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Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.
PERIODE DE JEU
été 440 AM
été 440 AM
Grands - Aliénor Faust - Forgeron Impérial [Terminé]
2 participants
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Lun 27 Fév 2017 - 16:58
Invité
Invité
FAUST Aliénor
ft. Jessica Chastain
Surnom : Aucun, mais les gens l'appellent généralement par son nom
Âge : 36 ans
Métier : Forgeron
Nationalité et origines : Eskroise
Situation conjugale : Célibataire
Culte : Aernia
Orientation sexuelle : Hétéro
Groupe : Grands
Âge : 36 ans
Métier : Forgeron
Nationalité et origines : Eskroise
Situation conjugale : Célibataire
Culte : Aernia
Orientation sexuelle : Hétéro
Groupe : Grands
Carnation : Blanche
Taille : 1m65
Corpulence : Svelte
Cheveux : Rouquine, avec les cheveux longs jusqu'au milieu du dos
Yeux : Entre le gris, le vert et le bleu
Signes distinctifs : Différents tatouages répartis sur le corps.
Taille : 1m65
Corpulence : Svelte
Cheveux : Rouquine, avec les cheveux longs jusqu'au milieu du dos
Yeux : Entre le gris, le vert et le bleu
Signes distinctifs : Différents tatouages répartis sur le corps.
Caractère : Aliénor est quelqu'un d'assez discret sur elle même et ses ambitions. Elle aime mener une vie simple, loin de l'agitation du palais. Elle n'est pour autant pas quelqu'un qui se laisse vivre sans chercher à pimenter sa vie. Elle aime chercher et remporter de nouveaux défis aussi régulièrement que possible, et ne manque pas une occasion de se divertir.
Très méticuleuse et dévouée à son travail, elle est capable de forger de véritables œuvres d'art, tout comme des pièces d'armes, avec autant de finesse et de détails. Le côté féminin qu'elle peut présenter en privé jure complètement avec son apparence finalement très masculine et peu avenante lorsqu'elle est aux forges. Comme si elle changeait complètement d'identité et de personnalité. Peut-être d'ailleurs, qu'elle est schizophrène, au final.
Elle peut être très avenante et attentive envers les personnes qui comptent pour elle. Cela étant, elle ne manque pas d'arguments et d'autorité pour asseoir son territoire et ses règles lorsqu'il s'agit d'étrangers à son cercle. On ne lui marche pas sur les pieds sans en payer les conséquences, même si cela risque éventuellement de lui causer des soucis.
Parfois incapable de faire taire 1) son désir de forge ou 2) les nombreuses voix et réflexions qui lui passent par la tête, Aliénor est tombée lentement mais sûrement dans la toxicomanie. Il ne se passe pas une journée sans qu'elle ne prenne sa dose, ne serait-ce que pour dormir. Tant qu'elle se régule, elle a un comportement tout à fait normal. Si elle en prend trop, elle vous paraîtra ailleurs et éprouvera des difficultés pour se concentrer. En manque, elle est à fleur de peau et risque bien de vous mettre une droite si jamais vous l'agacez.
En tant qu'Eskroise, elle n'en est pas moins dévouée à l'Empire. Loin d'être forcément nationaliste ou prête à prendre les armes pour l'Empire, elle sait très bien que si un conflit devait éclater, elle se rangerait tout de même du côté des Ambrosiens. Pour elle, l'Empire est la forme la plus aboutie de civilisation, un idéal auquel elle croît, elle ne voudrait pas qu'un état concurrent vienne semer le trouble dans cette paix bien menée.
Très méticuleuse et dévouée à son travail, elle est capable de forger de véritables œuvres d'art, tout comme des pièces d'armes, avec autant de finesse et de détails. Le côté féminin qu'elle peut présenter en privé jure complètement avec son apparence finalement très masculine et peu avenante lorsqu'elle est aux forges. Comme si elle changeait complètement d'identité et de personnalité. Peut-être d'ailleurs, qu'elle est schizophrène, au final.
Elle peut être très avenante et attentive envers les personnes qui comptent pour elle. Cela étant, elle ne manque pas d'arguments et d'autorité pour asseoir son territoire et ses règles lorsqu'il s'agit d'étrangers à son cercle. On ne lui marche pas sur les pieds sans en payer les conséquences, même si cela risque éventuellement de lui causer des soucis.
Parfois incapable de faire taire 1) son désir de forge ou 2) les nombreuses voix et réflexions qui lui passent par la tête, Aliénor est tombée lentement mais sûrement dans la toxicomanie. Il ne se passe pas une journée sans qu'elle ne prenne sa dose, ne serait-ce que pour dormir. Tant qu'elle se régule, elle a un comportement tout à fait normal. Si elle en prend trop, elle vous paraîtra ailleurs et éprouvera des difficultés pour se concentrer. En manque, elle est à fleur de peau et risque bien de vous mettre une droite si jamais vous l'agacez.
En tant qu'Eskroise, elle n'en est pas moins dévouée à l'Empire. Loin d'être forcément nationaliste ou prête à prendre les armes pour l'Empire, elle sait très bien que si un conflit devait éclater, elle se rangerait tout de même du côté des Ambrosiens. Pour elle, l'Empire est la forme la plus aboutie de civilisation, un idéal auquel elle croît, elle ne voudrait pas qu'un état concurrent vienne semer le trouble dans cette paix bien menée.
Histoire : Cette histoire commence comme de nombreuses autres, dans une famille de dignitaires Eskrois. Aliénor est la première enfant d'une famille qui en comportera finalement six. Elle en est la seule fille, la seule qu'ils n'ont pas facilement prise au sérieux. Très protégée, parfois mise à l'écart, elle a rapidement développé sa vie intérieure. Ainsi, ses parents vous la décriraient comme une enfant assez solitaire finalement, qui apprécie de se retrouver en compagnie de ses frères, mais qui garde toujours une certaine distance avec eux. Pourquoi? Jusqu'à quel point? Il était déjà assez difficile de lire les pensées de la petite.
Elle grandit sans heurt ni évènement particulier, jusqu'au début de son adolescence. Elle s'invente toujours des histoires, parfois des mondes entiers. Elle y est tour à tour magicienne, princesse ou encore chevalier. Rapidement, elle s'est forgé un caractère bien trempé, et n'hésite pas à se rebeller contre ses frères déjà plus grands et plus forts, lorsqu'ils décident de la chahuter. Elle a priori si gentille et inoffensive se découvre des capacités à nuire assez prononcées, qui l'effraient plus qu'autre chose. Elle fuit les conflits et les affrontements même verbaux, de crainte d'avoir une réaction disproportionnée.
Des années avant son pupillage, c'est par hasard, et au détours d'une ruelle Eskroise, qu'Aliénor a son premier contact avec les forges. C'est là qu'elle croise un maître-forgeron, et tombe sous le charme de son art. Armes, mais aussi véritables œuvres d'art, objets du quotidien, tout ce qu'elle peut voir dans son atelier l'enchante et la fascine. En le voyant officier, elle ne peut qu'admirer la précision de ses gestes, la concentration dans son regard, l'effort et la force de ses bras. Cet homme, de toute sa force et de toute la hargne qu'il y met, crée des choses magnifiques. Il lui faudra des trésors de patience pour convaincre ses parents, et une haute dose de persévérance pour se faire accepter comme apprentie, mais elle se fera embauchée moins de six mois plus tard, à l'âge de 15 ans.
Les années qui suivirent furent beaucoup plus belles pour Faust (elle ne désirait se faire appeler que par son nom désormais). Au contact des forges, elle apprit à maîtriser sa colère et à réprimer sa haine. De ses mains naquirent des pièces magnifiques, dont certaines doivent encore orner le Palais Impérial. Elle y mettait déjà tout son cœur et toute sa créativité. En l'espace de quelques petites années, elle apprit l'art des forges, et se montrait particulièrement douée. Ce que son Maître ignorait, c'est qu'elle apprenait également beaucoup sur elle même.
Les crises avaient commencé juste avant qu'elle ne devienne apprentie. Parfois, elle était seule, dans sa chambre, et s'endormait calmement. Elle se réveillait alors au milieu de la cour, chez ses parents, en train d'administrer une correction à l'un de ses frères, qui l'avait injuriée et provoquée la veille. Au fur et à mesure des crises, les trous de mémoire devenaient de plus en plus fréquents et de plus en plus longs, et elle commençait à se demander si elle ne perdait pas la raison.
Le travail de la forge l'aidait beaucoup à affronter et enfermer sa schizophrénie. Concentrée pendant des heures, elle ne laissait finalement aucune opportunité à son double pour prendre le dessus. Épuisée quand elle rentrait de ses longues journées, elle n'avait de contact social avec aucun des membres de sa famille, et son corps était bien trop éreinté pour risquer de se lever plutôt que de se reposer. Ce travail lui permettait donc de trouver l'équilibre.
Le pupillage fut pour Faust une réelle occasion de voir le monde autrement. Si ses parents étaient des dignitaires appelés à voyager régulièrement, elle n'avait pourtant jamais mis les pieds en dehors de sa ville natale. Placée sous la bienveillance d'un Ambrosien, elle eut la chance de tomber sur un être assez intelligent pour ne pas la malmener. Peut-être avait-il une certaine crainte des épaules carrées qu'elle avait déjà à ses 18 ans.
Elle apprit beaucoup de lui. Et elle découvrit notamment les fumeries d'Opium. C'était une distraction qu'elle n'aurait jamais pu se permettre à Eskr, tant elle avait à faire là bas. Et puis, ses parents n'étaient pas très libéraux sur la question. Ils auraient enfermé leur fille chez les fous plutôt que de la laisser traiter ses crises avec de l'Opium. Pourtant, elle en fut rapidement persuadée, c'était là la solution à tous ses problèmes! Certes elle continuerait à forger, mais elle n'aurait plus peur désormais de s'endormir le soir en craignant de se réveiller le lendemain avec le sang d'un innocent sur les mains.
Les trois ans de son pupillage furent une réelle révélation. Lorsque l'association arriva à son terme, elle décida de s'installer à Ambrosia. Seul son Maître l'attendait à Eskr, mais une missive lui fit clairement comprendre qu'il ne pouvait rêver mieux pour elle que de s'installer dans la cité. Sans même se retourner vers sa famille, elle ouvrit une forge avec les économies réalisées lors de son apprentissage, et commença à travailler pour de riches clients, friands de la finesse de son travail.
La rencontre avec l'Impératrice Lilith de Choiseul eut lieu quelques années après la fin de son pupillage. L'Impératrice n'était pas encore sur le trône. Bien sûr, Faust savait tout de même qui elle était, et qui elle serait un jour. C'était l'ancien tuteur de l'Eskroise qui les avait mises en relation.
Lilith travaillait sur un concept nouveau pour l'époque: les automates. Si le fonctionnement de ces engins était tout à fait son domaine de compétences, elle rencontrait quelques problèmes mécaniques. Certaines pièces nécessitaient une manufacture particulière, qu'elle n'obtenait nulle part, certains alliages requéraient des optimisations spécifiques.
Faust a donc apporté sa pierre à l'édifice, sans chercher la notoriété ou la richesse. Elle a encaissé son salaire normal, et n'est jamais apparue sur le brevet. D'ailleurs, si vous remarquez que certains de ces travaux contiennent un alliage similaire à celui utilisé pour les automates, elle vous répondra que ce n'est qu'une coïncidence.
Le titre de Grand lui a été donné juste après le brevet de Lilith de Choiseul. Faust l'a accueilli comme une malédiction plus que comme la reconnaissance de son travail accompli. Que ce soit lors de la proclamation ou bien depuis, elle n'a jamais réussi à réellement s'adapter à ce statut. Les mondanités auxquelles elle se doit d'assister l'ont lassée dès la première fois. Elle n'y va que par obligation et cherche systématiquement le moyen de fuir dès qu'elle en a l'opportunité. Physiquement, ces soirées sont également une réelle épreuve tant il lui faut d'effort pour ne pas se laisser déborder par l'ennui et risquer une nouvelle crise.
Depuis ce travail, Faust fuit le haut du Palais Impérial, reste dans les forges installées dans les sous-sols du Palais, limite ses contacts avec les Grands et les Dignitaires. Elle a remarqué qu'elle fait plus de crises lorsqu'elle est distraite par les mondanités et autres conversations qui ne l'intéressent pas. Dommage, parce qu'il lui arrive d'apprécier cette compagnie.
Pendant sa coopération avec Lilith de Choiseul, il est arrivé quelque chose d'assez imprévu à Faust. Elle voyait régulièrement un homme, et partageait son lit. Elle est tombée enceinte sans le désirer, mais a rapidement apprécié la nouvelle. Au début, sur le papier, cette grossesse était ce qu'il pouvait lui arriver de mieux. Pour le bien être de l'enfant, elle réussissait même à ne plus consommer aucune drogue ni aucun alcool. Et c'est ce qui a fait déraper la belle histoire en devenir. Le père de son enfant s'est rapidement rendu compte, une fois qu'elle n'empêchait plus ses crises, qu'elle souffrait d'une pathologie bien réelle. Chose qu'elle n'a pas voulu entendre. Il a aujourd'hui la garde de leur enfant malgré tout ce qu'elle a pu faire pour l'en empêcher. Leurs relations ont beau être cordiales, Faust lui en veut énormément pour cela.
A l'heure actuelle, les ambitions de Faust sont assez modestes: continuer à exercer son art et à maîtriser ses crises, se rapprocher de sa fille.
Elle grandit sans heurt ni évènement particulier, jusqu'au début de son adolescence. Elle s'invente toujours des histoires, parfois des mondes entiers. Elle y est tour à tour magicienne, princesse ou encore chevalier. Rapidement, elle s'est forgé un caractère bien trempé, et n'hésite pas à se rebeller contre ses frères déjà plus grands et plus forts, lorsqu'ils décident de la chahuter. Elle a priori si gentille et inoffensive se découvre des capacités à nuire assez prononcées, qui l'effraient plus qu'autre chose. Elle fuit les conflits et les affrontements même verbaux, de crainte d'avoir une réaction disproportionnée.
Des années avant son pupillage, c'est par hasard, et au détours d'une ruelle Eskroise, qu'Aliénor a son premier contact avec les forges. C'est là qu'elle croise un maître-forgeron, et tombe sous le charme de son art. Armes, mais aussi véritables œuvres d'art, objets du quotidien, tout ce qu'elle peut voir dans son atelier l'enchante et la fascine. En le voyant officier, elle ne peut qu'admirer la précision de ses gestes, la concentration dans son regard, l'effort et la force de ses bras. Cet homme, de toute sa force et de toute la hargne qu'il y met, crée des choses magnifiques. Il lui faudra des trésors de patience pour convaincre ses parents, et une haute dose de persévérance pour se faire accepter comme apprentie, mais elle se fera embauchée moins de six mois plus tard, à l'âge de 15 ans.
Les années qui suivirent furent beaucoup plus belles pour Faust (elle ne désirait se faire appeler que par son nom désormais). Au contact des forges, elle apprit à maîtriser sa colère et à réprimer sa haine. De ses mains naquirent des pièces magnifiques, dont certaines doivent encore orner le Palais Impérial. Elle y mettait déjà tout son cœur et toute sa créativité. En l'espace de quelques petites années, elle apprit l'art des forges, et se montrait particulièrement douée. Ce que son Maître ignorait, c'est qu'elle apprenait également beaucoup sur elle même.
Les crises avaient commencé juste avant qu'elle ne devienne apprentie. Parfois, elle était seule, dans sa chambre, et s'endormait calmement. Elle se réveillait alors au milieu de la cour, chez ses parents, en train d'administrer une correction à l'un de ses frères, qui l'avait injuriée et provoquée la veille. Au fur et à mesure des crises, les trous de mémoire devenaient de plus en plus fréquents et de plus en plus longs, et elle commençait à se demander si elle ne perdait pas la raison.
Le travail de la forge l'aidait beaucoup à affronter et enfermer sa schizophrénie. Concentrée pendant des heures, elle ne laissait finalement aucune opportunité à son double pour prendre le dessus. Épuisée quand elle rentrait de ses longues journées, elle n'avait de contact social avec aucun des membres de sa famille, et son corps était bien trop éreinté pour risquer de se lever plutôt que de se reposer. Ce travail lui permettait donc de trouver l'équilibre.
Le pupillage fut pour Faust une réelle occasion de voir le monde autrement. Si ses parents étaient des dignitaires appelés à voyager régulièrement, elle n'avait pourtant jamais mis les pieds en dehors de sa ville natale. Placée sous la bienveillance d'un Ambrosien, elle eut la chance de tomber sur un être assez intelligent pour ne pas la malmener. Peut-être avait-il une certaine crainte des épaules carrées qu'elle avait déjà à ses 18 ans.
Elle apprit beaucoup de lui. Et elle découvrit notamment les fumeries d'Opium. C'était une distraction qu'elle n'aurait jamais pu se permettre à Eskr, tant elle avait à faire là bas. Et puis, ses parents n'étaient pas très libéraux sur la question. Ils auraient enfermé leur fille chez les fous plutôt que de la laisser traiter ses crises avec de l'Opium. Pourtant, elle en fut rapidement persuadée, c'était là la solution à tous ses problèmes! Certes elle continuerait à forger, mais elle n'aurait plus peur désormais de s'endormir le soir en craignant de se réveiller le lendemain avec le sang d'un innocent sur les mains.
Les trois ans de son pupillage furent une réelle révélation. Lorsque l'association arriva à son terme, elle décida de s'installer à Ambrosia. Seul son Maître l'attendait à Eskr, mais une missive lui fit clairement comprendre qu'il ne pouvait rêver mieux pour elle que de s'installer dans la cité. Sans même se retourner vers sa famille, elle ouvrit une forge avec les économies réalisées lors de son apprentissage, et commença à travailler pour de riches clients, friands de la finesse de son travail.
La rencontre avec l'Impératrice Lilith de Choiseul eut lieu quelques années après la fin de son pupillage. L'Impératrice n'était pas encore sur le trône. Bien sûr, Faust savait tout de même qui elle était, et qui elle serait un jour. C'était l'ancien tuteur de l'Eskroise qui les avait mises en relation.
Lilith travaillait sur un concept nouveau pour l'époque: les automates. Si le fonctionnement de ces engins était tout à fait son domaine de compétences, elle rencontrait quelques problèmes mécaniques. Certaines pièces nécessitaient une manufacture particulière, qu'elle n'obtenait nulle part, certains alliages requéraient des optimisations spécifiques.
Faust a donc apporté sa pierre à l'édifice, sans chercher la notoriété ou la richesse. Elle a encaissé son salaire normal, et n'est jamais apparue sur le brevet. D'ailleurs, si vous remarquez que certains de ces travaux contiennent un alliage similaire à celui utilisé pour les automates, elle vous répondra que ce n'est qu'une coïncidence.
Le titre de Grand lui a été donné juste après le brevet de Lilith de Choiseul. Faust l'a accueilli comme une malédiction plus que comme la reconnaissance de son travail accompli. Que ce soit lors de la proclamation ou bien depuis, elle n'a jamais réussi à réellement s'adapter à ce statut. Les mondanités auxquelles elle se doit d'assister l'ont lassée dès la première fois. Elle n'y va que par obligation et cherche systématiquement le moyen de fuir dès qu'elle en a l'opportunité. Physiquement, ces soirées sont également une réelle épreuve tant il lui faut d'effort pour ne pas se laisser déborder par l'ennui et risquer une nouvelle crise.
Depuis ce travail, Faust fuit le haut du Palais Impérial, reste dans les forges installées dans les sous-sols du Palais, limite ses contacts avec les Grands et les Dignitaires. Elle a remarqué qu'elle fait plus de crises lorsqu'elle est distraite par les mondanités et autres conversations qui ne l'intéressent pas. Dommage, parce qu'il lui arrive d'apprécier cette compagnie.
Pendant sa coopération avec Lilith de Choiseul, il est arrivé quelque chose d'assez imprévu à Faust. Elle voyait régulièrement un homme, et partageait son lit. Elle est tombée enceinte sans le désirer, mais a rapidement apprécié la nouvelle. Au début, sur le papier, cette grossesse était ce qu'il pouvait lui arriver de mieux. Pour le bien être de l'enfant, elle réussissait même à ne plus consommer aucune drogue ni aucun alcool. Et c'est ce qui a fait déraper la belle histoire en devenir. Le père de son enfant s'est rapidement rendu compte, une fois qu'elle n'empêchait plus ses crises, qu'elle souffrait d'une pathologie bien réelle. Chose qu'elle n'a pas voulu entendre. Il a aujourd'hui la garde de leur enfant malgré tout ce qu'elle a pu faire pour l'en empêcher. Leurs relations ont beau être cordiales, Faust lui en veut énormément pour cela.
A l'heure actuelle, les ambitions de Faust sont assez modestes: continuer à exercer son art et à maîtriser ses crises, se rapprocher de sa fille.
Divers :
Informations non publiques:
• Faust est toxicomane et n'hésite pas à essayer un peu tout ce qui passe pour calmer ses crises de "perte de mémoire".
• Elle n'en a pas conscience, mais Faust est réellement schizophrène. Son autre personnalité prend le dessus lorsque Faust est en danger ou que son esprit n'est plus occupé (et non drogué). Pour elle, ses crises ne sont que des pertes de mémoire. Comme les interventions de son "Autre" sont régulièrement violentes, Faust craint plus que tout de commettre un jour l'irréparable sans s'en rendre compte.
• Faust n'est pas le vrai nom d'Aliénor. Elle n'a jamais donné son vrai nom à qui que ce soit d'autre que son tuteur de pupillage. L'information est rangée quelque part dans un dossier de l'Empire.
• Elle a une fille de 12 ans, dont elle n'a pas la garde. Elle n'est pas mariée avec le père, qui est au courant de ses troubles mentaux et de son refus d'hériter de sa famille pour vivre simplement.
A noter:
En Doré les paroles de Faust
En Blanc les paroles de l'Autre
Informations non publiques:
• Faust est toxicomane et n'hésite pas à essayer un peu tout ce qui passe pour calmer ses crises de "perte de mémoire".
• Elle n'en a pas conscience, mais Faust est réellement schizophrène. Son autre personnalité prend le dessus lorsque Faust est en danger ou que son esprit n'est plus occupé (et non drogué). Pour elle, ses crises ne sont que des pertes de mémoire. Comme les interventions de son "Autre" sont régulièrement violentes, Faust craint plus que tout de commettre un jour l'irréparable sans s'en rendre compte.
• Faust n'est pas le vrai nom d'Aliénor. Elle n'a jamais donné son vrai nom à qui que ce soit d'autre que son tuteur de pupillage. L'information est rangée quelque part dans un dossier de l'Empire.
• Elle a une fille de 12 ans, dont elle n'a pas la garde. Elle n'est pas mariée avec le père, qui est au courant de ses troubles mentaux et de son refus d'hériter de sa famille pour vivre simplement.
A noter:
En Doré les paroles de Faust
En Blanc les paroles de l'Autre
Date de naissance : fin mars 93
Double compte : Nope
Où nous as-tu trouvé? : Pub de Lilith!
Commentaire : Nope?
Double compte : Nope
Où nous as-tu trouvé? : Pub de Lilith!
Commentaire : Nope?
Lun 27 Fév 2017 - 18:13
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
Bienvenue Alienor!!!
Lun 27 Fév 2017 - 18:16
Invité
Invité
Merci Lilith
Mar 28 Fév 2017 - 15:41
Invité
Invité
Un petit DP pour signaler que c'est terminé
Mar 28 Fév 2017 - 17:13
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Nationalité : Amethien
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Bonjour et bienvenue !
Je vais m’attaquer à la modération de ta fiche ! Mais avant toute validation, il va falloir que tu mettes le titre de ton sujet aux normes sous la forme « groupe – prénom nom – métier.
En premier lieu, je pense qu’il faut éclaircir le sujet : le pupillage ne se fait que pour les enfants de dignitaires et représentants étrangers, donc une bonne famille ne suffirait sans doute pas pour cela. La seule exception étant les enfants des Grands issus du peuple.
Et les marchands Eskrois n’étant pas nobles, il n’est pas possible de faire son pupillage !
La rumeur que tu présentes ne semble pas réaliste. En effet, la proclamation de Grand est publique en audience officielle avec l’impératrice… aussi, il ne peut y avoir de rumeur sur le sujet, uniquement de faits. De plus si elle avait effectivement refusé, ça aurait été une énorme disgrâce et une bonne partie des clients auraient déserté à cause de cela…
Je vais m’attaquer à la modération de ta fiche ! Mais avant toute validation, il va falloir que tu mettes le titre de ton sujet aux normes sous la forme « groupe – prénom nom – métier.
En premier lieu, je pense qu’il faut éclaircir le sujet : le pupillage ne se fait que pour les enfants de dignitaires et représentants étrangers, donc une bonne famille ne suffirait sans doute pas pour cela. La seule exception étant les enfants des Grands issus du peuple.
Et les marchands Eskrois n’étant pas nobles, il n’est pas possible de faire son pupillage !
La rumeur que tu présentes ne semble pas réaliste. En effet, la proclamation de Grand est publique en audience officielle avec l’impératrice… aussi, il ne peut y avoir de rumeur sur le sujet, uniquement de faits. De plus si elle avait effectivement refusé, ça aurait été une énorme disgrâce et une bonne partie des clients auraient déserté à cause de cela…
Mar 28 Fév 2017 - 17:38
Invité
Invité
Bonjour =) Et merci pour la bienvenue!
Je n'avais pas vu/compris les choses comme ça. Je vais modifier ça, pas de soucis!
Du coup, j'ai des idées, est-ce que tu peux me dire ce que ça vaut?
Pour moi, c'est vraiment son métier qui la caractérise le plus, parce que c'est ce qui l'aide à passer outre son dédoublement de personnalité, et j'aimerais vraiment faire ressortir ce point, quel que soit son statut social.
Je standardiserai mon titre de sujet dès que les adaptations de la fiche seront faites =)
Je n'avais pas vu/compris les choses comme ça. Je vais modifier ça, pas de soucis!
Du coup, j'ai des idées, est-ce que tu peux me dire ce que ça vaut?
- Si je veux rester du peuple, je zappe le pupillage, j'explique la venue à Ambrosia autrement, pour arriver au même point final d'un forgeron très capable qui reste simple sans plus d'importance.
- Si je veux lui laisser son pupillage, je dois lui mettre des parents diplomates (et retravailler ses relations familiales)(on oublie du coup ce refus du statut de Grand). Du coup j'ai quelques questions:
1) est-ce que ce statut est héréditaire?
2) est-ce qu'il est obligatoire ou bien peut-il être assumé par l'un de ses frères ?
3) s'il est obligatoire, est-ce-qu'elle a des fonctions de dignitaire tant que ses parents sont en vie?
4) est-ce qu'elle est obligée d'abandonner son travail de la forge?
4) si elle a la double casquette dignitaire/forgeron, à quel point l'aspect dignitaire doit-il avoir de l'importance? - Dans l'hypothèse où elle ferait partie des Grands, peut-elle tout de même conserver ses forges et y consacrer le temps qu'elle souhaite?
Pour moi, c'est vraiment son métier qui la caractérise le plus, parce que c'est ce qui l'aide à passer outre son dédoublement de personnalité, et j'aimerais vraiment faire ressortir ce point, quel que soit son statut social.
Je standardiserai mon titre de sujet dès que les adaptations de la fiche seront faites =)
Mar 28 Fév 2017 - 18:08
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Nationalité : Amethien
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Pour le pupillage, c’est exactement ça ! Soit les parents de ta miss sont nobles et elle peut faire son pupillage ; soit ils ne le sont pas et elle ne le fait pas, tout simplement ! :3
Dans l’absolu, si tu pars sur l’idée de fille de dignitaire, la ligne d’héritage exclue ta miss, elle n’en reste pas moins fille de dignitaire et fera son pupillage, mais n’héritant pas elle n’aura aucun pouvoir, juste le titre de membre de la famille de sir machin, au mieux ^^
Pour les dignitaires, la situation est particulière. C’est plus ou moins matrilinéaire, c’est-à-dire que c’est le premier neveu issu de la première sœur du seigneur en titre qui est l’héritier, etc.
Pour le titre de Grand, ce n’est pas héréditaire quant à lui. Pas plus qu’un diplomate !
Le titre de Grand n’empêche pas de forger et d’avoir sa forge à elle ! Et d’ailleurs on peut même imaginer une forge royale, dans les sous-sols, où elle travaillerait comme forgeronne royale, ce serait raccord, si elle était une Grande ! En tant que grande elle devra juste passer un peu de temps au palais parmi les courtisans ! Même si elle abhorre ça ! ^^
Dans l’absolu, si tu pars sur l’idée de fille de dignitaire, la ligne d’héritage exclue ta miss, elle n’en reste pas moins fille de dignitaire et fera son pupillage, mais n’héritant pas elle n’aura aucun pouvoir, juste le titre de membre de la famille de sir machin, au mieux ^^
Pour les dignitaires, la situation est particulière. C’est plus ou moins matrilinéaire, c’est-à-dire que c’est le premier neveu issu de la première sœur du seigneur en titre qui est l’héritier, etc.
Pour le titre de Grand, ce n’est pas héréditaire quant à lui. Pas plus qu’un diplomate !
Le titre de Grand n’empêche pas de forger et d’avoir sa forge à elle ! Et d’ailleurs on peut même imaginer une forge royale, dans les sous-sols, où elle travaillerait comme forgeronne royale, ce serait raccord, si elle était une Grande ! En tant que grande elle devra juste passer un peu de temps au palais parmi les courtisans ! Même si elle abhorre ça ! ^^
Mar 28 Fév 2017 - 18:15
Invité
Invité
Bienvenue Aliénor !
Une schizophrène...
Et en mon fort intérieur >
Une schizophrène...
Et en mon fort intérieur >
Mar 28 Fév 2017 - 19:14
Invité
Invité
@Myrcéa: Mercii Faut que je t'envoie un MP maintenant que j'y pense
@Everard: voilà que tu me donnes plein d'idées! L'aspect fille de dignitaire me semble coller le plus avec ce que j'avais pensé en premier (en enlevant le final sur les Grands).
Sinon, si elle est parmi les Grands, quand tu dis qu'elle aura du temps à passer à la Cour, on parle de soirées mondaines ou bien de réunions plus "fonctionnelle"? J'avoue que j'aime l'idée de lui mettre encore un peu de bâtons dans les roues en l'obligeant à arrêter de forger
@Everard: voilà que tu me donnes plein d'idées! L'aspect fille de dignitaire me semble coller le plus avec ce que j'avais pensé en premier (en enlevant le final sur les Grands).
Sinon, si elle est parmi les Grands, quand tu dis qu'elle aura du temps à passer à la Cour, on parle de soirées mondaines ou bien de réunions plus "fonctionnelle"? J'avoue que j'aime l'idée de lui mettre encore un peu de bâtons dans les roues en l'obligeant à arrêter de forger
Mar 28 Fév 2017 - 19:19
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Fais donc très chère, fais donc !
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