite outrageante de son père.
Ce dernier ayant conduit sa femme à un suicide, pourtant qu’elle était mentalement et moralement fragile. Ainsi, le soutient de son mari aux injurieux mensonges calomniés sur elle alors qu’il se livrait lui-même à de multiples orgies charnelles sans se cacher, finirent par avoir raison de son envie de vivre. En réalité, il désirait se débarrasser d’un bagage bien encombrant pour se trouver une nouvelle épouse plus soumise et plus attractive.
Bien qu’Aÿmĕrik et ses frères, qui chérissaient leur mère comme une déesse, se trouvaient tous habilement éloigné par ce père indigne quand la seconde crise familiale éclata. En effet, une crise cardiaque emporta le brillant businessman et médiocre mari la veille d’un mariage si peu digne, programmé deux semaines après l’enterrement de sa première épouse. Des rumeurs naquirent et nécessitèrent qu’une enquête soit menée dans les formes les plus rigoureuses et sous l’égide secrète d’un empereur, qui s’interrogeait sur une possible implication personnelle de cette disparition soudaine de l’un de ses créanciers.
Cependant, rien ne fut découvert et les frères vaquaient déjà à leurs petites affaires, car il avait eux-aussi des déviances dans leur vie intime qui menaçait la pérennité du nom. Courant les garçonnets pour l’un et les vieilles dames pour l’autre, ils avaient renoncés à leur devoir de perpétuation de la ligné vicomtale. Alors quand les deux jeunes gens décédèrent sous la faux de maladies honteuses et des grands noms qui serait souillé si un lien avec ces morts était fait du sceau de l’infamie et de la disgrâce.
Protectorat, Royaume d’Eskr et Empire d’Ambrosia adoptèrent la fable de malencontreux accidents de chasses et de cheval, cachant ainsi des secrets inavouables.
Car, pendant que son arbre généalogique se voyait sérieusement dégarni de branches vivantes, le futur vicomte de Bosset se voyait rattaché au tutorat de Comte de Merteuil, homme érudit et retrouvant dans ce filleul un trop plein de tempérament similaire à celui de son défunt fils. Gagnant en érudition intellectuelle, le jeune homme fut également instruit sur l’art de détruire ses ennemis sans jamais que l’on puisse vous associer avec certitude à ces actes. Bien, il s’agissait de faire en sorte que sa cible perdre son aura à la cour et que la désaffection des puissants le rende vulnérable aux fausses promesses qui finiraient de le détruire. Bien que grand bretteur, Mr de Merteuil considérait la voie des armes ou d’une quelconque fin définitive comme un échec.
Et le comte était un maître dans ce domaine, il vengea son fils avec un tel brio et une telle discipline dans l’élaboration et l’exécution de ses plans, dont seul Aÿmĕrik en connaissait les arcanes, que ce dernier en fut marqué à vie. Cette complicité étant facilitée par une très longue et vieille amitié avec Alphonse, le fils du comte. Alors, quand il rentra de son éducation et découvrit l’étendu du massacre familiale, il se montra à la hauteur de son tuteur.
Persuader que le Royaume d’Eskr et le protectorat d’Ameth étaient derrière cette hécatombe de Rauchechoyr, il se lança dans deux cursus d’études, l’un pour devenir haut-fonctionnaire au sein d’un ministère et l’autre naviguer dans la haute-finance, celle qui ouvre les portes aux secrets. Via ces deux bras de leviers, il saurait obtenir dans un premier la vérité, car un accident d’équitation alors que son frère avait appartenu à la Cavalerie Impériale. Puis, dans un second temps, il se vengerait de ses puissants qui croient pouvoir tout travestir, même la vérité d’une mort.
Très rapidement, le cadet de la fratrie de Rauchechoyr comprit que sa survit risquait d’être éphémère, et il lui fallait s’ouvrir un avenir un tant soi peu protéger. Et comme par un heureux hasard où une destiné avide d’équité et de justice, les vieilles pratiques familiales trouvèrent le juste choix. En effet, le conseil de famille réunissant ses tantes, son dernier oncle, le moine du culte d’Ameth et quelques cousins plus ou moins éloignés arrangèrent un mariage pour lui. Savait-il son existence précaire ?.. Ou simplement cherchait-il à gagner encore un peu plus d’influence.
Manipulant informations et tentatives infructueuses, le futur vicomte accepta de convoler en grande noce avec une jeune femme qu’il savait intelligente et belle, mais surtout rattachée à l’une des trois grandes familles ducales Eskroises. Manquant de la prudence et de la sagesse dont son tuteur lui avait enseigné les biens faits, il entra dans un nid de frôlons où sa petite noblesse ne faisait pas le poids face aux projets des grandes familles.
D’habitude très discrète, la famille de Rauchechoyr faisait parler d’elle sans l’avoir désiré…
De grands encarts dans tous les carnets mondains de la presse écrite claironnait l’étonnante union d’un jeun aristocrate Ambro-Eskrois convolait en première noce avec l’un des plus beau parti de l’empire. L’avenir des vicomtes de Bosset s’attachait à celle de la grande maison ducale de Lornel, puisqu’Aÿmĕrik épousait la seconde nièce du duc.
Etait-ce la plus judicieuse des options, sans-doute pas sur le long terme ?..
Cependant, le couple tira la bonne paille du destin en faisant naitre et fleurir un véritable amour, pure et dépouillé de tout faux-semblant de ce qui n’était au départ que le fruit d’arrangements familiaux. L’argent avait une nouvelle fois fait son œuvre…
Libéré de toute concurrence à la course de l’héritage familial paternel, les jeunes mariés prirent la décision de mettre une certaine distance avec la cour ducale et le royaume d’Eskr. Malgré leur jeunesse, les tous nouveaux Vicomte et Vicomtesse de Bosset comptaient sur très faible probabilité d’hériter du titre ducal pour vivre une vie simple. Dans un premier temps, Aÿmĕrik avait abandonné sa quête de vérité sur le drame subit par sa famille et s’engagea une course à la modernisation des usines familiales et une redistribution de ses avoirs dans les nouvelles technologies et quelques placements conservateurs,
Après avoir restructuré son domaine et avoir habilement fait fructifier la dote de son épouse, le vicomte se retrouvait dans une aisance financière proche de celle des mythique ‘‘Ducs de Rauchechoyr’’. A une différence plus que significative, il avait la connaissance de ce qui leur arriva et la sagesse pour ne pas répéter les mêmes folies. S’embourgeoisant, il s’installa loin de toute cour dans une vie simple, discrète et routinière, prêt à accueillir la dernière petite chose qui leur manquait. Encore sous les bienfaits des dieux, la venue d’une nouvelle génération de seigneur du Bosset s’annonça. Jeune père inexpérimenté, Aÿmĕrik exigea un séjour dans l’hôtel particulier en la capitale pour bénéficier des meilleures conditions d’accouchement.
Agacée et contrarié de ne pas suivre l’une des traditions des Rauchechoyr qu’elle jugeait bonne, sa femme plia face à l’obstination inflexible de l’homme qu’elle aime. Une fois l’enfant venu au monde, les craintes maternelles s’éclaira d’une réalité pénible et pesante. Sa famille reprit la main et imposa un ‘public relation’ sur cette naissance auquel les amoureux ne s’habitueraient jamais.
Sachant plier comme le roseau, ils plièrent aux exigences de leurs familles, et tout comme leur mariage, le baptême de leur fille furent emprunt d’un cérémonial un peu pompeux et ennuyeux. Ils se devaient également de faire quelques apparitions à la cour ducale, mais surtout celle royale d’Eskr, mais ils regagnaient bien vite la douceur de vivre au château ancestral du Bosset.
Et c’est un caractère fort, n’ayant peur de rien, qui s’épanouit durant les trois années bénis de paix et de liberté.
La roue du Karma allait une nouvelle fois faire des siennes en brisant ce petit paradis. Bien qu’au départ, l’annonce d’un nouvel enfant n’avait rien de néfaste, mais les complications de la grossesse avaient elles déclenchées une mise en alerte. Toutefois, comme tous les futurs pères que les médecins abreuvent d’informations savantes et contradictoires, le vicomte en perdait son latin et ne su qui écouter. La vicomtesse y vit le moyen de renouer avec les coutumes de la famille de son époux et décida qu’elle resterait au château pour une naissance ordinaire.
Lorsque l’enfant vint au monde, fragile et un peu chétif, ce qui ne contribuait pas à rassurer un père n’ayant pour expérience que la vue d’une grassouillette de petite fille au sourire charmeur. Aÿmĕrik s’en voulait de ne pas s’être installer pour les derniers mois de grossesse de sa femme en la capitale de l’empire, car son hôpital n’avait rien à voir avec les moyens d’un docteur de province et la petite clinique vicomtale.
L’homme solide et arrogant s’effondra douze jours après la naissance de son fils, sa femme le laissait seul avec une fille de trois ans et un nourrisson à la faible constitution. Dévasté par la mort de son épouse, le fringuant et l’élégant aristocrate ambrosien affichait désormais le masque d’un zombie, dépourvu de toutes émotions et fonctionnant comme un automate dans une routine répétitive.
C’est alors une invraisemblable action venant des terres ducales de sa belle famille que le réveil eut lieu. Un mercenaire avait attenté à la vie de son fils et sans les cris de sa fille, sa perte aurait été plus grande. Comme un coup de soufflet sur les braises d’une colère initiée par l’insupportable vol de son amour. Il chassa l’intrus et le décapita sans autre forme de procès, aidé en cela par un personnel dévoué à la famille du vicomte comme à la leur. Durant quelques mois, il confia ses enfants à une jeune fille issue d’une excellente famille raclusienne et disparu de tous les radars de la bonne société. Longtemps enlisé dans les arcanes de la justice qui aurait été à deux doigts de le condamner pour l’assassinat de son agresseur, mais sans qu’il sache pourquoi, la justice ambrosienne ne prolongea pas l’enquête et déclara un non-lieu. Un peu avant cet attentat et durant toute cette période, quelques cousins de la défunte vicomtesse décédèrent, causant un émoi dans les grandes cours, mais guère partagé en pays du Bosset…
Toutefois, le vicomte se savait innocent, ayant fait sienne la discipline de son tuteur dans l’art de détruire sans tuer, il comprit qu’il ne s’agissait pas que de son fils, mais l’appartenance à la famille Lornel qui lui valait cette insécurité.
Puis, comme s’il n’y avait rien de plus normal de devenir invisible pendant quelques mois, le vicomte de Bosset rentra en ses terres pour préparer le déménagement de toute sa famille et d’une partie de sa domesticité pour une installation à Ambrosia. Il est nécessaire de préciser que l’hôtel particulier de Bosset avait subit de nombreux changements et aménagements, tous centrés sur la sécurité de ses enfants. Il y avait investi une bonne partie de sa fortune, dont une grande part sur des enquêtes de moralité sur tous les occupants de la maisonnée. En partie rassuré, il s’engagea dans une carrière de haut-fonctionnaire, en devenant sous-secrétaire au Ministère de l’Education, où il prenait plaisir à travailler pour le couple Duval.
Cependant, la menace perdurait et le vicomte s’ingénia à passer le plus de temps possible avec ses enfants et à donner les moyens à son personnel de protéger tous les habitants de l’hôtel particulier.
Avait-il relancé sa quête à découvrir la vérité sur la mort de ses frères ?..
Où, se rapprochait-il du pouvoir pour en quérir des sources sur ce qui arrivait à ceux qui appartenait à l’entourage du Duc Haetir ?...
Nul ne le sait, mais on ne voit plus en Aÿmĕrik, qu’un père ultra protecteur et mettant sa vie personnelle de côté pour travailler à créer de bonne condition de vie pour ce qui lui reste de famille. Du moins en apparence !
Avant tout, il serait contre-productif de se lancer sur la présentation du beau vicomte sans commencer par évoquer succinctement l’histoire familiale qui en a forgé l’essentiel de la personnalité de cette ombre invisible…
Pour faire court tout en restant le moins exhaustif possible, l’arbre généalogique de la famille du vicomte de Bosset eut l’éphémère prétention de s’afficher pompeusement comme celle des Ducs de Rauchechoyr, charge qu’elle ne posséda qu’une cinquantaine d’années avant d’être ramené à une plus juste et réaliste vision de leur statut par celle des de Choiseul. S’en suivit une petite rancœur qui perdure encore de nos jours, dans les tréfonds belliqueux d’un caractère orgueilleux et un temps soi peu arrogant.
Toutefois, il est important d’indiquer qu’avant de suivre les coutumes aristocrates de s’exposer aux nombreux risques des carrières militaires, qui certes attestent et confirment l’appartenance à l’élite de la société et en afficher la suffisance. Ceci ne suffit pas pour tout effacer, les Rauchechoyr avaient un passé trouble de trafiquants, d’informateurs et autres activités peu glorieuses, qui leur octroyèrent une fortune phénoménale. Perdant la raison et la sagesse, cette richesse rapidement acquise leur fit perdre l’intelligence et surtout la sagesse qui les avait accompagné jusqu’à leur premier titre d’anoblissement.
S’en suivit une chute et la perte d’un titre de Duc, qui n’avait de toute manière jamais été reconnu comme efficient dans les actes et perceptions extérieures.
Cependant, la mémoire familiale ne perdit pas ces virtuels acquis sociologique, ni le vilain et cruel retournement de situation, conséquence d’un mur d’indifférences aux événements historique. Estimant que la lignée de Mérimin de Choiseul ne serait pas celle de l’avenir, celle des Rauchechoyr en paya chèrement le prix.
Qui plus est, fruit d’une politique dédiée à conserver le patrimoine, l’héritage d’une filiation aux implexes trop nombreux découlèrent sur la genèse d’un parfait idiot, aisément manipulable tant son égo lui obscurcissait ses maigres capacités cérébrales. Les temps des grands esprits, fins et intuitifs, qui avaient valu la brillante réussite d’un modeste clan de commerçants d’une époque oubliée pour en faire une famille aristocrate admirée et respectée. La disette fut longue, perçu même comme une éternité par les intéressés, le temps que du sang frais dépourvu de certitude vienne réveiller le dragon de la roche tombée…
La ‘reconquista’ se fit jour sous l’égide de l’arrière-grand-père d’Aÿmĕrik, qui d’un mariage avec une fille appartenant à l’une des familles nouvellement anoblis sous le jeu d’allégeances habillement choisi gagnait en influence. Lui-même ayant provoqué la chance en s’illustrant au sein de l’armée pour finir vice-général sous les ordres direct d’un de Choiseul.
Apprécié et surtout très discret, l’ancien modeste chevalier de Rauchechoyr obtint les terres et titres de la baronnie de Bosset. L’ascension ne s’arrêta pas là, car son épouse hérita de quelques seigneuries voisines de Bosset, dont deux autres baronnies. On pourrait croire que ce cher Wilhem Aigmär de Rauchechoyr eut l’ambition d’en espérer plus et bien, en réalité il s’en contenta facilement, car ses espoirs se portèrent sur l’avenir, son fils. Celui-ci choisit la voie des grandes écoles d’administrations et d’économies pour s’ouvrir la porte du ministère du commerce et de l’industrie.
Toujours dans une politique de noyer l’histoire des Rauchechoyr dans celle des grandes familles sans courir les risque d’un retour de flamme à trop en vouloir. L’épouse de ce premier fonctionnaire au sein d’une famille à l’image chevaleresque, un tantinet gonflée par rapport à la vérité, possédait une ascendance des plus hétérogènes. Optant pour une politique matriarcale sans frontière, qui plus est avec une certaine forme de narcissisme à exposer les origines multiples de l’ensemble des entités aux pouvoirs.
Riche de ses diversités Raclusienne, Ambrosienne et autres terres inféodées dans son ascendance, le petit fils de Wilhem et futur père d’Aÿmĕrik ne fit qu’un court passage au sein des armées. Plus intéressé par l’argent et le pouvoir que d’honneurs et de reconnaissance, il gagna une fortune durant la famine nommé par les historiens, « la colère de Natos ».
Étrangement, son apparente invisibilité au sein de la cour, également en plein négoce marital avec le protectorat d’Ameth, lui était très profitable dans les affaires financière qu’il menait en faisant fit des embargos. L’Empire d’Ambrosia fermait volontiers les yeux sur les échanges commerciaux aux interlocuteurs inconnus, tant que le peuple avait de quoi se nourrir et donc maintenir une paix civil toute relative.
On n’avait donc jamais manqué de quoique ce soit au château de Bosset, élevé au rang de vicomté par un empereur Ambrosien en quête d’argent pour entretenir un couteux train de vie en cette période de disette. Adoptant une discrétion absolue, au point où l’apparente inexistence de la famille vicomtale était telle, que la disparition de quatre-vingt pour cent des mâles de celle-ci n’éveilla qu’une maigre enquête de principe. Ou bien, pourrait-on même considérer que personne dans les personnages d’importances ne s’en rendit compte, et d’ailleurs pourquoi le devrait-elle ?..
Ce n’étaient que des fonctionnaires après tout !.. De simples employés de bureau sans pouvoir décisionnel !..
A l’exception du Protectorat d’Ameth qui poussa ses investigations sur la mort de l’un de leur moine, ce qui les porta à s’intéresser au royaume d’Eskr. Afin d’éviter de raviver des braises encore rougeoyante, ils gardèrent un œil sur ce qui semblait être la véritable cible de cet accident dont on ne pouvait en déterminer la nature criminel avec certitude.
Mais avant de s’intéresser à ces disparitions, il serait plus judicieux de revenir sur ce cher Vicomte de Bosset, humble secrétaire de Madame la Ministre de l’Éducation entièrement dévoué à ses enfants et qui semble ignorer le poison qui s’invite au sein même de sa maison…
Sans dévoilé un secret d’état, le vicomte a vécu une enfance heureuse, ne connaissant aucune grande souffrance jusqu’à la fin de son adolescence. Ayant atteint l’âge où les jeunes aristocrates sont confiés aux soins éducatifs des Tuteurs Impériaux pour s’éveiller à la vie mondaine, mais surtout à l’échange culturel d’une expérience hors du giron familial, il n’appris que bien plus tard les accidents de ses frères et la conduite outrageante de son père.
Ce dernier ayant conduit sa femme à un suicide, pourtant qu’elle était mentalement et moralement fragile. Ainsi, le soutient de son mari aux injurieux mensonges calomniés sur elle alors qu’il se livrait lui-même à de multiples orgies charnelles sans se cacher, finirent par avoir raison de son envie de vivre. En réalité, il désirait se débarrasser d’un bagage bien encombrant pour se trouver une nouvelle épouse plus soumise et plus attractive.
Bien qu’Aÿmĕrik et ses frères, qui chérissaient leur mère comme une déesse, se trouvaient tous habilement éloigné par ce père indigne quand la seconde crise familiale éclata. En effet, une crise cardiaque emporta le brillant businessman et médiocre mari la veille d’un mariage si peu digne, programmé deux semaines après l’enterrement de sa première épouse. Des rumeurs naquirent et nécessitèrent qu’une enquête soit menée dans les formes les plus rigoureuses et sous l’égide secrète d’un empereur, qui s’interrogeait sur une possible implication personnelle de cette disparition soudaine de l’un de ses créanciers.
Cependant, rien ne fut découvert et les frères vaquaient déjà à leurs petites affaires, car il avait eux-aussi des déviances dans leur vie intime qui menaçait la pérennité du nom. Courant les garçonnets pour l’un et les vieilles dames pour l’autre, ils avaient renoncés à leur devoir de perpétuation de la ligné vicomtale. Alors quand les deux jeunes gens décédèrent sous la faux de maladies honteuses et des grands noms qui serait souillé si un lien avec ces morts était fait du sceau de l’infamie et de la disgrâce.
Protectorat, Royaume d’Eskr et Empire d’Ambrosia adoptèrent la fable de malencontreux accidents de chasses et de cheval, cachant ainsi des secrets inavouables.
Car, pendant que son arbre généalogique se voyait sérieusement dégarni de branches vivantes, le futur vicomte de Bosset se voyait rattaché au tutorat de Comte de Merteuil, homme érudit et retrouvant dans ce filleul un trop plein de tempérament similaire à celui de son défunt fils. Gagnant en érudition intellectuelle, le jeune homme fut également instruit sur l’art de détruire ses ennemis sans jamais que l’on puisse vous associer avec certitude à ces actes. Bien, il s’agissait de faire en sorte que sa cible perdre son aura à la cour et que la désaffection des puissants le rende vulnérable aux fausses promesses qui finiraient de le détruire. Bien que grand bretteur, Mr de Merteuil considérait la voie des armes ou d’une quelconque fin définitive comme un échec.
Et le comte était un maître dans ce domaine, il vengea son fils avec un tel brio et une telle discipline dans l’élaboration et l’exécution de ses plans, dont seul Aÿmĕrik en connaissait les arcanes, que ce dernier en fut marqué à vie. Cette complicité étant facilitée par une très longue et vieille amitié avec Alphonse, le fils du comte. Alors, quand il rentra de son éducation et découvrit l’étendu du massacre familiale, il se montra à la hauteur de son tuteur.
Persuader que le Royaume d’Eskr et le protectorat d’Ameth étaient derrière cette hécatombe de Rauchechoyr, il se lança dans deux cursus d’études, l’un pour devenir haut-fonctionnaire au sein d’un ministère et l’autre naviguer dans la haute-finance, celle qui ouvre les portes aux secrets. Via ces deux bras de leviers, il saurait obtenir dans un premier la vérité, car un accident d’équitation alors que son frère avait appartenu à la Cavalerie Impériale. Puis, dans un second temps, il se vengerait de ses puissants qui croient pouvoir tout travestir, même la vérité d’une mort.
Très rapidement, le cadet de la fratrie de Rauchechoyr comprit que sa survit risquait d’être éphémère, et il lui fallait s’ouvrir un avenir un tant soi peu protéger. Et comme par un heureux hasard où une destiné avide d’équité et de justice, les vieilles pratiques familiales trouvèrent le juste choix. En effet, le conseil de famille réunissant ses tantes, son dernier oncle, le moine du culte d’Ameth et quelques cousins plus ou moins éloignés arrangèrent un mariage pour lui. Savait-il son existence précaire ?.. Ou simplement cherchait-il à gagner encore un peu plus d’influence.
Manipulant informations et tentatives infructueuses, le futur vicomte accepta de convoler en grande noce avec une jeune femme qu’il savait intelligente et belle, mais surtout rattachée à l’une des trois grandes familles ducales Eskroises. Manquant de la prudence et de la sagesse dont son tuteur lui avait enseigné les biens faits, il entra dans un nid de frôlons où sa petite noblesse ne faisait pas le poids face aux projets des grandes familles.
D’habitude très discrète, la famille de Rauchechoyr faisait parler d’elle sans l’avoir désiré…
De grands encarts dans tous les carnets mondains de la presse écrite claironnait l’étonnante union d’un jeun aristocrate Ambro-Eskrois convolait en première noce avec l’un des plus beau parti de l’empire. L’avenir des vicomtes de Bosset s’attachait à celle de la grande maison ducale de Lornel, puisqu’Aÿmĕrik épousait la seconde nièce du duc.
Etait-ce la plus judicieuse des options, sans-doute pas sur le long terme ?..
Cependant, le couple tira la bonne paille du destin en faisant naitre et fleurir un véritable amour, pure et dépouillé de tout faux-semblant de ce qui n’était au départ que le fruit d’arrangements familiaux. L’argent avait une nouvelle fois fait son œuvre…
Libéré de toute concurrence à la course de l’héritage familial paternel, les jeunes mariés prirent la décision de mettre une certaine distance avec la cour ducale et le royaume d’Eskr. Malgré leur jeunesse, les tous nouveaux Vicomte et Vicomtesse de Bosset comptaient sur très faible probabilité d’hériter du titre ducal pour vivre une vie simple. Dans un premier temps, Aÿmĕrik avait abandonné sa quête de vérité sur le drame subit par sa famille et s’engagea une course à la modernisation des usines familiales et une redistribution de ses avoirs dans les nouvelles technologies et quelques placements conservateurs,
Après avoir restructuré son domaine et avoir habilement fait fructifier la dote de son épouse, le vicomte se retrouvait dans une aisance financière proche de celle des mythique ‘‘Ducs de Rauchechoyr’’. A une différence plus que significative, il avait la connaissance de ce qui leur arriva et la sagesse pour ne pas répéter les mêmes folies. S’embourgeoisant, il s’installa loin de toute cour dans une vie simple, discrète et routinière, prêt à accueillir la dernière petite chose qui leur manquait. Encore sous les bienfaits des dieux, la venue d’une nouvelle génération de seigneur du Bosset s’annonça. Jeune père inexpérimenté, Aÿmĕrik exigea un séjour dans l’hôtel particulier en la capitale pour bénéficier des meilleures conditions d’accouchement.
Agacée et contrarié de ne pas suivre l’une des traditions des Rauchechoyr qu’elle jugeait bonne, sa femme plia face à l’obstination inflexible de l’homme qu’elle aime. Une fois l’enfant venu au monde, les craintes maternelles s’éclaira d’une réalité pénible et pesante. Sa famille reprit la main et imposa un ‘public relation’ sur cette naissance auquel les amoureux ne s’habitueraient jamais.
Sachant plier comme le roseau, ils plièrent aux exigences de leurs familles, et tout comme leur mariage, le baptême de leur fille furent emprunt d’un cérémonial un peu pompeux et ennuyeux. Ils se devaient également de faire quelques apparitions à la cour ducale, mais surtout celle royale d’Eskr, mais ils regagnaient bien vite la douceur de vivre au château ancestral du Bosset.
Et c’est un caractère fort, n’ayant peur de rien, qui s’épanouit durant les trois années bénis de paix et de liberté.
La roue du Karma allait une nouvelle fois faire des siennes en brisant ce petit paradis. Bien qu’au départ, l’annonce d’un nouvel enfant n’avait rien de néfaste, mais les complications de la grossesse avaient elles déclenchées une mise en alerte. Toutefois, comme tous les futurs pères que les médecins abreuvent d’informations savantes et contradictoires, le vicomte en perdait son latin et ne su qui écouter. La vicomtesse y vit le moyen de renouer avec les coutumes de la famille de son époux et décida qu’elle resterait au château pour une naissance ordinaire.
Lorsque l’enfant vint au monde, fragile et un peu chétif, ce qui ne contribuait pas à rassurer un père n’ayant pour expérience que la vue d’une grassouillette de petite fille au sourire charmeur. Aÿmĕrik s’en voulait de ne pas s’être installer pour les derniers mois de grossesse de sa femme en la capitale de l’empire, car son hôpital n’avait rien à voir avec les moyens d’un docteur de province et la petite clinique vicomtale.
L’homme solide et arrogant s’effondra douze jours après la naissance de son fils, sa femme le laissait seul avec une fille de trois ans et un nourrisson à la faible constitution. Dévasté par la mort de son épouse, le fringuant et l’élégant aristocrate ambrosien affichait désormais le masque d’un zombie, dépourvu de toutes émotions et fonctionnant comme un automate dans une routine répétitive.
C’est alors une invraisemblable action venant des terres ducales de sa belle famille que le réveil eut lieu. Un mercenaire avait attenté à la vie de son fils et sans les cris de sa fille, sa perte aurait été plus grande. Comme un coup de soufflet sur les braises d’une colère initiée par l’insupportable vol de son amour. Il chassa l’intrus et le décapita sans autre forme de procès, aidé en cela par un personnel dévoué à la famille du vicomte comme à la leur. Durant quelques mois, il confia ses enfants à une jeune fille issue d’une excellente famille raclusienne et disparu de tous les radars de la bonne société. Longtemps enlisé dans les arcanes de la justice qui aurait été à deux doigts de le condamner pour l’assassinat de son agresseur, mais sans qu’il sache pourquoi, la justice ambrosienne ne prolongea pas l’enquête et déclara un non-lieu. Un peu avant cet attentat et durant toute cette période, quelques cousins de la défunte vicomtesse décédèrent, causant un émoi dans les grandes cours, mais guère partagé en pays du Bosset…
Toutefois, le vicomte se savait innocent, ayant fait sienne la discipline de son tuteur dans l’art de détruire sans tuer, il comprit qu’il ne s’agissait pas que de son fils, mais l’appartenance à la famille Lornel qui lui valait cette insécurité.
Puis, comme s’il n’y avait rien de plus normal de devenir invisible pendant quelques mois, le vicomte de Bosset rentra en ses terres pour préparer le déménagement de toute sa famille et d’une partie de sa domesticité pour une installation à Ambrosia. Il est nécessaire de préciser que l’hôtel particulier de Bosset avait subit de nombreux changements et aménagements, tous centrés sur la sécurité de ses enfants. Il y avait investi une bonne partie de sa fortune, dont une grande part sur des enquêtes de moralité sur tous les occupants de la maisonnée. En partie rassuré, il s’engagea dans une carrière de haut-fonctionnaire, en devenant sous-secrétaire au Ministère de l’Education, où il prenait plaisir à travailler pour le couple Duval.
Cependant, la menace perdurait et le vicomte s’ingénia à passer le plus de temps possible avec ses enfants et à donner les moyens à son personnel de protéger tous les habitants de l’hôtel particulier.
Avait-il relancé sa quête à découvrir la vérité sur la mort de ses frères ?..
Où, se rapprochait-il du pouvoir pour en quérir des sources sur ce qui arrivait à ceux qui appartenait à l’entourage du Duc Haetir ?...
Nul ne le sait, mais on ne voit plus en Aÿmĕrik, qu’un père ultra protecteur et mettant sa vie personnelle de côté pour travailler à créer de bonne condition de vie pour ce qui lui reste de famille. Du moins en apparence !
Divers :
A l'image de sa famille, bien peu connaisse son existence, tant la famille a développé un don certain à l'anonymat presque parfait. Bien qu'il n'a pas vocation à faire le 'Narcisse', le vicomte de Bosset prête une attention importante à sa mise, veillant à ne jamais suivre la dernière mode pour préférer celle qui la précède.
Ce n'est pas non plus un noctambule, ou plus exactement, il se garde de fréquenter à visage découvert des lieux fréquentés par ses relations, qu'elles soient personnelles ou professionnelles...
Il affiche donc une élégance inutile, tant sa routine le conduit à ne laisser que peu d'empreintes ou des traces de son passage, travaillant sans relâche à satisfaire les exigences de sa patronne pour assurer un train de vie des plus agréables à sa raison de vivre, ses enfants...
Toutefois, une part ténébreuse du personnage est soigneusement dissimulée pour ne pas attirer l’attention sur lui. Il possède une sorte de service de renseignement qui couvre tous les territoires et les milieux à l’exception de la Théocratie d’Ameth. Ce qui explique la méfiance naturelle et instinctive qu’il éprouve envers les représentants de ce régime.
Beatrix et Maxence (PNJs Injouable) : Ce sont les deux enfants du vicomte, sa fille aînée née à l’hôpital d’Ambrosia en 428 et son fils né au château de Bosset trois ans plus tard, et qui perdirent leur mère douze jours après la naissance de Maxence. Ce dernier garde une étrange fébrilité, affichant une santé chancelante dont on ignore les causes… Ce qui a développé un curieux comportement de mère poule de sa sœur, qui ne peut s’empêcher de détester sa gouvernante, persuadée qu’elle est responsable de cet état, et qui sait !...
Jane Nelson (PNJ/PV) : Gouvernante de condition, elle est chargée de l’éducation des enfants du vicomte jusqu’à ce qu’ils soient pris en charge par les ‘‘Tuteurs de la cour’’. Certes, la jeune femme affiche l’habit d’une droiture assumée tout en gardant une tendresse toute maternelle, toutefois la demoiselle Nelson dissimule une part sombre et obsessionnelle de sa personnalité. La très belle brune au regard de braises ardentes est issue d’une vieille famille bourgeoise Raclusienne, à laquelle elle ne cessait de causer des ennuis à la chaîne, et qui profita donc de la première occasion de refiler cette source de problèmes en séries à un aristocrate. Ils ne s’attendaient sans-doute pas que cette apprentie séductrice s’entiche de son patron, au point de lui voué un amour qui transforme sa personnalité délurée en celle d’une femme ciblant sa prochaine proie. La malheureuse devra pourtant vite abandonner cette quête tant le vicomte se perd dans l’abîme de son amour perdu…
Niles Richmond (PNJ/PV) : Majordome de la famille, qui gère le personnel du palais Bosset, demeure Ambrosienne de la famille.
Il appartient à la neuvième génération de la famille Richmond a occupé ce poste exigeant, responsable des employés de services que sont la cuisinière (Rosemonde) et son assistante, un domestique (Paul), les deux femmes de chambres (Judith, qui opère au service également, et Madeleine) et le jardinier (Hector).
Son rôle ne s’arrête pas dans l’établissement du planning des charges quotidiennes et la surveillance que tout s’opère correctement pour l’honneur et le prestige de la famille de Rauchechoyr. En effet, il gère également l’aspect financier du coût général de cette petite entreprise, qu’est l’Hôtel Particulier du Bosset.
A l'image de sa famille, bien peu connaisse son existence, tant la famille a développé un don certain à l'anonymat presque parfait. Bien qu'il n'a pas vocation à faire le 'Narcisse', le vicomte de Bosset prête une attention importante à sa mise, veillant à ne jamais suivre la dernière mode pour préférer celle qui la précède.
Ce n'est pas non plus un noctambule, ou plus exactement, il se garde de fréquenter à visage découvert des lieux fréquentés par ses relations, qu'elles soient personnelles ou professionnelles...
Il affiche donc une élégance inutile, tant sa routine le conduit à ne laisser que peu d'empreintes ou des traces de son passage, travaillant sans relâche à satisfaire les exigences de sa patronne pour assurer un train de vie des plus agréables à sa raison de vivre, ses enfants...
Toutefois, une part ténébreuse du personnage est soigneusement dissimulée pour ne pas attirer l’attention sur lui. Il possède une sorte de service de renseignement qui couvre tous les territoires et les milieux à l’exception de la Théocratie d’Ameth. Ce qui explique la méfiance naturelle et instinctive qu’il éprouve envers les représentants de ce régime.
La Maisonnée
Beatrix et Maxence (PNJs Injouable) : Ce sont les deux enfants du vicomte, sa fille aînée née à l’hôpital d’Ambrosia en 428 et son fils né au château de Bosset trois ans plus tard, et qui perdirent leur mère douze jours après la naissance de Maxence. Ce dernier garde une étrange fébrilité, affichant une santé chancelante dont on ignore les causes… Ce qui a développé un curieux comportement de mère poule de sa sœur, qui ne peut s’empêcher de détester sa gouvernante, persuadée qu’elle est responsable de cet état, et qui sait !...
Jane Nelson (PNJ/PV) : Gouvernante de condition, elle est chargée de l’éducation des enfants du vicomte jusqu’à ce qu’ils soient pris en charge par les ‘‘Tuteurs de la cour’’. Certes, la jeune femme affiche l’habit d’une droiture assumée tout en gardant une tendresse toute maternelle, toutefois la demoiselle Nelson dissimule une part sombre et obsessionnelle de sa personnalité. La très belle brune au regard de braises ardentes est issue d’une vieille famille bourgeoise Raclusienne, à laquelle elle ne cessait de causer des ennuis à la chaîne, et qui profita donc de la première occasion de refiler cette source de problèmes en séries à un aristocrate. Ils ne s’attendaient sans-doute pas que cette apprentie séductrice s’entiche de son patron, au point de lui voué un amour qui transforme sa personnalité délurée en celle d’une femme ciblant sa prochaine proie. La malheureuse devra pourtant vite abandonner cette quête tant le vicomte se perd dans l’abîme de son amour perdu…
Niles Richmond (PNJ/PV) : Majordome de la famille, qui gère le personnel du palais Bosset, demeure Ambrosienne de la famille.
Il appartient à la neuvième génération de la famille Richmond a occupé ce poste exigeant, responsable des employés de services que sont la cuisinière (Rosemonde) et son assistante, un domestique (Paul), les deux femmes de chambres (Judith, qui opère au service également, et Madeleine) et le jardinier (Hector).
Son rôle ne s’arrête pas dans l’établissement du planning des charges quotidiennes et la surveillance que tout s’opère correctement pour l’honneur et le prestige de la famille de Rauchechoyr. En effet, il gère également l’aspect financier du coût général de cette petite entreprise, qu’est l’Hôtel Particulier du Bosset.
Date de naissance : En l’an de grâce 1971, mais je déteste que l’on me souhaite mon anniversaire, je n’en dirais donc pas plus !
Double compte : Pas prévu !
Commentaire : J’ai adoré Ambrosia, première génération, c’est bien partie pour qu’il en soit de même pour cette version.
Double compte : Pas prévu !
Commentaire : J’ai adoré Ambrosia, première génération, c’est bien partie pour qu’il en soit de même pour cette version.
Lun 23 Jan 2017 - 7:57
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Nationalité : Ambrosienne
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Bienvenue mon cher en Ambrosia, je suis bienheureuse de vous accueillir ici!
Lun 23 Jan 2017 - 9:57
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
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Mar 24 Jan 2017 - 11:01
Invité
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Bonpatron passé sur le caractère (j'ai choisi le duché le plus calme finalement !), il ne me reste plus que l'histoire a raconté et l'environnement (Divers) a décrire !
Mais bon, faut que je bosse un peu... ... je devrais poster tout ça avant samedi après-midi !
EDIT 30.01.2017 :
Prier le dieu du commerce, ça le fait comme masque de dissimulation !
Bon, je me suis relu durant le WE, mais j'ai fainéanté, j'ai laissé tomber le passage par bonpatron...
Mais bon, faut que je bosse un peu... ... je devrais poster tout ça avant samedi après-midi !
EDIT 30.01.2017 :
Prier le dieu du commerce, ça le fait comme masque de dissimulation !
Bon, je me suis relu durant le WE, mais j'ai fainéanté, j'ai laissé tomber le passage par bonpatron...
Mar 31 Jan 2017 - 14:11
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
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Bon, Aymerik, je vais modérer ta fiche !
En premier lieu, je tiens à signaler que je trouve ton travail impressionnant dans la mesure où tu as vraiment essayé d’intégrer le background du forum dans ta fiche. Toutefois, cela ne se fait pas sans heurts, ce qui est un peu dommage.
- Par exemple, il te manque des mots par ci par là, je les devine, certes, mais une bonne relecture te ferait du bien…
- Ensuite, les enfants, j’avoue que c’est assez flou, le fils d’aymerik apparait d’un seul coup comme ça dans la fiche, on ne sait pas d’où il sort.
- Enfin, cette question d’insignifiance. Moi, en soi, elle ne me gêne pas tant que les conséquences que tu lui prête. En te cachant sous l’insignifiance, tu justifies la possibilité de faire autant de « meurtres » que tu veux… et ça, ça me gêne beaucoup… surtout qu’elle n’est pas si inignifiainte que cela, puisqu’elle est assez riche pour subvenir aux besoins d’un souverain en manque d’argent, donc on t’a à l’œil… et je ne parle même pas du protectorat qui veille à ses ecclésiastique comme à la prunelle de ses yeux… et qui, de fait n’aurait jamais hérité puisque, logiquement, en devenant ecclésiastique, il aurait renoncé à tout droit d’héritage pour lui et ses descendants…
Et quand bien même ! Tu penses bien que même si ce n’est pas impossible, autant de morts suspectes en faveur de l’héritier…. Ça fait bizarre… c’est louche… y a enquête impériale, en toute logique…
Voilà, je pense avoir fait le tour, si tu as des questions n’hésite pas ^^
En premier lieu, je tiens à signaler que je trouve ton travail impressionnant dans la mesure où tu as vraiment essayé d’intégrer le background du forum dans ta fiche. Toutefois, cela ne se fait pas sans heurts, ce qui est un peu dommage.
- Par exemple, il te manque des mots par ci par là, je les devine, certes, mais une bonne relecture te ferait du bien…
- Ensuite, les enfants, j’avoue que c’est assez flou, le fils d’aymerik apparait d’un seul coup comme ça dans la fiche, on ne sait pas d’où il sort.
- Enfin, cette question d’insignifiance. Moi, en soi, elle ne me gêne pas tant que les conséquences que tu lui prête. En te cachant sous l’insignifiance, tu justifies la possibilité de faire autant de « meurtres » que tu veux… et ça, ça me gêne beaucoup… surtout qu’elle n’est pas si inignifiainte que cela, puisqu’elle est assez riche pour subvenir aux besoins d’un souverain en manque d’argent, donc on t’a à l’œil… et je ne parle même pas du protectorat qui veille à ses ecclésiastique comme à la prunelle de ses yeux… et qui, de fait n’aurait jamais hérité puisque, logiquement, en devenant ecclésiastique, il aurait renoncé à tout droit d’héritage pour lui et ses descendants…
Et quand bien même ! Tu penses bien que même si ce n’est pas impossible, autant de morts suspectes en faveur de l’héritier…. Ça fait bizarre… c’est louche… y a enquête impériale, en toute logique…
Voilà, je pense avoir fait le tour, si tu as des questions n’hésite pas ^^
Mar 31 Jan 2017 - 14:39
Invité
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Pour la relecture découlant sur le comblement des brèches, j'y retourne de suite !
Pour les enfants, j'étais tellement dans l’obsession de faire court, car j'ai une tendance à me laisser entraîner dans de longues narrations (.. souvent trop longue pour que la fiche soit attractive aux futurs partenaires !..). Mais je vais cogité un petit quelque chose...
Pour les morts en cascade, peut-être devrais-je présenter ce qui reste des accidents, hein !..
Car, attention, mon vicomte à les mains propres, il s'avère juste qu'un curieux hasard de circonstances a fini par cumuler les malheur en une si brève période.
Ouais, bon ben je vais reprendre tout ça, je vais peut-être même intégrer une évocation à sa relation professionnelle avec les époux Duval...
Bon je reviens plus tard !
Pour les enfants, j'étais tellement dans l’obsession de faire court, car j'ai une tendance à me laisser entraîner dans de longues narrations (.. souvent trop longue pour que la fiche soit attractive aux futurs partenaires !..). Mais je vais cogité un petit quelque chose...
Pour les morts en cascade, peut-être devrais-je présenter ce qui reste des accidents, hein !..
Car, attention, mon vicomte à les mains propres, il s'avère juste qu'un curieux hasard de circonstances a fini par cumuler les malheur en une si brève période.
Ouais, bon ben je vais reprendre tout ça, je vais peut-être même intégrer une évocation à sa relation professionnelle avec les époux Duval...
Bon je reviens plus tard !
Mer 1 Fév 2017 - 18:44
Everard Zullheimer
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Et bien nous y sommes ! Fais juste attention en jeu, le culte d’Ameth est très exigeant mine de rien, comme tout groupe fanatique, si je puis dire xD
Tu es donc validé
Tu as la possibilité de créer ton carnet de bal désormais ou encore de proposer des pv si tu en as besoin !
Si tu ne l'as pas fait, peux-tu remplir ton profil correctement s'il te plait?
Pas la peine de passer dans les registres puisque nous les mettrons obligatoirement à jour en te validant, top non ? Mais si jamais tu as besoin de nous communiquer quoi que ce soit, cette partie du forum fera certainement ton bonheur !
Maintenant tu as toutes tes clés en mains pour jouer, n’oublies pas, pour la bonne harmonie du forum, que quand tu as finis un rp, il faut passer par ici! En attendant et bien va comploter !
Qu’Ameth veille sur toi !
Tu es donc validé
Tu as la possibilité de créer ton carnet de bal désormais ou encore de proposer des pv si tu en as besoin !
Si tu ne l'as pas fait, peux-tu remplir ton profil correctement s'il te plait?
Pas la peine de passer dans les registres puisque nous les mettrons obligatoirement à jour en te validant, top non ? Mais si jamais tu as besoin de nous communiquer quoi que ce soit, cette partie du forum fera certainement ton bonheur !
Maintenant tu as toutes tes clés en mains pour jouer, n’oublies pas, pour la bonne harmonie du forum, que quand tu as finis un rp, il faut passer par ici! En attendant et bien va comploter !
Qu’Ameth veille sur toi !
FELICITATION TU ES LE DIXIEME VALIDE !
Mer 1 Fév 2017 - 19:12
Invité
Invité
Mon Secrétaire enfin ! Bienvenue ! Allez hop hop hop au boulot !
Mer 1 Fév 2017 - 19:50
Invité
Invité
Oui patronnnnneeee !.... A vos ordres, patronnnneeee!...
Merci, cher premier serviteur d'Ameth...
Merci, cher premier serviteur d'Ameth...
Mer 1 Fév 2017 - 20:18
Invité
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bonjour bienvenue.
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