Les Chroniques d'Ambrosia - RPG 18+
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Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.

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Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Lilith de Choiseul
Nationalité : Ambrosienne
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Date d'inscription : 14/01/2017
DE CHOISEUL Lilith
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Dernière édition par Lilith de Choiseul le Mar 4 Juil 2017 - 18:47, édité 33 fois
Lilith de Choiseul
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L'histoire après la fiche

Chapitre 01: Aux prémices de l'automne


Elrich vient de mourir, nous sommes à l'automnes 438 AM.
Je me sens épuisée, l'enfant que je portais est mort lui aussi, je n'étais qu'au début de ma grossesse, tout cela était secret. Une fausse couche dû à l'empoisonnement que l'on m'a donné. Si Elrich a été empoisonné, et tué, je l'ai été aussi. Quelqu'un savait que j'étais enceinte, et il s'est chargé de cela.
Pour tout avouer je soupçonne que l'alliance passée avec le Protectorat n'ait déplu, mais alors, quel prétendant va oser se présenter?

La nuit est là, après cette mort, je n'ais point sommeil, dans ma chambre solitaire, encore endolorie des pertes, je cède à mon besoin de voir mon époux, je ne veux de toutes façon pas le laisser seul dans la chapelle royale. Je l'y rejoins et je peux y croiser mon beau frère.   (I)

Everard Zullheimer
Jamais nous n'avons su nous parler, n'avons eu le réel désir de nous côtoyer, est-ce ainsi possible? Il faut bien le croire pourtant et se rendre à l'évidence.
La mort d'Elrich nous a fait partager une douleur commune, une douleur difficile, il a perdu sa moitié, son jumeau, j'ai perdu ma moitié, mon mari. Je n'aurais jamais pensé que nous serions capable de nous entendre, mais le chagrin réunit sous son étendart, les âmes des mortels...


Nous faisons le choix dans cette nuit, d'aller chercher Elena Spina, une jeune femme de la cour. Mon état de fatigue présent, mais incapable d'admettre la faiblesse de mon corps, nous écoutons ses dires, sous la lueur des bougies, alors qu'elle examine le corps. Fine herboriste, elle nous confie dès lors que le poison estanimal et  qu'on lui a fait ingérer, alors qu'elle n'a vu telle chose que par morsure. (II)

Elena Spina
Ainsi fut-elle la pupille de Everard...non que cela soit un point en plus pour elle, mais je ne sais trop pourquoi cette demoiselle m'inspire confiance. Elle est de la cour, courtisane herboriste, mais je ne dénote pas chez elle cette volonté absolue de plaire. Ainsi je lui fais confiance, sans trop trouver cela logique moi-même. Tord ou raison, peu importe n'est-ce pas?
Elle est ainsi mise dans mes confidences et j'envisage d'en faire une de mes dames de compagnie.


Sous les hospices du deuil, enveloppée par la peine de la perte, les jours suivant sont comme les autres.

Un empire sous la main et un monde entier à mon ordre, les affaires de l'Etat agitent  mes sens. Ainsi reçois-je, après une nuit sans sommeil, ou peu, ma ministre, Mélusine Duval. Loin du complot de mon époux, je souhaite lui apporter une aide tout comme une responsabilité, soucieuse, des orphelins disparaissent en Ambrosia. Quelques uns ont été retrouvé morts, ainsi je lui confie le dossier, certaine qu'il est entre de bonnes mains. Si les choses n'avancent pas sous la houlette de son ordre, alors qu'elle est celle qui se soucie le plus des  générations futures, alors je ne sais pas..(III)

Mélusine Duval
J'ai pour cette dame, un des plus grand respect, et une confiance absolue. Nul autre ne pourrait aussi bien diriger le ministère de l'Education, son air parfois froid cache un coeur chaud,que les aléas de la vie ont brisé, j'ose penser que chacune des personnes qui passent sous la houlette de son ministère est observée avec toute l'importance qu'elle peut leur offrir.
Cette dame est une Grande plus qu'au titre que je lui ai confié, mais aussi par la noblesse de sa personne.


Ne pouvant arrêter là mes obligations, je prends ainsi le temps de rencontrer le Commandant général de la gendarmerie. Samuel Kobalt va prendre en charge la surveillance des obsèques de Elrich mais je lui confie d'autre chose pour qu'il puisse enquêter. (IV)

Samuel Kobalt
Commandant de la gendarmerie, il est de ces hommes qui ne sourcille pas, cela n'a pas à me déplaire ou me plaire. Il est de ces créatures qui agissent pour l'empire, un homme dévoué à son rôle et qui permet ainsi de préserver nos terres. Je l'apprécie ainsi que l'on peut apprécier une personne de sa qualité.

Et dans ce chaos déclaré par des assaillants hostiles, le temps passe brutalement, il ne semble pas s'arrêter si vite, si peu, on fait, on agit, on continue. Jusqu'à ce que le temps de la pose n'arrive, alors qu'à coté, inquiète de la santé du Prieur Zullheimer,je lui fais interdire la chapelle, pétrifiée à l'idée pour une fois dans ma vie, de perdre encore quelqu'un, il arrive jusqu'à moi, une douce compagne, qui, d'un cœur jadis juvénile fut reine. Hélène.

Ai-je assez de mot pour vous parler d'elle? J'en doute. Soucieuse de mon bien être, comme toujours et moi trop fière trop pudique, trop inquiète, elle vient à moi. Dans mes appartements. Quelques instants qui suffisent à faire parler la cour, des ragots qu'il ne faut pas laisser installer, obligeant notre entrevue à un public,  elle se soucie, j'impose. Un échange qui fut ainsi tout au long de notre histoire. Et sous les mots, la colère qui m'est facile,nous discutons. Elle apprends,elle sait pour l'enfant disparut et le ventre vide. Elle veut m'apporter son aide, je lui fais confiance, ainsi...ainsi je lui confie quelques petites choses, de se renseigner auprès de Astan Chesterfield, de faire déplacer ses filles pour avoir les mots des domestiques, oui, j'ai confiance en elle elle saura m'aider, car elle ne veut que ma joie...(V)

Héléne de Valene
On me pardonne mes erreurs de jeunesse...ainsi notre histoire est pour le monde, une erreur de jeunesse. J'ai aimé Hélène et peut-être que je l'aime encore, pour tout ce qu'elle est,
pour tout ce qu'elle a été et ce qu'elle sera. Je suis dure et sévère avec elle, elle est ma première passion humaine, car la première passion est l'Empire. Mais je l'ai aimé, le temps qu'on m'a laissé pour cela. Avec des ardeurs insouciantes et des rêveries  d'adolescentes, je l'ai aimé. Parfois je m'en veux encore de l'avoir ainsi fait, j'ai brisé ses amours avant qu'ils ne naissent, pour en garder un seul, rien que pour moi et pour toujours. Mais elle reste une amie...et ma favorite, et elle gardera toujours quelque chose que personne n'aura jamais.


Je ne peux pas rester plus longtemps loin des agitations de la cour, je m'en rends compte après avoir vu Hélène, les courtisans veulent parader, me voir, je ne sais s'ils se repaissent de mon chagrin ou s'ils partagent réellement celui-ci mais je me fais engloutir, enlisée dans les méandres du simulare, les condoléances théâtrales...fort heureusement pour moi, la silhouette du sauveur ne tarde à arriver. Il apparaît comme un prince, m'emmenant: Ross Brisendan. Et nous voilà échapper aux jardins pour converser, le soutient de la banque à l'Empire reste sans faille et je voudrais lui confier plus de chose, jusqu'à ce que son épouse ne nous interrompe. Hélas, elle brise l'enchantement de l'échange, contraint deux amis à se séparer, oblige les chemin à bifurquer. Je ne suis pas en état de prendre part à plus..(VI)

Ross Brisendan
Mon ami, nous avons eu une enfance ensemble, deux empires se touchant pour mieux se rencontrer. Nous avons été souverain d'un chateau de fleur sous la lueur des étoiles et nous nous sommes promis beaucoup de chose. Sans la présence de Ross je ne saurais vraiment exister, je voudrais être là plus souvent pour lui,  mais l'Empire si grand me réclame et me prends. Nous sommes pourtant lié l'un à l'autre, d'une force qu'il n'est pas concevable de brutaliser sous peine de morsure brûlante ...

Dans le deuil, on ne désire rien de cruel, pas de mots fort, pas d'instant brutaux, pourtant ils viennent. A cause  d’erreurs faites par le chagrin. Ce n'est pas de moi, un dîner de défunt, et une opposition avec Everard, sous le regard de de Voisin. Mais nous avons sû un peu nous apaiser un peu, il est bon de partager du temps avec cet homme. (VII).

C'est ainsi que le moment fatidique passe, en l'honneur de l'époux,je choisis le chemin de la Veuve, pratique améthienne. D'une simple robe blanche, je m'avance dans un long cortège sinistre à mon coeur mais qui emmène avec amour, mon époux. Le visage digne, soutenue par le peuple et l'allure fière, j'assiste au bûcher funéraire, entendant le discours de Everard mais je n'ai pas force de contester  certaines de ses paroles, je laisse glisser, et ce n'est qu'à l'instant de l'embrasement, que mes larmes se font. (VIII).

Voilà, c'est ainsi fait...comme cela. Mon époux est mort, brûlé désormais, je garde quelques cendres tout prêt, je ne peux pas entièrement me séparer de lui. A son testament public, il fait de son frère mon chevalier,un ordre spécifique du protectorat qui demande quelques ajustement (IX) et qu'Everard et moi construisons dans un accord d'après-midi. Espérons que le protectorat s'en satisfasse.

Plus les jours passent, sans être innombrables, il me paraisse redevenir comme avant! Un enchaînement bien étrange...ou mes manques féminins viennent à sertir mon front. Je suis femme de plaisir, le temps n'arrange pas mon humeur, sous la houlette d'un échange de bretteur, je tente de me calmer. Mais sous le jouc de personne qui n'ose, je ne suis point satisfaite, jusqu'à son arrivée: Everard. Un baiser lui est donné dans l'intimité de mes appartements, mais il s'enfuit. Que m'a-t-il prit? Je n'en sais rien. Et ce baiser à réveillé en moi une madeleine de Proust dont je ne saurais taire l'agitation dans mes pensées (X)

Everard Zullheimer
Comment cela peut se produire ? Une simple odeur de savon et voilà une madeleine enrobé sous la simplicité d'un parfum quelconque. Audace et trouble ainsi allié, je ne pourrais rien expliquer de ce qui chahute mon esprit...mon être entier.

Que faire par la suite de tout cela? Essayer tant bien que mal de continuer? Il y a de la gêne dans nos comportements, des refus à se retrouver ensembles, des moments où nous ne disons rien. Le soir de l'annonce de la mort du roi d'Eskr, en est bien la preuve. Nous parlons de tout et de rien, essayant de faire figure en attendant, c'est une chose compliquée, mais nous la faisons. (XI)


Chapitre 02: Sous les bras d'Octobre


Voilà ce que je redoutais...un mois après sa mort, ils se pressent. Le premier prétendant s'est présenté. Constantin Van Pelt, on ne peut pas dire que le fils de la haute claire se soit démarqué, ni même fait preuve de quoi que ce soit. Mais il s'est présenté en tant que prétendant. (XII)

Constantin Van Pelt
Un lent un peu benêt, voilà ceque je pourrais dire de lui d'abord, mais cette lueur de malice dans le regard, surprise un bref instant, me fait me demander qui est ce jeune homme vraiment. il est probable que je le découvrirais tôt ou tard...

A coté de cela, ma vie privée, si tant est que j'en ai une est agitée. Penser à Everard devient quelque chose de compliquer, je ressasse ce que je pense vrai, le fait est que plus j'y pense, plus je me dis que Elrich nous a mis bien avant que nous le sachions, l'un vers l'autre. Et même s'il y a eu de la supercherie, j'ai envie, de satisfaire un désir. Ainsi je rejoins Everard une nuit, dans sa chambre, par les passages secrets, il doute, mais ne refuse pas, il pense accorder une nuit de plaisir, mais je ne veux pas me satisfaire de ça. Quelques mots avant un départ à l'aube, je l'invite à y réfléchir, je ne le forcerais en rien. Soit nous nous livrons à une liaison secrète, soit rien, cela ne me dérange pas. C'est à lui, au fond, de décider. (XIII)

Malgré tout, il est temps le monde d'Ambrosia ne s'arrête jamais, si mon coeur sait ce qu'il est, je puis reprendre quelques activité. Ainsi l'opéra me reçoit en compagnie de Ross Brisendan et de son jeune pupille...je dois avouer n'avoir jamais vu quelque chose d'aussi étrange que ce jeune homme dont les idées sont tout à fait offensantes, il a la liberté de parler mais la courtoisie dans ses propos est manquante. Une punition bien gentille lui revient, je le sépare de Ross et je suis navrée d'infligée une telle punition, mais la chose est nécessaire. Je le confie à Everard Zullheimer pour une semaine. Restée seule dans la loge avec Ross, je suis inquiète, mais la soirée se finit et je me sens épuisée...(XIV)

Ross Brisendan
En son honneur...il le jure. Mon ami...je suis heureuse enfin que son épouse soit enceinte,
le libérant d'un fardeau qui lui pesait, mais la présentation de ce jeune homme laisse la femme perplexe, l'Impératrice pire encore. Pour autant je veux lui faire confiance. Je ne sais pas, il reste mon vieil ami, et je me sens bien auprès de lui...


Ma vie, jonchée de politique et d'affaire, se retrouve encore une fois rapprochée par le problème de la cité de Barras, ou plutot l'île et les différentes nations présentées se tirent encore dans les pattes, le Protectorat en la présence de Everard s'offusque et le Raclusien et l'Eskroi sont ravis, pour autant, il me faut rattraper tout cela, j'aurais du le prévoir, avant de les réunir, j'aurais du engager des rencontres individuelles...ce que je fais finallement en rattrapant le coup avec Everard (XV)

Il me faut échanger une correspondance avec mon oncle,ce jeune homme m'inquiète, je porte mes hésitations sur bien des fronts et sous les élans de la colère, je veux des renseignements, de trois jeunes pupilles d'ailleurs, ainsi je communique à mon oncle Nemrod mes demandes, lui faisant comprendre que j'ai envie de le voir. (XVI)

Nemrod l'Envers
Mon oncle, ronchon et pourtant loyal, fidèle à la famille. J'ai toujours eu une affection tendre à son encontre, comme une complicité évidente à cet homme. Depuis la mort de mon père, je repose bien de mes inquiétudes vers lui, je cherche conseil, il est de ceux que j'aime voir souvent et qui me manque très facilement. Même si je garde quelques pudeurs à me montrer, dans mes émotions, je ne suis pas froide envers lui, au contraire.

Quelques mots sont échangés avec Ross Brisendan aussi, nous parlons de prime abord plus de chose de nos métiers que de nos intimités (XVII)

Quoi qu'il en soit, il vient le moment où je dois présenter le représentant de Barras à Everard, pour autant, il se passe quelque chose, je croise Everard avant, dans un passage secret...RP EN COURS

Everard Zullheimer
Où en sommes-nous et qu'allons nous faire? .




Ainsi donc le jeune homme est convié...RP EN COURS

Onésime de Malterre
Je n'ai pas d'avis favorable pour ce jeune homme pour l'instant. Moi qui l'ai découvert,je doisavouer que la première impression n'est pas bonne. Il m'intrigue et me rends suspicieuse....


Mais sous tout ses hospices, je peux enfin rencontrer un peu mon oncle, tradition de Choiseul... RP EN COURS

Lilith de Choiseul
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Dernière édition par Lilith de Choiseul le Mar 4 Juil 2017 - 18:50, édité 2 fois
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L'histoire après la fiche

Chapitre 02: Sous le voile de l'hiver


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