Les Chroniques d'Ambrosia - RPG 18+
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Informations

Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.

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De Choiseul Nicolas
ft.  Kit Harington
Surnom : Batard (dans son dos)
Âge : 25 ans
Métier : Soldat de l'armée ambrosienne
Nationalité et origines : Ambrosien
Situation conjugale : Célibataire
Culte : Culte d'Aernia
Orientation sexuelle : Hétéro
Groupe : Dignitaire
Carnation : Blanche
Taille : 1m82
Corpulence : Moyenne
Cheveux : courts noir et bouclés
Yeux : Bleu
Signe(s) distinctif(s) : Tache de naissance présente ( ou pas, faut regarder son postérieur pour ça)
Caractère Salut à toi Invité, et merci de t'arrêter ici le temps de comprendre qui je suis. Enfin, on ne sait jamais soi même complètement qui on peut être donc parlons simplement de comment je réagis dans les diverses situations de ma vie.

Tout d'abord il est important de notifier ma famille, bien que brisée dans mon enfance, je suis profondément et viscéralement attaché aux miens. Proche ou un peu moins, quand vous entrez dans mon monde, je suis d'une fiabilité intense. Un adjectif qui me qualifie bien également, je vis ma vie comme je pense qu'elle doit être vécu, n'y voyez pas là un désintérêt pour les autres au contraire. Je ne serais pas soldat si je ne voulais pas aider mon empire ou soutenir mon prochain. Prenez plutôt cela comme une façon de voir le quotidien qui me permet d'évoluer parmi les diverses situations que j'affronte avec intellect.

Les batailles d'ailleurs, j'y suis préparé mais de façon subtile, de qui je tiens cela de Nemrod L'Envers bien entendu. On parlait de famille ? Voici la figure paternelle pour moi, l'homme qui m'a guidé et aidé à suivre les traces des grands de notre famille. Si mon esprit arrive à synthétiser les situations et me permet d'établir des plans, ce qui en résumé fait de moi un bon stratège, ce n'est que grâce à lui. Pour les missions ou pour la vie en général je suis d'un naturel volontaire, pas forcément dans mon intérêt souvent, mais s'il y a des choses à faire et des choix à donner, je suis en général l'un des premiers à me présenter à la disposition de la situation donnée. Même si ce n'est pas la plus honorables des choses à faire, je me porte volontaire par respect envers mon empire. Les actions doivent être faites et je ne rechigne pas à la tâche, peu importe celle qui m'incombe.

Vous allez penser que je ne suis qu'un pion bien docile sur un échiquier, ce qui n'est pas forcément exact. J'ai mes propres idées, le fait ait que je ne les expose pas forcément aux autres. La principale raison à cela est que je ne montre pas forcément à n'importe qui ma passion qui n'est pas vraiment reconnue comme "convenable" pour un prince. Si vous demandez mon avis, pour moi chacun devrait être libre de s'exprimer et de faire ce qui lui plaît le plus mais d'après eux la peinture n'est pas vraiment une distraction qui soit reconnue comme correct pour mon rang de potentiel héritier mâle.

Ce à quoi je réponds en général que de toute façon je n'hériterais jamais et ne le désire aucunement. Ma soeur fait cela très bien, c'est une personne sensée, d'une grande  force de caractère et il est hors de question que j'imagine seulement prendre sa suite. Tout simplement parce que cela voudrait dire sa disparition ou sa mort et je refuse cette idée point. Elle a mon avis sur la question, c'est moi qui partirais le premier de nous deux et c'est non négociable.

Buté ? Oui un peu, mais seulement sur certains sujets qui fâchent. Charmeur aussi, mais jamais dans le mauvais sens, j'aime être apprécié pour celui que je suis vraiment et pas pour l'illusion que ce font les jeunes personnes de la cours à mon sujet. Ce qui fait qu'en général ce ne sont que des flirts discret et maitrisés autant qu'ils peuvent l'être, non pas pour s'amuser mais pour découvrir le véritable visage des gens. Pour autant je n'ai jamais refusé de conter fleurette, de toute façon nul besoin de me forcer, j'aime les femmes, et sait apprécier la vrai beauté derrière les faux semblants.

Histoire :
Cinq ans, de quoi peut-on se souvenir avant cet âge-là ? A cet âge-là ? ? A part des impressions ? Des sentiments brefs et diffus ? Pour Nicolas c’est des bras, doux, aimants qui l’entoure, une longue robe qu’il adore suivre et tenir. Des rires, souvent le sien quand elle le regarde, il aime ce sourire qu’elle a, c’est comme si un soleil éclairait le ciel entier. Il y a aussi les moments de solitudes, quand elle n’a pas le temps, mais c’est une Impératrice, et même s’il fait semblant de comprendre bien souvent on le retrouve dans les immenses robes de cette grande dame qu’on lui a pris.

Parce qu’on l’a volé sa maman, elle a disparu un jour parce qu’elle aurait fait une bêtise et qu’on la lui reprochait. C’en est suivit des moments long et pénibles pour l’entourage du petit prince à qui on répétait continuellement qu’il ne pouvait pas la voir, qu’il était impossible de monter dans la tour. Et peu importait qu’il tente toutes les feintes possibles et imaginables pour semer ses chaperons, il ne parvenait jamais à se faufiler suffisamment vite dans les passages secrets. Pourtant que ce soit sa sœur ou son père, ou même ses professeurs, tous tentaient de lui faire oublier l’ancienne Impératrice, mais rien n’y faisait. Malgré ses larmes, malgré ses promesses sur tout et n’importe quoi, on ne la lui rendit pas. Vous allez dire que le petit prince avait été épargné, mais peu de temps après l’enfermement de sa mère, on l’emmena dans une pièce entouré de grandes personnes à la mine sombre. Quand la porte se referma dans son dos, du haut de ses cinq ans il essayait de paraitre fier et courageux mais il n’en menait pas large. Sa gouvernante lui en avait parlé, ils voulaient voir la marque des De Choiseul, il n’était pas idiot, il savait très bien ce qu’ils demandaient mais il fit le malin.

Mal lui en prit, ce n’était pas des personnes avec de l’humour qui venait s’assurer qu’il faisait bien partit de la descendance impériale. Il ne put que ravaler son honneur et exposer son arrière train dénudé à ces vieux pervers. Depuis, et malgré qu’il ait depuis évolué dans sa tête, le fait que deux hommes puissent se retrouver ensemble le met énormément mal à l’aise et il ne supporte pas qu’on l’approche de trop près si vous êtes un homme et si vous ne faites pas partit de ses proches. Quant au résultat ? Et bien au vu des mots qu’il y eut dans cette pièce ils ne furent pas divulgués, si vous lui demandez il ne répondra pas, et vous laissera vous débrouiller avec vos doutes. Voici donc notre jeune prince qui se retrouve déshonoré, quand il sort de la pièce il est relativement abattu, et son retour dans ses quartiers se fait avec moult larmes retenues. Qui passent ses yeux fasse à la mine navrée de la gouvernante qui lui apprend que sa seconde épreuve du jour à été le trépas de sa mère.

C’en fut trop pour Nicolas. Il refusa de voir quiconque ce jour-là, bouda les repas qu’on lui apporta et se terra dans sa chambre sous son lit. Vous allez me dire que cela n’est pas digne d’un prince, lui s’en moquait comme de son dernier sous vêtement sale. Il resta prostré dans cet état quelques heures avant de relever la tête. Face à son état amorphe la surveillance c’était peut-être décru. Il se faufila rapidement dans les passages secrets pour parvenir à la tour et apercevoir un corps qu’on emmenait. Ne pensez pas que ce fut atroces, il avait déjà pleuré toutes les larmes de son corps, le voir de ses yeux brisa simplement le maigre espoir qu’on lui ait mentit pour l’empêcher d’aller dans la tour. Il retourna à ses appartements, défait et misérable. Les semaines qui suivirent furent longues et douloureuses pour le prince qui se fermait lentement et surement.

S’il ne gardait rancune qu’envers lui-même pour avoir échoué à rejoindre sa mère, il n’en avait pas plus pour sa sœur et son père. Bien que la disparition de l’impératrice ne semble pas les avoir remués plus que cela, il imaginait qu’ils conservaient leur peine pour eux. C’est dans la présence de son oncle qu’il trouva un écho à ce qu’il était, en effet les seules leçons qu’il parvenait à suivre sans s’en désintéresser étaient celles d’histoire et celle que lui dispensait son aîné. Seul dans sa chambre il avait réuni tous les livres qu’il avait pu trouver sur sa famille. Et si les faits de guerre de son oncle avait de quoi terrifier ou horrifier certain, le jeune prince voyait quant à lui plutôt sa volonté d’affirmer qui il était vraiment. De là à ce que cet oncle devienne son modèle il n’y avait qu’un pas. Il aimait tendrement sa sœur et son père, mais quelque chose en lui qui le poussait vers cet oncle qui avait préféré se retirer de la succession, qui avait préféré s’éloigner.

Nemrod était la personne vers qui il se tournait le plus souvent quand il avait un doute, ou cherchait du réconfort. Les bras de son oncle étaient toujours ouverts pour lui, et il ne se privait pas de venir ennuyer l’homme même durant ses cessions de travail. Cela n’empêchait pas le prince de s’amuser avec sa sœur, jusqu’au jour où elle tomba malade. Par sa faute. Ils avaient joués dehors dans la neige, sa sœur lui montrant qu’on pouvait construire des choses et lui en demandant toujours plus. Seulement l’héritière tomba malade, et Nicolas refusait qu’on le considère comme son remplaçant. La seule personne qui compris combien Nicolas s’en voulait fut sans doute Nemrod, qui le trouva près à faire une bêtise, un sac sur le revers de l’épaule et les larmes au fond des yeux. Les journées précédentes avaient été plus qu’éprouvantes, les précepteurs bien plus durs que d’ordinaire pour canaliser le prince vers son peut être destin de souverain si sa sœur venait à trépasser. Ce fut cet homme fort qui parvint à calmer le prince et le convaincre que fuir n’était pas la solution. De cette fugue il est le seul témoin, et Nicolas lui en est reconnaissant d’avoir gardé le silence sur ces faits.

Heureusement après de nouvelles semaines d’angoisses et d’études obligatoires pour le jeune prince sa sœur se rétablis miraculeusement. Peu de temps après la délégation Amethienne arrivait et le quotidien s’en trouvait quelque peu changé. Sa sœur, maintenant face à son destin avait en effet moins de temps pour un petit frère turbulent et bien souvent excentrique. Un trait de famille purement de Choiseulien, ce qui devait rassurer certains bien que les rumeurs courent toujours. Le temps passait lent et rapide à la fois, les années d’apprentissages semblaient bien longue à notre jeune homme surtout après le départ de sa sœur en tant que pupille. Il n’avait que 12 ans quand Lilith partit, et son absence pesa lourdement sur le moral du jeune homme. Heureusement son oncle était là de tout temps pour soutenir le jeune prince. S’il n’était pas si dissipé que cela quand sa sœur étudiait près de lui, quand elle partit cela devint bien vite une corvée autant pour les professeurs qui devaient recourir à toutes les ruses possibles pour coincer le prince dans la salle d’étude que pour Nicolas lui-même qui préférait dessiner sur ses cahiers. Contrairement à son père et sa sœur passionnés d’inventions en tout genre, lui avait une toute autre fibre en lui qu’il étouffait comme il pouvait.

Vint ensuite le retour de sa sœur, son mariage et son départ à lui comme pupille, peu de temps après pour ses dix ans. Impatient de quitter le palais pour une fois et de fuir les leçons plus barbantes à ses yeux les unes que les autres, saufs bien évidemment celles de l’histoire. Le lieu où il se rendit n’était autre que la même contrée qui avait accueillit sa soeur. Benjamin Leonius fut son tuteur sur les lieux. Un homme agréable mais ferme, et surtout un homme d’armes comme son oncle. Ce qui n’aida pas Nicolas à développer ce qu’il appréciait faire depuis tout petit mais qu’il gardait comme un secret, se doutant qu’on en attendait plus de lui que ce qu’il aurait aimé faire. Les trois ans d’apprentissage passèrent vite. Il avait appris beaucoup auprès de cet homme de caractère, appris un peu sur les coutumes Raclusiennes et de leurs voisins Amethiens, et surtout avait pris une décision pour faire plaisir à son oncle et à son tuteur. Une fois de retour, il annonça sa décision à son Impératrice et son prince consort.

De même que son oncle, il ne se sentait pas de poursuivre le chemin de prince qu’on lui imposait. Il partait faire ses classes militaires, pour se prouver autant que pour prouver aux autres qu’il était capable de faire quelque chose de bien. Il sourit doucement à son aînée avant de quitter la cours le cœur plus ou moins léger avant de rejoindre la caserne qu’il s’est vu assignée. Entre terre et mer, une petite île où l’enseignement est rude mais forme les cœurs et les âmes plus surement qu’ailleurs. Il fit de son mieux pour rendre fier sa famille et son tuteur, devenant comme son oncle et sans doute grâce à son enseignement dispensé depuis son plus jeune âge. La seule permission qu’il eut et ce fut de mauvaise grâce qu’il l’obtint fut pour les obsèques de son père lors de sa mort. Un soldat ne pleure pas, un soldat ne montre pas sa douleur, et c’est droit et en apparence insensible qu’il assista sa sœur durant cette épreuve. En privé il passa tout le temps de sa permission à ses côtés avant de devoir partir de nouveau. Il quitta de nouveau Ambrosia avec cette fois l’intention de vraiment acquérir les qualités qu’il fallait pour épauler au mieux sa sœur. Pour autant, il parvenait toujours à se trouver un peu de temps pour assouvir sa passion.

Le cours séjour à la cours avait été étrange pour le jeune prince. Il avait quitté ce monde adolescent et en revenant en homme il s’était aperçu des regards des femmes qui avaient changés sur lui. N’étant pas vraiment un goujat, il respectait ses partenaires mais était pourtant ferme sur une seule chose, il ne se lierait pas. Non pas que le mariage l’effrayait, mais il avait tant entendu enfant les adultes lui vouloir imposer une femme qu’il avait développé une allergie à cette pratique. Autant sans rentrer dans la concupiscence, il était un joli cœur auprès de ses dames, et sa nouvelle allure militaire comme son uniforme devait agrandir son aura. En tout cas le temps s’écoula lentement suite à ce décès, plus que personne Nicolas se sentait finalement pas à sa place. Quand l’annonce de la mort du prince régent arriva il fut abasourdi. Il connaissait les gardes de la cité depuis enfant, comment un meurtrier aurait pu se faufiler pour tuer son beau-frère ? Sa précédente permission remontait à la mort de son père, pourtant l’autorisation mis cette fois plus de temps à venir. Agacé, Nicolas dû patienter de l’obtenir avant de pouvoir prendre le bateau le plus rapide pour rejoindre les côtes Ambrosiennes.

Et sur ce bateau son univers bascula de nouveau, une rencontre que le destin avait placé sur sa route. Une Amethienne du nom d’ Olympiane de Thiam, avec un air perdu qui allait elle vers son destin de pupille tout d’abord. Si c’est par pure compassion tout d’abord que Nicolas lui proposa son aide, son intérêt fut rapidement autre en découvrant que la jeune femme était musicienne. L’éclat dans son regard prenait une toute autre lueur quand il parlait des arts et bien qu’il tente de le camoufler la candeur, la fraîcheur et la douceur de la jeune femme touchait quelque chose en lui de bien plus profond qu’il n’allait l’admettre devant des témoins. Galant en tout point, ils devinrent rapidement ami, et un soir plus que cela. S’il avait toujours réussit à garder le contrôle se rappelant des conseils d’homme plus vieux, pas d’enfant au hasard, cette fois-là les conseils disparurent au rythme des soupirs.  Le lendemain sur le pont il montra son amabilité coutumière envers la jeune femme, mais c’était les nuits qu’ils passaient ensemble à se découvrir mutuellement qui marquait le plus son âme. Pourtant tous les rêves ont une fin et les côtes Ambrosiennes finirent par se dessiner au loin.  Le destin sépare les personnes mais il se jura de retrouver la jeune femme, ils avaient trois ans devant eux pour se connaitre mieux, et peut être pour réussir à la convaincre de rejoindre le culte qu’elle désirait … à Ambrosia ?....



   
Divers :  Héritier qu'on ignore légitime ou non, la réponse n'est connu qu'une toute petite minorité qui ne s'exprime pas
Date de naissance : 23/10/1980
Double compte : Négatif mon commandant
Où nous as-tu trouvé? : Au détour d'un chemin de rp montré par Olympiane
Commentaire : Peut être éclaircir un tout petit peu la police d'écriture lors de l'inscription c'était relativement peu lisible pour lire le règlement d'inscription, sinon RAS, rangement magnifique, catégories claires et précises, malgré la densité du forum on s'y retrouve sans aide, juste BRAVO


Dernière édition par Nicolas De Choiseul le Lun 3 Juil 2017 - 13:08, édité 8 fois
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Lilith de Choiseul
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4232
Date d'inscription : 14/01/2017
Coucou et bienvenue mon frangin!

Ma boite MP t'es ouverte si tu as des questions Very Happy N'hésites pas! Smile

Nemrod L'Envers
Maître espion
Nemrod L'Envers
Nationalité : Ambrosien
Messages : 262
Date d'inscription : 05/03/2017
Bienvenue à toi !

Je crois qu'il y a méprise sur notre lien, par contre, mon neveu ! Peu de monde te connaît aussi bien que moi, qui t'ai torché, fais sauter sur mes genoux, qui t'ai raconté des histoires pour t'endormir, qui t'a appris à penser en stratège et en meneur de troupes !
Je ne t'appelle pas "fils" ou "fiston" quand nous sommes seuls pour rien ! Je te considère presque ainsi !
Invité
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Bonjour, bienvenue.
Invité
Invité
Anonymous
Merci à tous et à toutes ^^

PAP.... TONTONNNNNN !! Hem, ne t'en fais pas je ne vais pas oublier le lien aussi fort qui m'a permis de devenir aujourd’hui ce que je suis. Je vais corriger de ce pas qu'on voit mieux notre lien !

Invité
Invité
Anonymous
Gloups... *se mord la lèvre* Bienvenue Nicolas ! *fais une révérence et repart*
Invité
Invité
Anonymous
Le clan de Choiseul se densifie ....
Soyez le bienvenu parmi nous, vaporisez ces dames qui ne demandent qu'un peu de votre attention. Wink
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Everard Zullheimer
Nationalité : Amethien
Messages : 1565
Date d'inscription : 14/04/2016
Bienvenue à toi !
Invité
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Anonymous
Hey le coucou !!

Que la licorne veille sur toi !
oui oui !
Invité
Invité
Anonymous
Ooh ! Mais qui est ce charmant jeune homme qui s'adresse à moi ?
Bienvenue cher Monsieur, que Ameth veille sur vous !
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