C’est avec une peine terrible, que nous vous annonçons, la mort des derniers enfants disparus, de l’Orphelinat White, dirigé par Monsieur M. White. Malgré les interventions de Madame Duval, l’enquête menée par ses soins, les enfants n’eurent pas le temps d’être sauvé. C’est la première gouvernante de l’Orphelinat qui, après la mort de Madeleine C. a choisi de se confesser à un prêtre de sa confession, lui faisant part des doutes qu’elle éprouvait quant à l’étrange comportement de son directeur.

Soucieux de l’avenir des orphelins, elle lui a permis de porter sa confession à des oreilles de justice. Des chasseurs d’impies ont alors pénétré l’orphelinat et forcé les portes fermés des sous-sols, découvrant alors l’affreuse monstruosité qui se jouait dans les sous-sol. Un coup de feu ne leur permis pas d’arrêter et de brûler l’impie : le directeur White venait de se tuer, une balle dans la tête, laissant un mot « Pardon ».

De multiples preuves furent retrouvés dans ses appartements de fonction, sa femme fut emportée pour être questionner, et elle avoua, après quelques jours, que son mari s’était laissé emparé par la dévoreuse d’âme. Elle fut brûlée vive sur la place publique, ou elle pria les Dieux à gorge déployée de la pardonner d’avoir ainsi dissimuler les choses par amour pour son époux.

L’orphelinat, touché par la présence de l’Innommable est désormais fermé, il va être détruit ou en tous les cas, c’est ce que réclame les plus fervents croyants et les hommes du protectorat. Au fond personne n’en revient, Monsieur White, vieil homme dévoué à ces orphelins n’était qu’un tueur d’Orphelin. Est-ce possible ?

Les preuves ont pourtant été trouvé, en grand nombre, très grand nombre étrangement….