Informations
Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.
PERIODE DE JEU
été 440 AM
été 440 AM
Mer 8 Fév 2017 - 18:27
Zenon de Lascelle
Propriétaire (fauché) d'un hippodrome
Nationalité : Ambrosien
Messages : 154
Date d'inscription : 08/02/2017
Messages : 154
Date d'inscription : 08/02/2017
DE LASCELLE Zenon
ft. Jeffrey Dean Morgan
Surnom : Aucun
Âge : 50 ans
Métier : Propriétaire d’un hippodrome
Nationalité et origines : Ambrosien
Situation conjugale : divorcé, divorcé, veuf, veuf, dans l’ordre
Culte : Timan et Pohn... et quiconque peut le renflouer
Orientation sexuelle : Hétéro
Groupe : Dignitaire
Âge : 50 ans
Métier : Propriétaire d’un hippodrome
Nationalité et origines : Ambrosien
Situation conjugale : divorcé, divorcé, veuf, veuf, dans l’ordre
Culte : Timan et Pohn... et quiconque peut le renflouer
Orientation sexuelle : Hétéro
Groupe : Dignitaire
Carnation : causasien
Taille :1m90
Corpulence : moyen
Cheveux : courts poivre et sel
Yeux : marron
Signe(s) distinctif(s) : Une cicatrice le long de la cuisse, rappel d’une dette mise trop longtemps à être réglée…
Taille :1m90
Corpulence : moyen
Cheveux : courts poivre et sel
Yeux : marron
Signe(s) distinctif(s) : Une cicatrice le long de la cuisse, rappel d’une dette mise trop longtemps à être réglée…
Caractère : Comment me voyez-vous au juste ? Et bien je vais vous le dire, vous voyez un homme d’âge plus que mur, qui semble avoir un certain succès avec les femmes. De quoi est-ce que je tire un tel succès ? Je l’ignore précisément ? Serait-ce à cause de mes dons de séducteur ? Mes talents de comédiens dont je me sers pour embobiner mon monde ? Non, voyons, pas mon genre ! Alors, je fais ça naturellement bien sûr ! C’est toute une habitude avec cette démarche de prédateur, ce regard affuté à la recherche d’une proie -comprenez une personne pleine aux as à dépouiller, à aimer, à larguer, mais pas toujours dans cet ordre… et parfois même en sautant des étapes, vous vous doutez bien !
Oh, ne vous méprenez pas, je ne suis pas un rustre en rut avide d’argent... enfin si, j’aime le sexe au même titre que j’argent – ou plutôt j’ai vraiment besoin d’argent car je suis endetté jusqu’au cou, et je me retrouves à emprunter pour rembourser d’anciens emprunts… j’ai désespérément besoin de me renflouer… et si je devais rajouter, je dirais que je manque de veine… j’ai toujours de belles offres pour gagner de l’argent et j’ai l’investissement… facile, dirons-nous… dès que j’investis quelque part pu presque, ça foire. Même mon hippodrome et mes écuries… je ne touche pas un centime dessus… bon, là je perds pas d’argent, mais je peux pas vivre avec…
Oui, je pales d’écurie, car c’est peut-être la seule chose que je réussirai presque en matière de finances : l’élevage de chevaux de race, c’est une tradition familiale, même ! Car oui, je descends d’une longue et grande famille... même si on a peu perdu de notre superbe. Je suis un seigneur, sans plus de titre car notre domaine n’est ni du niveau de gros propriétaires terriens, ni très riches. Juste assez pour les chevaux, en somme. Peu de cultures, pas d’arbres ou presque, pas de sol cuivré ou ferreux. Enfin bon, tout cela atteste de mon éducation, car oui, qui dit titre seigneurial dit bonne éducation et bonne culture – plus ou moins forcée.
Oh, ne vous méprenez pas, je ne suis pas un rustre en rut avide d’argent... enfin si, j’aime le sexe au même titre que j’argent – ou plutôt j’ai vraiment besoin d’argent car je suis endetté jusqu’au cou, et je me retrouves à emprunter pour rembourser d’anciens emprunts… j’ai désespérément besoin de me renflouer… et si je devais rajouter, je dirais que je manque de veine… j’ai toujours de belles offres pour gagner de l’argent et j’ai l’investissement… facile, dirons-nous… dès que j’investis quelque part pu presque, ça foire. Même mon hippodrome et mes écuries… je ne touche pas un centime dessus… bon, là je perds pas d’argent, mais je peux pas vivre avec…
Oui, je pales d’écurie, car c’est peut-être la seule chose que je réussirai presque en matière de finances : l’élevage de chevaux de race, c’est une tradition familiale, même ! Car oui, je descends d’une longue et grande famille... même si on a peu perdu de notre superbe. Je suis un seigneur, sans plus de titre car notre domaine n’est ni du niveau de gros propriétaires terriens, ni très riches. Juste assez pour les chevaux, en somme. Peu de cultures, pas d’arbres ou presque, pas de sol cuivré ou ferreux. Enfin bon, tout cela atteste de mon éducation, car oui, qui dit titre seigneurial dit bonne éducation et bonne culture – plus ou moins forcée.
Histoire : Que voulez-vous savoir de ma vie, au juste ? Que j’ai tout planté ? peut-être, oui, et après ? Dans la vie on ne peut pas avoir toutes les cartes, et parfois, on apprend vite que la vie n’est pas juste, qu’elle est simplement plus juste que la mort… c’est mon cas. Oh, ne croyez pas que je m’en plains, bien sûr que non ! Vous vous dites encore un noble qui serait du genre à être né avec une cuillère en argent dans le derrière… si seulement… si seulement… voilà qu’en fait, quand je suis né, père avait déjà foutu en l’air la majeure partie de mla fortune familiale… bon, okay, pas la majeure partie mais une bonne moitié, ça vous va ? Il restait largement de quoi vivre plusieurs vies sans aucun souci. Mais voilà. Père était dépensier, et je ne valais pas mieux que lui à ce sujet… on s’en rendit bien vite compte... le problème sans doute selon les autres c’est que ce n’était pas de la prodigalité généreuse, mais il avait autant de talent que lui à détecter les filons foireux, et à croire que cela marcherait.
Enfin bref, assez parlé de mon père. Ma mère, elle n’était pas de haute naissance. Elle était très belle, et beaucoup plus jeune que mon père… d’une certaine manière il avait acheté ce mariage à sa belle-famille, une soierie en laquelle il avait cru, à tort comme souvent. Elle avait la peau d’albâtre, des yeux aigue marine et des cheveux de feu… mais aucun amour pour père. Elle me couvait jalousement, quand j’étais petit… ou du moins, elle le fit jusqu’à ce que père lui force la main pour commencer à m’enseigner ce que je devais savoir auprès d’amis à lui de précepteurs hors de prix – au sens propre vu les moyens déclinants de Père. Nous survivions, mais moins bien que ce qui était prévu, et les finances diminuaient sans vraiment voir de grosse rentrée d’argent. Et en plus, avec mère qui avait un caractère de cochon enragé… oui, à la maison, il n’y avait pas un repas sans vaisselles cassée. Au point que, pour une fois d’accord, Père et Mère finirent par décider de me faire manger à part.
J’avais d’ailleurs dix ans quand, excédée mère mit fin à son existence… non, elle ne se suicida pas. Elle se contenta de partir avec le premier palefrenier de Père… du jour au lendemain nous ne la vîmes plus, et père ne la retrouva jamais. Bien qu’il mla chercha beaucoup – encore, dirait-il plus tard – de l’argent jeté par les fenêtres… il ne reprit pas d’épouse. Avec le recul j’en ai de la gratitude… je n’imagine pas les erreurs qu’une nouvelle épouse aurait fait faire à Père… même si durant l’enfance je lui en voulus beaucoup de m’avoir laissé sans mère… dans tous les cas, je pense sincèrement qu’il a fait le bon choix. Au moins il n’a pas perdu davantage d’argent pour rien… J’avais à peine dix-sept ans quand mon père me promit en mariage à la fille de la famille Verneuil. Unique descendante au moment du mariage, bien sûr…
Vous devinez la suite n’est-ce pas ? Peu après e mariage, ma belle-famille eut enfin un héritier mâle… quand je disais que j’avais une poisse d’enfer ! Oui, c’est plus la poisse que le manque d’envie de réussir au final… car père – comme je le fis après lui – tenta sa chance… au final, un investissement c’était comme un pari, on pariait sur la réussite d’une entreprise… enfin bon, heureusement qu’il y avait l’hippodrome, n’est-ce pas ? On continuait à vivre comme on pouvait… oui, en nobles désargentés, tout simplement… d’ailleurs autant vous dire que mon mariage ne dura pas. Devant mon infortune, mon épousée demanda le divorce que je lui accordais. De quel intérêt l’était-elle si elle n’avait pas d’argent à apporter à la famille en plus de sa doit qui avait été plus que décevante au final, et n’avait pas fait long feu. Je me rabattais alors sur une douairière qui n’était pas de première fraicheur mais sans enfants ni famille encore en vie…
Nous étions surs de pouvoir faire fortune de nouveau. Utilisant les fonds de ma bien aimée, avec son accord, nous investîmes dans une expédition navale pour ramener des produits exotiques. Vous devinez la suite ? Le bateau disparut et on en entendit pus jamais parler… elle ne me pardonna jamais cet échec et préféra me laisser, ne voulant plus jamais entendre parler de moi… pas trente ans et déjà deux divorces sur les bras. Et ce n’était pas fini. Au total j’eus dans ma vie quatre épouses. Les deux suivantes furent peut-être les plus longues, mais ce furent aussi celles que je perdis le plus définitivement. La première – je l’épousais à peine sortie de l’enfance dès qu’elle eut l’âge légal. Elle mourut trois ans plus tard d’un accouchement qui ne laissa derrière elle que sang et larmes. L’enfant mourant en couche en même temps que sa mère. La deuxième aussi dura plus longtemps que les autres, restant cinq ans à mes côtés avant d’être emportée par la maladie. Beaucoup d’échecs matrimoniaux dans la famille. Que ça ou presque. Je résolus à ne pas me marier et à grappiller ce dont j’avais besoin pour survivre, trouvant toujours quelqu’un qui pourrait m’inviter… déjeuner chez untel, diner chez une telle, allant de réception en réception, me formant un réseau de connaissances assez vaste pour pouvoir m’offrir le luxe de choisir même. Et au lieu d’une épouse, je pouvais avoir une bonne dose de débauche de ci de là… ça me convenait bien
Je ne vais pas vous dire que je me prostituais, non. Ne me confondez pas avec d’autres, mais je profitais de mes charmes pour obtenir de l’argent pour des affaires, à droite, à gauche, remboursant quand et comme je le pouvais, empruntant à des usuriers aussi, quand je n’avais pas d’autres choix. Criblé de dettes, je me pris un jour un coup de couteau pour me rappeler de payer dans les temps… devenu le seigneur de Lascelle, je ne pouvais m’empêcher de tenter de regagner de l’argent pour me renflouer, séduisant les veuves, les héritières, les célibataires, qui pouvaient m’en offrir l’occasion… et je survivais autant que faire se peut ; Je restais sur le fil pour mon train de vie. Parfois, mes tenues étaient un peu élimées, mais rien de bien méchant. Je me débrouillais, pourrait-on dire… mieux encore, j’avais une nouvelle cible. Une jeune femme de bonne famille divorcée, de jolis yeux bleus. Et immensément riche… avec ça je n’aurai sans doute plus besoin de parier sur mes propres chevaux et de triquer certaines courses…
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Enfin bref, assez parlé de mon père. Ma mère, elle n’était pas de haute naissance. Elle était très belle, et beaucoup plus jeune que mon père… d’une certaine manière il avait acheté ce mariage à sa belle-famille, une soierie en laquelle il avait cru, à tort comme souvent. Elle avait la peau d’albâtre, des yeux aigue marine et des cheveux de feu… mais aucun amour pour père. Elle me couvait jalousement, quand j’étais petit… ou du moins, elle le fit jusqu’à ce que père lui force la main pour commencer à m’enseigner ce que je devais savoir auprès d’amis à lui de précepteurs hors de prix – au sens propre vu les moyens déclinants de Père. Nous survivions, mais moins bien que ce qui était prévu, et les finances diminuaient sans vraiment voir de grosse rentrée d’argent. Et en plus, avec mère qui avait un caractère de cochon enragé… oui, à la maison, il n’y avait pas un repas sans vaisselles cassée. Au point que, pour une fois d’accord, Père et Mère finirent par décider de me faire manger à part.
J’avais d’ailleurs dix ans quand, excédée mère mit fin à son existence… non, elle ne se suicida pas. Elle se contenta de partir avec le premier palefrenier de Père… du jour au lendemain nous ne la vîmes plus, et père ne la retrouva jamais. Bien qu’il mla chercha beaucoup – encore, dirait-il plus tard – de l’argent jeté par les fenêtres… il ne reprit pas d’épouse. Avec le recul j’en ai de la gratitude… je n’imagine pas les erreurs qu’une nouvelle épouse aurait fait faire à Père… même si durant l’enfance je lui en voulus beaucoup de m’avoir laissé sans mère… dans tous les cas, je pense sincèrement qu’il a fait le bon choix. Au moins il n’a pas perdu davantage d’argent pour rien… J’avais à peine dix-sept ans quand mon père me promit en mariage à la fille de la famille Verneuil. Unique descendante au moment du mariage, bien sûr…
Vous devinez la suite n’est-ce pas ? Peu après e mariage, ma belle-famille eut enfin un héritier mâle… quand je disais que j’avais une poisse d’enfer ! Oui, c’est plus la poisse que le manque d’envie de réussir au final… car père – comme je le fis après lui – tenta sa chance… au final, un investissement c’était comme un pari, on pariait sur la réussite d’une entreprise… enfin bon, heureusement qu’il y avait l’hippodrome, n’est-ce pas ? On continuait à vivre comme on pouvait… oui, en nobles désargentés, tout simplement… d’ailleurs autant vous dire que mon mariage ne dura pas. Devant mon infortune, mon épousée demanda le divorce que je lui accordais. De quel intérêt l’était-elle si elle n’avait pas d’argent à apporter à la famille en plus de sa doit qui avait été plus que décevante au final, et n’avait pas fait long feu. Je me rabattais alors sur une douairière qui n’était pas de première fraicheur mais sans enfants ni famille encore en vie…
Nous étions surs de pouvoir faire fortune de nouveau. Utilisant les fonds de ma bien aimée, avec son accord, nous investîmes dans une expédition navale pour ramener des produits exotiques. Vous devinez la suite ? Le bateau disparut et on en entendit pus jamais parler… elle ne me pardonna jamais cet échec et préféra me laisser, ne voulant plus jamais entendre parler de moi… pas trente ans et déjà deux divorces sur les bras. Et ce n’était pas fini. Au total j’eus dans ma vie quatre épouses. Les deux suivantes furent peut-être les plus longues, mais ce furent aussi celles que je perdis le plus définitivement. La première – je l’épousais à peine sortie de l’enfance dès qu’elle eut l’âge légal. Elle mourut trois ans plus tard d’un accouchement qui ne laissa derrière elle que sang et larmes. L’enfant mourant en couche en même temps que sa mère. La deuxième aussi dura plus longtemps que les autres, restant cinq ans à mes côtés avant d’être emportée par la maladie. Beaucoup d’échecs matrimoniaux dans la famille. Que ça ou presque. Je résolus à ne pas me marier et à grappiller ce dont j’avais besoin pour survivre, trouvant toujours quelqu’un qui pourrait m’inviter… déjeuner chez untel, diner chez une telle, allant de réception en réception, me formant un réseau de connaissances assez vaste pour pouvoir m’offrir le luxe de choisir même. Et au lieu d’une épouse, je pouvais avoir une bonne dose de débauche de ci de là… ça me convenait bien
Je ne vais pas vous dire que je me prostituais, non. Ne me confondez pas avec d’autres, mais je profitais de mes charmes pour obtenir de l’argent pour des affaires, à droite, à gauche, remboursant quand et comme je le pouvais, empruntant à des usuriers aussi, quand je n’avais pas d’autres choix. Criblé de dettes, je me pris un jour un coup de couteau pour me rappeler de payer dans les temps… devenu le seigneur de Lascelle, je ne pouvais m’empêcher de tenter de regagner de l’argent pour me renflouer, séduisant les veuves, les héritières, les célibataires, qui pouvaient m’en offrir l’occasion… et je survivais autant que faire se peut ; Je restais sur le fil pour mon train de vie. Parfois, mes tenues étaient un peu élimées, mais rien de bien méchant. Je me débrouillais, pourrait-on dire… mieux encore, j’avais une nouvelle cible. Une jeune femme de bonne famille divorcée, de jolis yeux bleus. Et immensément riche… avec ça je n’aurai sans doute plus besoin de parier sur mes propres chevaux et de triquer certaines courses…
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Divers :
- Il est complètement fauché et survit grace au jeu, aux paris, quand il ne perd pas, et à son réseau de « donatrices »
- C’est un parieur invétéré, il n’arrive pas à les refuser
- Une rumeur prétendrait qu’il serait petr à tout pour de l’argent
- Sa tenue laisse souvent à désirer (tenues élimées souvent, un peu usées)
- Ses chevaux semblent être tenus pour les meilleurs de l’empire si ce n’est les meilleur du monde, il se retrouve à les vendre ur plusieurs générations à l’avance…
- Il est complètement fauché et survit grace au jeu, aux paris, quand il ne perd pas, et à son réseau de « donatrices »
- C’est un parieur invétéré, il n’arrive pas à les refuser
- Une rumeur prétendrait qu’il serait petr à tout pour de l’argent
- Sa tenue laisse souvent à désirer (tenues élimées souvent, un peu usées)
- Ses chevaux semblent être tenus pour les meilleurs de l’empire si ce n’est les meilleur du monde, il se retrouve à les vendre ur plusieurs générations à l’avance…
Date de naissance : 91
Double compte : Everard Zullheimer
Commentaire : Les coccinelles sont des coléoptères
Double compte : Everard Zullheimer
Commentaire : Les coccinelles sont des coléoptères
Mer 8 Fév 2017 - 19:04
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
Vous voilà donc arriver Monsieur de Lascelle, enfin!
Tu es validé(e)
Tu as la possibilité de créer ton carnet de bal désormais ou encore de proposer des pv si tu en as besoin !
Si tu ne l'as pas fait, peux-tu remplir ton profil correctement s'il te plait?
Pas la peine de passer dans les registres puisque nous les mettrons obligatoirement à jour en te validant, top non ? Mais si jamais tu as besoin de nous communiquer quoi que ce soit, cette partie du forum fera certainement ton bonheur !
Maintenant tu as toutes tes clés en mains pour jouer, n’oublies pas, pour la bonne harmonie du forum, que quand tu as finis un rp, il faut passer par ici! En attendant et bien va comploter !
Que Timan et Pohn veille sur toi !
Tu es validé(e)
Tu as la possibilité de créer ton carnet de bal désormais ou encore de proposer des pv si tu en as besoin !
Si tu ne l'as pas fait, peux-tu remplir ton profil correctement s'il te plait?
Pas la peine de passer dans les registres puisque nous les mettrons obligatoirement à jour en te validant, top non ? Mais si jamais tu as besoin de nous communiquer quoi que ce soit, cette partie du forum fera certainement ton bonheur !
Maintenant tu as toutes tes clés en mains pour jouer, n’oublies pas, pour la bonne harmonie du forum, que quand tu as finis un rp, il faut passer par ici! En attendant et bien va comploter !
Que Timan et Pohn veille sur toi !
Mer 8 Fév 2017 - 19:48
Invité
Invité
bonjour Monsieur de Lascelle, bienvenue.
Mer 8 Fév 2017 - 20:05
Invité
Invité
re-bienvenue !!!!
Mer 8 Fév 2017 - 20:17
Invité
Invité
Je reconnais, sans vraiment le reconnaître !
Serais-je bizarre ?
En tout cas, soyez le bienvenu Mr de Lascelle,
Serais-je bizarre ?
En tout cas, soyez le bienvenu Mr de Lascelle,