Les Chroniques d'Ambrosia - RPG 18+
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Informations

Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.

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De Choiseul Philippe

ft. Newton Artemis Fido Scamander de Fantastic Beasts

Surnom : Le Fol
Âge : 30 ans
Métier : Inventeur & chimiste
Nationalité et origines : Raclusien, mais aussi le cousin au huitième degré de l’Impératrice de vapeur
Situation conjugale : Célibataire
Culte : Aernia
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Groupe : Dignitaires

Carnation : Blanche
Taille : 1m83
Corpulence : normale, tend à être fin
Cheveux : Assez court et châtain/brun
Yeux : Bleu ou gris, deux personnes ne vous donneraient pas la même réponse
Signe(s) distinctif(s) :
- Son regard, celui d’une brebis perdue, mais à la fois rempli d’espoir et d’une flamme naissante devant la possibilité de nouvelles expériences.
- Sa jambe gauche parfois un peu folle, trace d’une vieille blessure au genou
- Sa tache de naissance, typique des De Choiseul
Caractère :
De longues heures. C’est ce que Le fol De Choiseul avait passé sur sa dernière expérience. Il était aussi méticuleux que le lui permettait son flair, sa table aussi désorganisée que son esprit brillant, mais souvent incompris, sa posture aussi gracieuse que sa maladresse sociale… ou non, d’ailleurs. Car sa maladresse était totale.
- Par Aernia ! Diantre ! Saperlipopette ! … Il continua pendant quelques instants.
Philippe avait un regard quasi fluorescent tellement les flammes dansaient dans ses yeux ! Les flammes, par ailleurs, ne dansaient pas que dans ses yeux.
*J’ai su révolutionner la cuisine ! On appelera cela la... crème brûlée. Non ! Non ! Ce sera de la crème éclatée ! J’ai toujours su que l’art culinaire avait été emprunter aux chimistes…*
On entendit un gros « POUF », alors qu’une montagne de sucre vanillé redescendait en direction du dessert.
-WAAAAAAAAAAAHOOOOOOOOOUUUU !
Son oiseau, alors dormant dans la volière prenant l’ampleur d’une paillasse de travail complète sursauta au réveil. Il poussa un croassement.
Philippe le sortit de la cage et se mit à danser avec lui comme si la femelle oiseau était sa partenaire pour une valse. L’oiseau en question poussa alors un roucoulement. Elle était nettement plus satisfaite.
Puis, tout d’un coup, le dessert tant attendu explosa, projetant Philippe et sa chouette à l’autre extrémité de la pièce. Le feu prenait de plus en plus d’ampleur lorsque Philippe repris conscience, plein de suie et la chouette le picotant pour que familièrement « il se bouge ».
Il se redressa d’un seul coup, envoyant bouler la chouette de manière involontaire et se dirigea vers son dernier système de sécurité; une de ses inventions. Philippe s’acharna sur ce système étant supposé répartir des jets d’eau dans l’ensemble de la pièce. Sa patience légendaire et lui-même pestèrent en cœur.
Philippe récupéra doucement sa chouette blessée.
- Désolé Anastasia…
Il se fraya un chemin vers la sortie la plus proche en jetant un dernier regard vers son avant-dernière invention : un cabinet résistant au feu et aux explosions pour ses notes et sa paperasse importante.
Puis il passa par la fenêtre du deuxième étage, détruisant le vitrail au passage en protégeant sa chouette et en criant « AU FEUUUUUUUUUUUUUUUU! » et atterrit sur une tente de la garde royale.
- Eh bah Anastasia… on l’a échapp…
Un grand bruit sonore s’en suivit, la toile cédant sous son poids, celui-ci tombant sur deux soldats.
*Note à moi-même : créer un tissu plus résistant…*
Le grand homme se redressa et fit un sourire un peu gêné aux soldats encore debout.
- Toutes mes salutations les plus distinguées Messires, j’ai bien peur que la tour au-dessus de nos têtes soit en feu, dit-il en époussetant ses épaules. Mais rien n’a encore expl…
Encore une fois, Le fol De Choiseul ne put finir sa phrase, car elle fut couverte par le bruit d’une grande explosion, faisant éclater tous les vitraux de la pièce où il était.
Il se râcla doucement la gorge sous les regards à moitié paniqués à moitié perdus.
- Si j’étais vous, je me dépêcherais…
Puis, il se mit à courir vers une autre tente en criant « AU FEU ! AU FEU ! AU FEU ! » à qui voulait bien l’entendre.
*Aernia... je vous en pries... Faites que le cabinet résiste… faite que le cabinet résiste !*
Histoire :  
Déferlantes; Rugissantes; Terrifiantes étaient les eaux des rives de la capitale de vapeur durant ce printemps peu certain de 409 AM. Le tonnerre fusait alors que les éclairs grondaient : c’était le monde à l’envers. Malgré cela, à eux deux ils suffisaient à enterrer les cris perçants dans la nuit.
Ce ne fut qu’au matin levant que le silence vint, un silence aussi long que le corps blanc et frêle allongé dans un lit, sans plus une trace de vie… ou presque. Le désarroi s’était emparé de la pièce, nul doute que celui-ci s’était mis à son aise, qu’à cela ne tienne que ça déplaise.
Les gouttes perlaient le long des fenêtres comme le long des joues.
Puis, un cri supplémentaire fit céder les occupants de ce mésocosme de pièce à une panique éphémère.
Philippe était né dans un mutisme, ne pleurant pas avant de longs instants. Et il resta muet pour les trois années qui suivirent. On le pensait sourd… ou encore certains allaient même jusqu’à dire… retardé, conséquence de sa naissance supposément « non-voulue », le petit ayant causé le décès de sa tendre mère.
Jusqu’au jour où, d’une voix cassante qui ne semblait pas appartenir à un enfant de son âge, il dit :
- Papa… c’est vrai ce que les gens disent ? Moi, j’ai tué maman ?
Le père fut étonné, puis fit un sourire triste à son fils.
- Non. Non, Philippe.
- Alors… j’ai le droit de leur dire ?
- Je doute que cela ne change quelque chose.
***
Philippe avait depuis tout petit des manies, des habitudes, un horaire, des passions, une folie telle qu’elle était positive et contagieuse, mais souvent il se méprenait et les autres ne lui démontraient que du mépris.
Il ne comprit qu’un peu tard que certains ne démontraient rien d’autre, alors que d’autre… comme sa cousine Lilith, ne lui démontrerait qu’une grande loyauté. Il y avait là une distinction à faire en tant qu’adulte entre différents et ignorants.
Éduqué et élevé par son père, il fut initié aux sciences, aux inventions et surtout à la chimie très jeune et reçu une éducation exemplaire malgré ses petits accrocs.
Il apprit d’ailleurs bien rapidement à courir tout aussi rapidement… pour échapper aux enfants parfois méchants du cercle d’amis royaux des De Choiseul, sa cousine Lilith n’hésitant pas le plus souvent à les dissuader elle-même pour éviter qu’ils ne fassent qu’une bouchée de Philippe alors qu’il s’arrêtait pour observer tous les oiseaux sur son passage.
Il ne va pas sans dire que Philippe ne s’entendait pas particulièrement bien avec ses cousins Raclusiens du côté de son père qui venaient parfois le visiter, à l’image de son père avec leurs parents. Le père préférait nettement que son fils porte le nom de sa femme et ne partageait pas les idéaux de sa famille Raclusienne haut placée.
Lunatique, mais à la fois adorable, le jeune De Choiseul grandit et apprit souvent malgré lui les normes sociales plus difficilement que les notions théoriques ou pratiques.
***
Son monde se fissura à l’aube de ses 14 ans, alors que sa cousine Lilith était alitée et grandement malade. Philippe était dans tous ses états, ne sachant pas ce qu’il pourrait faire pour l’aider. Il n’arrivait pas à rester à son chevet. Il ne pouvait se résigner à ne rien faire. Ses connaissances n’étaient pas les bonnes pour la soignée, mais il avait les connaissances nécessaires pour lui changer les idées. Enfin… si elle arrivait encore à avoir des idées alors que la fièvre ne faisait que s’accentuer. À défaut de pouvoir faire quelque chose, Philippe mit au point un dispositif permettant de projeter les étoiles dans une pièce intérieure en se servant d’une carte stellaire. Il se dévoua corps et âme à la chose jusqu’au jour où il apprit que sa cousine était probablement sortie d’affaire. Soulagé et lui laissant le temps de se remettre, il attendit. Puis, un soir, Philippe sortit de l’ombre où il s’était caché depuis le départ de sa cousine au sein de songes que lui-même ne connaissait pas, autrement connus sous le nom de « fièvre ».
- Lilith…?
Il cognait à la porte alors que sa voix enrouée se propageait dans la pièce.
- Oui?
- C’est… c’est Philippe? Puis-je… je entrer?
Le jeune adolescent eut le droit à un hochement de tête. Toujours aussi habile, Philippe se prit les pieds dans le tapis en entrant et se fracassa contre une chaise en tentant de protéger le mécanisme et le matériel qu’il avait amené avec lui.
Il eut droit à un regard interrogatif de la part de sa cousine, mais il savait très bien que derrière ces yeux bleus, il n’y avait aucun jugement à son égard.
- Nous ne savions rien sur ton état… et je voulais que tu puisses voir les étoiles une dernière fois…
Il pointa tout ce qu’il avait amené.
- J’aimerais te présenter ce que j’ai fait.
Il eut droit à un petit sourire de la part de sa cousine et se sentit tout de suite mieux, se mettant à déblatérer comme une pie à nouveau en sa compagnie, expliquant de A à Z ce qu’il avait fait, comment, pourquoi et ses multiples essais alors qu’il mettait en place son invention dans la pièce.
Après ce, il tira sa cousine pour qu’elle s’allonge au sol avec lui et déclencha le mécanisme. À un seul instant, plusieurs constellations furent projetées contre les parois de la pièce, brillantes de plein fouet. Assurément, plusieurs étaient manquante et certaines manquaient de précision, mais le spectacle en soi était magnifique. Lilith et lui contemplèrent.
Les deux adolescents étaient émerveillés par la chose, mais ce moment ne fut que de courte durée lorsqu’une odeur de brûlée vint aux narines des deux jeunes.
Interpelé par la chose, Philippe sursauta et se redressa d’un bon, faisant presque tomber une partie de son mécanisme sur sa cousine en voyant qu’une partie du système avait surchauffé et que le tapis était pour prendre en feu. Observant la distance qu’il restait entre le début des flammes et la portion principale, il évalua les risques d’explosion certaine. Sans attendre, Philippe entraîna vite sa cousine vers la porte alors que la première petite explosion se fit sentir.
Les deux parcoururent le restant de la distance à vitesse grand V, mais la structure avait été affectée par la première explosion et voyant un chandelier vaciller dangereusement au-dessus de sa cousine, Philippe n’hésita pas à la pousser de toutes ses forces pour éviter qu’elle ne soit blessée ou pire…
Par le fait même, le chandelier, heureusement éteint, tomba sur Philippe qui avait volontairement prit l’ancienne position de sa cousine pour la dégager de là.
Le premier réflexe de Lilith fut de tenter d’aider Philippe.
- Non! Non, Lilith! Sors tout de suite! C’est trop dangereux… je savais que j’aurais dû isoler ce liquide…
Deux gardes arrivèrent et escortèrent sa cousine à l’extérieur alors que Philippe perdit connaissance à cause de la douleur à sa jambe gauche.
***
En se réveillant à son tour alité, Philippe eut un sentiment : la peur. La peur de la colère de l’Empereur de Vapeur, car il avait presque tué sa fille…
Et Philippe avait bien raison d’avoir, car l’Empereur était à son chevet, accompagné de son père et de Lilith.
Le jeune homme cligna des yeux, son rythme cardiaque s’accélérant.
Ce ne fut guère mieux lorsque l’Empereur ouvra la bouche.
- Cher Philippe. Je vois que votre père, quoi qu’étranger à nos us et coutumes a su bien vous élever selon les valeurs des De Choiseul et vous inculquer l’importance politique de la stabilité du monde dans lequel nous vivons. Vous avez prouvé votre fidélité en sauvant d’une mort certaine votre cousine au huitième degré, soit ma fille et l’héritière de l’Empire de Vapeur. Je tiens donc à vous remercier et vous souhaiter moi-même un prompt rétablissement. Lilith pourra certainement compter sur vous dans ses futures fonctions.
Au lieu de s’accélérer encore plus, Philippe eut l’impression que son cœur cessa de battre.
Il resta muet, observant sa cousine un moment. Il détestait déjà la politique et n’avait pas sauvé sa cousine à cause de son titre ou de son rang, mais bien parce qu’il l’aimait. Ô non, pas d’amour. Mais bien un amour fraternel, espérant presque être né comme son frère et non son cousin. Non pas pour l’accès au trône, il n’en avait que faire, mais bien pour la côtoyer plus souvent encore que maintenant.
Mais qu’est-ce que Lilith avait bien pu dire à son père ce jour-là? Philippe ne l’avait pas sauvé… intérieurement, il se reprochait de l’avoir presque tué…
Lilith lui fit un petit sourire en posant une main douce et brève sur la sienne. Puis, l’Empereur de Vapeur se leva, tout le monde l’imitant, sauf Philippe qui n’était pas en état et il quitta la pièce avec sa fille, les deux se retournant sans regarder derrière.
***
C’est à l’âge de 16 ans que Philippe mit au point son premier procédé chimique, étrangement, sans rien faire exploser. C’était un événement hors norme (je vous laisse décidé s’il s’agit du procédé à l’âge de 16 ans ou encore de l’absence d’explosion).
Ce n’est que peu de temps plus tard que parvint une missive au domicile familial. Elle était au nom du Fol De Choiseul, mais effrayé par la provenance de celle-ci son père l’ouvra avant que le jeune homme ne puisse mettre la main dessus. Se tenant la tête entre les mains, le patriarche se massait les tempes, maudissant les coutumes de sa région d’origine.
Arrivant dans la salle et envoyant une lettre ouverte avec son nom dessus Philippe observa longuement son père avant de s’assoir.
- Qu’en est-il père?
Le père tendit la lettre à son fils, l’air désolé. Cela ne prit que quelques secondes à Philippe pour émerger dans un rire et une expression de joie telle que son père fut désarçonné.
- À moi le voyage et la découverte, père! Les Terres raclusiennes n’ont qu’à bien se tenir!
Son père eut l’air un peu horrifié à la suite de ces paroles, étant certains que son fils n’était pas préparé à la réalité raclusienne.
- Tu ne peux pas y aller de toute façon. Tu te dois de rester ici étant en liste pour être au pouvoir. Ce n’est pas une lettre te rappelant que tu as un service militaire à faire qui fera changer cela. Tu pourras très bien l’effectuer ici.
Philippe s’affaissa sur sa chaise.
- Mais je veux voyager! Et je suis quoi? Huitième pour le titre?! Dixième?! Il faudrait que beaucoup meurent avant moi!
Son père sortit de la pièce en prenant la lettre sans dire un mot.
*Ah bah… génial. En plus de ne pas pouvoir aller découvrir d’autres horizons… je vais avoir un service militaire à faire.*
Le service militaire se fit au sein de l’armée Ambrosienne comme cela avait été spécifié par le père de Philippe. Cela ne facilita pas les choses pour Philippe qui n’était pas beaucoup apprécié de la plupart des soldats qu’il côtoya durant cette période. Il ne se fit qu’un seul ami. Il développa des techniques de défense basique et su mettre à contribution les multiples courses qu’il avait effectué plus jeune pour éviter les attaques de certains enfants, finissant même deuxième lors d’une compétition organisée. L’art dans lequel il se démarqua le plus demeura néanmoins la stratégie. C’est d’ailleurs ce qui lui permit de se faire plus apprécier au fur et à mesure de son service. Une fois qu’il eut compris le fonctionnement des choses, il savait ainsi faire des plans d’attaque efficace lors des exercices et déjouer le groupe adverse.
Et naquit d’une de ces stratégies la première fois où Le Fol De Choiseul fit pratiquement exploser le terrain militaire.
La tranchée était une très bonne idée… et qui aurait pu prévoir que de la poudre était stockée aussi près de celle-ci? Alors que l’explosion en elle-même était simplement pour incapacité le groupe adversaire durant l’entraînement.
***
- Puis-je savoir que ce c’était ça, De Choiseul?
- Le flair appliqué à la stratégie militaire, Monsieur.
- Le quoi?
- Le flair.
- Amenez De Choiseul et son flair dans les bureaux administratifs. Il y finira son service.
Un peu insouciant, Le Fol suivit sans dire mot.
***
Après les rumeurs qui se propageaient à son égard, essayer de trouver un volontaire pour le prendre comme pupille fut quelque peu compliqué. Surtout considérant que ce volontaire ne pouvait ni être de l’Empire de vapeur ni de La ligue Raclusienne, puisque son père était de celle-ci. Avec le travail de son père et un léger coup de main de l’Empereur de Vapeur, Philippe atterrit chez un dignitaire, vieille connaissance de l’Empereur appartenant au Royaume d’Eskr, érudit ayant un intérêt marqué pour la médecine. Un personnage peu politique, mais respecté, quoi que peu cité, car étonnamment, il n’y avait pas grand-chose à dire sur lui. Ces trois années filèrent comme une flèche en compagnie du vieil homme calme et posé. Lui et Philippe se mêlaient souvent au peuple afin de concocter des mélanges pour les malades trop pauvres pour se payer des soins médicaux complexes. Ce fut une totale autre réalité pour Philippe, mais cela réussit à l’ouvrir plus amplement sur le monde et il garda un lui très étroit avec le vieil homme. À la fin de son séjour chez lui, alors que Philippe avait 23 ans, l’homme lui offrit Anastasia, un oiseau alors quasi naissant. Philippe s’habitua rapidement à avoir l’oiseau dans sa vie.
Environ une semaine après son retour au palais et environ un seul mois après que Lilith eut pris la suite de son père, elle reçut son cousin, car il avait -encore une fois- fait -presque- explosé le palais. C’est un Philippe avec quelques brûlures et une Anastasia ayant perdu quelques plumes qui se présentèrent devant l’Impératrice. Elle avait un air dur alors que Philippe était penaud. Elle fut très ferme, puis se leva pour quitter la pièce et passa près de Philippe en lui faisant un petit sourire subtile.
Malgré leurs désaccords, Lilith avait le don de le faire sentir bien malgré tout. Presque jamais d’accord, mais toujours à même de se comprendre mutuellement, les deux étaient un duo redoutable, des acolytes de toujours.
Cela ne découragea pas le Fol de Choiseul qui mit sur pied quelques années plus tard plusieurs composés et procédés, dont le duraluminium.
***
Alors que Philippe reprenait son souffle après avoir couru sur une certaine distance en criant « au feu ! » pour qu’on lui vienne en aide pour sauver son laboratoire avec Anastasia dans les bras, il décida de se diriger vers la prêtresse et herboriste qui prenait toujours soin d’Anastasia après les petits incidents.
Sur le chemin du retour, une voix familière vint à ses oreilles.
- Alors, on a encore tout fait sauter? Vous ne pourriez pas penser un instant à vous marier et oublier tout ça?
Philippe se crispa alors que la voix de Clark arriva à ses oreilles. Elle, qui parlait de mariage? Philippe cacha le mieux possible son expression déconfite.
- Bonjour cousine Amelia. Je suis content de vous voir, mais j’ai eu… justement quelqu’un à aller courtiser. Au revoir.
Et on le vit … littéralement tracer. C’était l’effet qu’elle lui faisait. Philippe finit la journée en se terrant chez son ami Lucius Chevalier, sachant que Clark ne viendrait pas le chercher jusqu’ici… enfin, il espérait bien qu’elle ne viendrait pas.

Divers :  
- On dit que sa cousine veut faire de lui un Grand, mais ayant entendu la rumeur, il n’est pas certain que cela soit une bonne idée
- Philippe est un bon coureur et il est vif, ne coursez pas avec lui si vous n’aimez pas perdre.
- Il apprécie beaucoup sa cousine de Choiseul. Mais son autre « cousine » Clark a toujours été… trop sombre et acerbe pour lui, bon vivant, bavard, mais plus timide. Il ne déteste pas les gens, mais tente d’éviter Clark, malgré qu’il n’ait pas grand-chose à faire de ses commentaires.  
- Il a des connaissances de base en herboristerie/médecine et militaire dû à son temps en tant que pupille et son service militaire
- La femme dont il est le plus proche outre sa cousine De Choiseul est la prêtresse qu’il va voir pour prendre soin d’Anastasia, son oiseau.
- Vous en avez marre de l’entendre déblatérer ses expériences? Parlez de mariage.

Date de naissance : 04/1998 (vous savez tous maintenant à quel point je suis jeune)
Double compte : Nope.
Où nous as-tu trouvé? : Quelques heures de recherche, forum actif, Google, toussa, toussa
Commentaire : None.




Dernière édition par Philippe De Choiseul le Mer 3 Fév 2021 - 12:57, édité 5 fois
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Lilith de Choiseul
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4232
Date d'inscription : 14/01/2017
Bienvenue sur le forum
Si tu as besoin, le staff est à ta disposition ^^
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Everard Zullheimer
Nationalité : Amethien
Messages : 1565
Date d'inscription : 14/04/2016
Bonjour et bienvenue sur le forum.

Si tu as des questions n'hésite pas ! Wink
Daphnée Samabartel
Propriétaire d'un comptoir commercial
Daphnée Samabartel
http://jwrenaissance.forumactif.com
Nationalité : Raclusienne
Messages : 370
Date d'inscription : 05/02/2019
Oh ! Un Philippe ! Dignitaires - Philippe De Choiseul, Chimiste et inventeur 916789759

Bienvenue parmi nous !

Tu m'excuseras mais en lisant ton début de fiche, j'ai immédiatement eu "Bim bam boum" dans la tête... Dignitaires - Philippe De Choiseul, Chimiste et inventeur 429065087
Invité
Invité
Anonymous
Est-ce une façon détournée de m'avouer votre affection pour moi, Mademoiselle Samabartel? De me décrire en chanson ce que votre coeur fait en me voyant? Dignitaires - Philippe De Choiseul, Chimiste et inventeur 429065087

Plus sérieusement, je ne connaissais pas. Pas le même genre de bim, bam, boom, mais je vois la similarité.

Merci pour votre accueil!
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Everard Zullheimer
Nationalité : Amethien
Messages : 1565
Date d'inscription : 14/04/2016
Bonjour !

Je suis là pour m’occuper de ta fiche !
-    Alors tout d’abord, même si je n’ai rien contre l’idée de présenter sa fiche sous la forme d’un rp, je dois t’avoue que le caractère est sans doute la partie la moins propice à cela…. Du j’aurai aimé davantage de transparence sur le caractère du personnage. ^^

-    Je trouve étrange qu’il parle d’un coup, comme ça, une phrase complète et complexe, à trois ans, sans un mot auparavant… les cordes vocales, la vocalisation, ça  se travaille en étant enfant…

-    La lettre n’a pas à être au surnom du personnage, a fortiori pour quelqu’un d’important…

-    Le pupillat se passe de volontariat. C’est une obligation. Donc trouver un tuteur ou une tutrice n’as pas pu être si difficile…

-    Amelia est nouvellement remariée, donc la toute fin de ton histoire…. ^^

-    Les prêtres ne sont pas vétérinaires. Du coup une prêtresse qui s’occupe de son oiseau de compagnie… je me demande si c’est la bonne direction ?

Je te laisse faire les modifications et signaler à la suite quand ce sera fait. Si tu as des questions, ma boite à mp est à ta disposition ! Wink
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Lilith de Choiseul
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4232
Date d'inscription : 14/01/2017
Bonour, je viens aux nouvelles, as tu besoin d'un délai supplémentaire pour ta fiche?
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