Informations
Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.
PERIODE DE JEU
été 440 AM
été 440 AM
DIGNITAIRE - Nicolas de Choiseul, prince ambrosien
+2
Daphnée Samabartel
Lilith de Choiseul
6 participants
Page 1 sur 2 • 1, 2
Mar 26 Mai 2020 - 11:18
Invité
Invité
DE CHOISEUL Nicolas
ft. Timothée Chalamet
Surnom :
Le Bâtard, quand il a le dos tourné
Petit Prince, dans l'armée
Âge : 25 ans
Métier : Lieutenant de l'Armée de Terre ambrosienne
Nationalité et origines : Prince du sang ambrosien, branche impériale de la lignée de Mérimin de Choiseul, fils d'Eusébius de Choiseul et Iphigénie de Galois, frère de l'Impératrice Lilith et héritier présomptif ; rien que ça !
Situation conjugale : Célibataire
Culte : Aernia, Kirya et Kay
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Groupe : Les Dignitaires
Le Bâtard, quand il a le dos tourné
Petit Prince, dans l'armée
Âge : 25 ans
Métier : Lieutenant de l'Armée de Terre ambrosienne
Nationalité et origines : Prince du sang ambrosien, branche impériale de la lignée de Mérimin de Choiseul, fils d'Eusébius de Choiseul et Iphigénie de Galois, frère de l'Impératrice Lilith et héritier présomptif ; rien que ça !
Situation conjugale : Célibataire
Culte : Aernia, Kirya et Kay
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Groupe : Les Dignitaires
Carnation : Blanc
Taille : 182cm
Corpulence : Fin
Cheveux : Mi-longs, noirs
Yeux : Bleu
Signe(s) distinctif(s) :
Il a hérité des cicatrices de son service militaire.
Il a au creux des reins la tache de naissance distinctive des De Choiseul, mais c'est un secret bien gardé et même Lilith l'ignore.
Taille : 182cm
Corpulence : Fin
Cheveux : Mi-longs, noirs
Yeux : Bleu
Signe(s) distinctif(s) :
Il a hérité des cicatrices de son service militaire.
Il a au creux des reins la tache de naissance distinctive des De Choiseul, mais c'est un secret bien gardé et même Lilith l'ignore.
Caractère
La première fois qu'on voit Nicolas de Choiseul, l'impression n'est généralement pas extraordinaire ; mais peut-être est-on influencé par les rumeurs courant à son sujet, et celle de sa bâtardise en particulier. Ayant perdu sa mère très jeune et restant trop jeune pour avoir une grande expérience de la vie, il a grandi entre ses devoirs princiers, la tendresse de sa sœur Lilith et les regards mielleux des sycophantes qui levaient volontiers leurs langues de vipères contre lui une fois parti.
C'est un garçon tendre et mélancolique. Il n'a pas peur d'afficher sa vulnérabilité en privé ou de la laisser suinter en public, quand l'occasion s'y présente. C'est un amoureux perdu à qui a toujours manqué un peu d'affection et de douceur. Il se dit qu'il a un mal en lui, qu'il est comme un chiot pas sevré ; mais personne, sinon peut-être sa sœur et son oncle, Nemrod L'Envers, ne lui accordera de compassion, car on ne dépense pas d'énergie à obtenir la faveur et l'amitié d'un bâtard potentiel. Il a peu d'amis ; en a-t-il seulement ? De fait, il est néanmoins facile de faire tomber ses défenses pour l'influencer, et il aura tendance à s'engouffrer dans les ouvertures amicales qui se présentent à lui comme un toxicomane en manque.
L'on ferait bien de ne pas se laisser endormir par la façade de fragilité qu'il peut exposer. L'injustice et le mépris ont toujours des conséquences sur l'adulte en devenir, et Nicolas a compris très jeune que rien ne venait facilement et qu'il fallait faire usage de toutes ses forces et opportunités. Son instruction militaire lui a en outre appris le goût de l'effort, la valeur de la rigueur et la dangerosité de l'ennemi qu'on laisse approcher. Il a de la ressource et est intelligent. Il n'est ni mauvais ni manipulateur, mais son esprit fin en fait un très bon stratège à la cour comme il le fut au combat. Il a une capacité innée à deviner la motivation derrière les actes et le sens caché derrière les mots, et à employer les émotions des uns et des autres pour avancer sa cause. Il n'a peur ni des représailles des opinions des autres. Qu'est-ce qu'un bâtard pourrait bien faire de bons sentiments et d'engagements ? Ce sont autant de choses qu'il pourrait perdre.
N'y voyez pas non plus quelqu'un d'égoïste. Il est loin d'être égoïste. A dire vrai, il a la cause de sa famille et de l'Empire à cœur. Il aime sincèrement son aînée Lilith et son oncle et tuteur, Nemrod, et nourrit envers eux une loyauté indissoluble. S'il s'est parfois égaré, il a toujours retrouvé le chemin vers les siens, et il s'est souvent égaré pour mieux les servir. A l'exception de son récent amour, Olympiane de Thiam, et de son oncle, nul ne sait s'il porte à ses reins la marque de naissance des De Choiseul, et ce choix a ses raisons. L'existence d'un héritier direct et légitime pourrait poser un risque pour Lilith, car on se débarrasse plus volontiers d'un monarque en difficulté quand on sait qu'une solution de rechange idéale existe. Il assume les rumeurs et leurs conséquences pour elle et pour le trône.
Bien sûr, à force de se tenir à l'écart du pouvoir, il n'en a jamais acquis le goût. S'il n'en a pas l'air ainsi, c'est un jeune homme pieux, et il est de ces croyants qui pensent que le pouvoir corrompt. S'il a rejoint les armées de Sa Majesté, c'était pour mieux s'en tenir à distance. Puisse-t-il se perdre au bout du monde et oublier cette cour de sangsues dupliciteuses et ce morbide devoir du sang bleu ! Son éloignement avait été un message assez clair qu'il ne se plaisait pas à la cour, et, s'il s'est précipité à la capitale dès qu'il a su la mort d'Elrich Zullheimer pour soutenir sa chère sœur, sa distanciation et ses récentes erreurs ont jeté un froid dans leur relation qu'il regrette amèrement.
Pour lui, entre le devoir et l'idéalisme, l'heure est au choix. Mais a-t-il véritablement le choix ? Cette petite tache secrète dans son dos peut être une telle gêne !
La première fois qu'on voit Nicolas de Choiseul, l'impression n'est généralement pas extraordinaire ; mais peut-être est-on influencé par les rumeurs courant à son sujet, et celle de sa bâtardise en particulier. Ayant perdu sa mère très jeune et restant trop jeune pour avoir une grande expérience de la vie, il a grandi entre ses devoirs princiers, la tendresse de sa sœur Lilith et les regards mielleux des sycophantes qui levaient volontiers leurs langues de vipères contre lui une fois parti.
C'est un garçon tendre et mélancolique. Il n'a pas peur d'afficher sa vulnérabilité en privé ou de la laisser suinter en public, quand l'occasion s'y présente. C'est un amoureux perdu à qui a toujours manqué un peu d'affection et de douceur. Il se dit qu'il a un mal en lui, qu'il est comme un chiot pas sevré ; mais personne, sinon peut-être sa sœur et son oncle, Nemrod L'Envers, ne lui accordera de compassion, car on ne dépense pas d'énergie à obtenir la faveur et l'amitié d'un bâtard potentiel. Il a peu d'amis ; en a-t-il seulement ? De fait, il est néanmoins facile de faire tomber ses défenses pour l'influencer, et il aura tendance à s'engouffrer dans les ouvertures amicales qui se présentent à lui comme un toxicomane en manque.
L'on ferait bien de ne pas se laisser endormir par la façade de fragilité qu'il peut exposer. L'injustice et le mépris ont toujours des conséquences sur l'adulte en devenir, et Nicolas a compris très jeune que rien ne venait facilement et qu'il fallait faire usage de toutes ses forces et opportunités. Son instruction militaire lui a en outre appris le goût de l'effort, la valeur de la rigueur et la dangerosité de l'ennemi qu'on laisse approcher. Il a de la ressource et est intelligent. Il n'est ni mauvais ni manipulateur, mais son esprit fin en fait un très bon stratège à la cour comme il le fut au combat. Il a une capacité innée à deviner la motivation derrière les actes et le sens caché derrière les mots, et à employer les émotions des uns et des autres pour avancer sa cause. Il n'a peur ni des représailles des opinions des autres. Qu'est-ce qu'un bâtard pourrait bien faire de bons sentiments et d'engagements ? Ce sont autant de choses qu'il pourrait perdre.
N'y voyez pas non plus quelqu'un d'égoïste. Il est loin d'être égoïste. A dire vrai, il a la cause de sa famille et de l'Empire à cœur. Il aime sincèrement son aînée Lilith et son oncle et tuteur, Nemrod, et nourrit envers eux une loyauté indissoluble. S'il s'est parfois égaré, il a toujours retrouvé le chemin vers les siens, et il s'est souvent égaré pour mieux les servir. A l'exception de son récent amour, Olympiane de Thiam, et de son oncle, nul ne sait s'il porte à ses reins la marque de naissance des De Choiseul, et ce choix a ses raisons. L'existence d'un héritier direct et légitime pourrait poser un risque pour Lilith, car on se débarrasse plus volontiers d'un monarque en difficulté quand on sait qu'une solution de rechange idéale existe. Il assume les rumeurs et leurs conséquences pour elle et pour le trône.
Bien sûr, à force de se tenir à l'écart du pouvoir, il n'en a jamais acquis le goût. S'il n'en a pas l'air ainsi, c'est un jeune homme pieux, et il est de ces croyants qui pensent que le pouvoir corrompt. S'il a rejoint les armées de Sa Majesté, c'était pour mieux s'en tenir à distance. Puisse-t-il se perdre au bout du monde et oublier cette cour de sangsues dupliciteuses et ce morbide devoir du sang bleu ! Son éloignement avait été un message assez clair qu'il ne se plaisait pas à la cour, et, s'il s'est précipité à la capitale dès qu'il a su la mort d'Elrich Zullheimer pour soutenir sa chère sœur, sa distanciation et ses récentes erreurs ont jeté un froid dans leur relation qu'il regrette amèrement.
Pour lui, entre le devoir et l'idéalisme, l'heure est au choix. Mais a-t-il véritablement le choix ? Cette petite tache secrète dans son dos peut être une telle gêne !
Histoire
Par la grâce d'Aernia, Sa Majesté a reçu un fils !
Ces paroles avaient suscité l'allégresse au sein de la cour comme de la cité ce jour de l'an 415 AM. Bien sûr, Nicolas ne s'en rappelle pas. Il se souvient à peine des années heureuses précédant le jour où sa mère, Iphigénie de Galois, épouse d'Eusébius de Choiseul, lui fut enlevée. Il n'avait que quatre ans quand elle fut emprisonnée dans la plus haute tour du Palais. Sa grande sœur, Lilith, devint son ancre ; mais comment expliquer ce qui était quand on n'a même pas dix ans ?
On l'avait inspecté avec le plus grand sérieux, puis on n'avait plus rien dit. Il était devenu le Bâtard, mais on ne lui expliqua que plus tard pourquoi, et pourquoi sa mère avait fini par s'éteindre un an plus tard. Ce n'est qu'à l'adolescence qu'il comprit qu'il vivait encore uniquement car il portait la tache de naissance des descendants de Mérimin au creux de ses reins, et pourquoi c'était caché : renforcer l'autorité du trône et la position de Lilith en ne laissant pas d'alternative facile. Il a compris et a accepté les sacrifices, mais pas sans difficultés.
Mais le poids du sang n'est que la mise en bouche si l'on doit se pencher sur la courte existence de Nicolas de Choiseul. Malgré l'absence de sa mère, son enfance fut assez normale pour un prince d'Ambrosia. En privé, son père se montrait même aimant et généreux envers lui. Pour le détourner des nouvelles de la mort de sa mère, il commença même son éducation plus jeune que de coutume, à l'âge de cinq ans. Les mêmes savants et maîtres qui avaient éduqué Lilith avant lui lui enseignèrent tout ce qu'il y a à savoir sur la langue, sur le monde, sur l'industrie et, bien sûr, sur les dieux.
Ses moments de calme, il les passait avec sa sœur. Silencieux, il l'observait durant ses classes et s'émerveillait de son intelligence. Parfois, il arrivait à la convaincre de jouer dans les jardins du palais, ou à travers les couloirs secrets, et ils furent des enfants heureux. Au moins, il ne se laissait pas emporter par les rumeurs sur le fantôme de sa mère disparue. Il aurait voulu que Lilith puisse la remplacer, mais elle avait sa propre vie à préparer ; et quelle vie ! Il se rendit compte de l'écart entre eux à seulement sept ans, quand elle tomba gravement malade. Il l'avait poussée dans la neige en jouant au début de l'hiver. Sa vie était menacée. A la tristesse et à la culpabilité du petit homme qui ne comprenait guère mais savait qu'elle pourrait disparaître s'ajouta la réalisation de leurs positions. Les mêmes qui se tenaient larmoyants au chevet de Lilith le poussaient à l'abri des regards et l'accusaient à voix basse d'être un poison rongeant le trône ambrosien.
Après qu'elle se soit miraculeusement rétablie, ses fiançailles avec le vieux Elrich Zullheimer d'Ameth enfonça le clou. Lilith ne serait jamais vraiment ni que sa sœur, ni à lui seul.
Les années suivantes virent progressivement les deux enfants princiers se distancier. L'amour fraternel restait intact, mais elle devait se tourner vers ses devoirs de femme et de future souveraine. Il se glissait chaque fois qu'il le pouvait jusque dans ses appartements, mais avec le temps elle se montrait moins intéressée par les jeux d'enfants et plus intéressée par la mécanique ; ou par Hélène. Il n'aimait pas Hélène, Lilith était bizarre avec elle ; mais elle semblait heureuse en sa présence et il respectait toujours le bonheur de sa chère sœur.
Bientôt, lui-même passa des classes basiques aux classes avancées et aux arts virils, et à la compagnie de sa sœur il commençait à préférer les attentions de jolies filles. C'était un joli cœur et un beau parleur, et c'est à se demander comment il n'a pas causé de problèmes plus tôt du bout de sa petite saucisse !
Jeune adolescent, il était une gêne problématique au sein de la cour. Déjà peu apprécié, il était travaillé par ses hormones et répondait parfois vicieusement aux insultes imprudentes à son égard. Il n'avait pas froid aux yeux et n'avait rien à perdre, lui, le Bâtard. Pourquoi bâtard ?! A quinze ans, enfin, il finit par saisir le nœud du problème et se débrouilla pour pouvoir s'inspecter lui-même. Sa vie entière lui parut être un mensonge, mais il était intelligent et il devinait que son sacrifice servait un but politique. Il confronta directement son père avec la vérité. Le souverain ne lui répondit jamais mais n'eut jamais l'air aussi triste qu'en cet instant à ses yeux ; ce qui valait comme un aveu.
Nicolas pardonna et comprit, mais sa relation avec son père ne s'en rétablit jamais et il ne se sentait plus à sa place à la cour. Tant qu'il y serait, il s'y voyait comme un danger pour les siens, et il lui fallait se construire une vie à lui sans attendre la perspective sinistre qu'il devienne utile et désirable ; car cela signifierait que Mirai aurait réclamé les âmes de tous ceux qu'il aimait. C'est à cette époque que le Maître-Espion, Nemrod L'Envers, prit doucement une place de protecteur, de surveillant et, finalement, de père de substitution.
Il entra à l'école des officiers d'Ambrosia en 431 après avoir réussi haut la main ses tests d'entrée. Il entrait pour quatre ans d'éducation militaire et de vie de caserne, et, malgré son clair avantage, il refusait les traitements de faveur. Il partagea joies et peines avec ses camarades et trouva un nouveau goût à son existence. Bien encadré, il s'assagit et son énergie se canalisa. Brave et talentueux aux armes, brillant et studieux en théorie, vif et surprenant en stratégie, il poussait sa classe vers l'avant plutôt que de la laisser en arrière, et il n'y a pas un seul homme de la classe de 435 qui dirait du mal de lui.
De loin, il continuait de suivre la vie de sa famille. Lilith fit l'événement en inventant le premier automate un an après son départ. Dans un registre plus sombre, il eut quelques jours de permission pour assister aux funérailles de son père. Il avait dix-neuf ans.
Il rentra à Ambrosia à vingt ans, mais ce fut d'abord pour débuter son tutorat obligatoire, dont il se serait bien passé. Il était heureux de retrouver le Palais et sa sœur après tout ce temps, même si bien des choses avaient changé. De l'eau avait coulé sous les ponts, comme on dit. Au fil des ans, Nemrod avait bien travaillé pour le réconcilier avec l'idée de rentrer chez lui et de pouvoir associer ses devoirs familiaux avec ses propres projets. En fait, le Maître-Espion était maintenant devenu la figure paternelle de remplacement de Nicolas, et il faisait peu de doute que le sentiment était partagé.
Restant réserviste pour la durée de son tutorat comme beaucoup de jeunes militaires ambrosiens, il passa trois ans à apprendre et comprendre ce qui, à la cour et en politique, lui avait échappé lors de ses plus jeunes années. Il appréciait aussi Elrich Zullheimer ; il rendait sa sœur heureuse. Cela dit, les bons sentiments n'allaient pas plus loin. Il restait insidieusement jaloux des hommes qui entouraient l'Impératrice de Vapeur, c'était juste plus fort que lui. A la cour, nulle débutante ne lui accorderait de regard appuyé et son tuteur aurait tant désapprouvé qu'il se faufile dans les cuisines pour apprendre les mystères que les jeunes femmes cachaient aux hommes vierges ! Il finit par se faufiler un soir au Vice et Délice et pense avoir gardé le secret à ce jour ; mais nul doute que Nemrod avait considéré, et il avait raison, que cela l'aiderait à se concentrer sur autre chose que les volants des jupons.
C'est tout de même avec plaisir qu'il retrouva la vie militaire à vingt-trois ans. Que ce soit par l'Ambrosia Express, par navire ou par aéronef, il découvrit et protégea les domaines que sa famille protégeait depuis des siècles, tel un ancien seigneur faisant le compte de ses domaines et volant au secours du petit peuple. Les militaires l'appelaient Petit Prince, tantôt avec complicité et tantôt avec désapprobation. Eu égards à ses états de service, il aurait sûrement déjà dû être promu capitaine, mais il avait un comportement explosif au feu. Il ne craignait pas la Mort, car pour lui sa vie restait existentiellement vide.
Il fut néanmoins rappelé à la raison lors d'une embuscade à bord d'un navire commercial abandonné. Son supérieur avait ordonné le repli immédiat, mais, tout complexe de supériorité mis à part, Nicolas ne se voyait pas assumer un repli face à une bande de pirates eskrois débraillés. Il reprit le bâtiment avec un minimum de pertes humaines et matérielles, mais lui-même fut grièvement blessé, la lame rouillée d'une dague se brisant à quelques centimètres de son cœur. Ce n'était pas sa première blessure, mais c'était de loin la plus grave, et, s'il fut vite remis sur pieds, la leçon était retenue.
Il se préparait à retourner au service quand il reçut la nouvelle de la mort d'Elrich Zullheimer, cependant. Inquiet de la situation de sa sœur enceinte, il réclama une permission illimitée pour la rejoindre. Le temps qu'il la rejoigne, cependant, le futur héritier n'était plus en son sein. Par trois fois la Mort avait rappelé son pouvoir à lui ; de quoi forcer l'humilité et l'introspection chez n'importe quel homme.
Sur le navire le ramenant chez lui, il fit la connaissance d'Olympiane de Thiam, une jeune prêtresse d'Ameth venue faire son tutorat à Ambrosia avant de se dédier à une vie monastique. Entre Nicolas et elle, ce fut le coup de foudre, et le jeune homme inexpérimenté dans les affaires du cœur crut sincèrement avoir trouvé là l'Amour, l'unique, le seul de sa vie. Il entama avec elle une relation qui finit bien vite par déboucher sur une scandaleuse grossesse. Emporté par la fièvre du moment, il voulait tout plaquer et partir loin avec elle, ne plus tenir compte ni d'Ambrosia ni du reste du monde.
Quand Nemrod finit, inévitablement, par l'apprendre, ce fut un coup de tonnerre qui ébranla les appartements de Lilith. Les deux voulurent convaincre tant bien que mal Nicolas de son égarement, mais il ne pensait plus qu'à lui. En dernier ressort, il fut enfermé dans des appartements et fut interdit d'en sortir jusqu'à nouvel ordre. Avec sa sœur, les sentiments qui s'étaient lentement étiolés s'étaient sérieusement effilochés ; quant au Maître-Espion, il agit pour son bien, avec ou sans consentement. A son insu, Valerian d'Andressy, tuteur d'Olympiane, fut convaincu de reconnaître une liaison avec elle et la paternité de l'enfant ; et elle fut renvoyée chez elle pour rejoindre le monastère sans tarder.
La nouvelle prit Nicolas au dépourvu. Il refusa d'abord d'y croire, mais le doute et le travail de sape de L'Envers finirent par avoir leur effet. Et s'ils avaient tous raison ? Et s'il était juste un jeune imbécile tombé pour une catin ? Il passa de la colère au chagrin et au désespoir. Comment supporter cette tragédie ? Comment jamais ressortir la tête haute d'ici ? Deux choix se présentaient à lui : fuir pour disparaître à jamais dans la honte, la solution facile ; ou prendre ses responsabilités à bras-le-corps, prouver enfin la véritable étendue de son courage, et faire contrition face à ses juges les plus redoutés : sa propre famille.
Par la grâce d'Aernia, Sa Majesté a reçu un fils !
Ces paroles avaient suscité l'allégresse au sein de la cour comme de la cité ce jour de l'an 415 AM. Bien sûr, Nicolas ne s'en rappelle pas. Il se souvient à peine des années heureuses précédant le jour où sa mère, Iphigénie de Galois, épouse d'Eusébius de Choiseul, lui fut enlevée. Il n'avait que quatre ans quand elle fut emprisonnée dans la plus haute tour du Palais. Sa grande sœur, Lilith, devint son ancre ; mais comment expliquer ce qui était quand on n'a même pas dix ans ?
On l'avait inspecté avec le plus grand sérieux, puis on n'avait plus rien dit. Il était devenu le Bâtard, mais on ne lui expliqua que plus tard pourquoi, et pourquoi sa mère avait fini par s'éteindre un an plus tard. Ce n'est qu'à l'adolescence qu'il comprit qu'il vivait encore uniquement car il portait la tache de naissance des descendants de Mérimin au creux de ses reins, et pourquoi c'était caché : renforcer l'autorité du trône et la position de Lilith en ne laissant pas d'alternative facile. Il a compris et a accepté les sacrifices, mais pas sans difficultés.
Mais le poids du sang n'est que la mise en bouche si l'on doit se pencher sur la courte existence de Nicolas de Choiseul. Malgré l'absence de sa mère, son enfance fut assez normale pour un prince d'Ambrosia. En privé, son père se montrait même aimant et généreux envers lui. Pour le détourner des nouvelles de la mort de sa mère, il commença même son éducation plus jeune que de coutume, à l'âge de cinq ans. Les mêmes savants et maîtres qui avaient éduqué Lilith avant lui lui enseignèrent tout ce qu'il y a à savoir sur la langue, sur le monde, sur l'industrie et, bien sûr, sur les dieux.
Ses moments de calme, il les passait avec sa sœur. Silencieux, il l'observait durant ses classes et s'émerveillait de son intelligence. Parfois, il arrivait à la convaincre de jouer dans les jardins du palais, ou à travers les couloirs secrets, et ils furent des enfants heureux. Au moins, il ne se laissait pas emporter par les rumeurs sur le fantôme de sa mère disparue. Il aurait voulu que Lilith puisse la remplacer, mais elle avait sa propre vie à préparer ; et quelle vie ! Il se rendit compte de l'écart entre eux à seulement sept ans, quand elle tomba gravement malade. Il l'avait poussée dans la neige en jouant au début de l'hiver. Sa vie était menacée. A la tristesse et à la culpabilité du petit homme qui ne comprenait guère mais savait qu'elle pourrait disparaître s'ajouta la réalisation de leurs positions. Les mêmes qui se tenaient larmoyants au chevet de Lilith le poussaient à l'abri des regards et l'accusaient à voix basse d'être un poison rongeant le trône ambrosien.
Après qu'elle se soit miraculeusement rétablie, ses fiançailles avec le vieux Elrich Zullheimer d'Ameth enfonça le clou. Lilith ne serait jamais vraiment ni que sa sœur, ni à lui seul.
Les années suivantes virent progressivement les deux enfants princiers se distancier. L'amour fraternel restait intact, mais elle devait se tourner vers ses devoirs de femme et de future souveraine. Il se glissait chaque fois qu'il le pouvait jusque dans ses appartements, mais avec le temps elle se montrait moins intéressée par les jeux d'enfants et plus intéressée par la mécanique ; ou par Hélène. Il n'aimait pas Hélène, Lilith était bizarre avec elle ; mais elle semblait heureuse en sa présence et il respectait toujours le bonheur de sa chère sœur.
Bientôt, lui-même passa des classes basiques aux classes avancées et aux arts virils, et à la compagnie de sa sœur il commençait à préférer les attentions de jolies filles. C'était un joli cœur et un beau parleur, et c'est à se demander comment il n'a pas causé de problèmes plus tôt du bout de sa petite saucisse !
Jeune adolescent, il était une gêne problématique au sein de la cour. Déjà peu apprécié, il était travaillé par ses hormones et répondait parfois vicieusement aux insultes imprudentes à son égard. Il n'avait pas froid aux yeux et n'avait rien à perdre, lui, le Bâtard. Pourquoi bâtard ?! A quinze ans, enfin, il finit par saisir le nœud du problème et se débrouilla pour pouvoir s'inspecter lui-même. Sa vie entière lui parut être un mensonge, mais il était intelligent et il devinait que son sacrifice servait un but politique. Il confronta directement son père avec la vérité. Le souverain ne lui répondit jamais mais n'eut jamais l'air aussi triste qu'en cet instant à ses yeux ; ce qui valait comme un aveu.
Nicolas pardonna et comprit, mais sa relation avec son père ne s'en rétablit jamais et il ne se sentait plus à sa place à la cour. Tant qu'il y serait, il s'y voyait comme un danger pour les siens, et il lui fallait se construire une vie à lui sans attendre la perspective sinistre qu'il devienne utile et désirable ; car cela signifierait que Mirai aurait réclamé les âmes de tous ceux qu'il aimait. C'est à cette époque que le Maître-Espion, Nemrod L'Envers, prit doucement une place de protecteur, de surveillant et, finalement, de père de substitution.
Il entra à l'école des officiers d'Ambrosia en 431 après avoir réussi haut la main ses tests d'entrée. Il entrait pour quatre ans d'éducation militaire et de vie de caserne, et, malgré son clair avantage, il refusait les traitements de faveur. Il partagea joies et peines avec ses camarades et trouva un nouveau goût à son existence. Bien encadré, il s'assagit et son énergie se canalisa. Brave et talentueux aux armes, brillant et studieux en théorie, vif et surprenant en stratégie, il poussait sa classe vers l'avant plutôt que de la laisser en arrière, et il n'y a pas un seul homme de la classe de 435 qui dirait du mal de lui.
De loin, il continuait de suivre la vie de sa famille. Lilith fit l'événement en inventant le premier automate un an après son départ. Dans un registre plus sombre, il eut quelques jours de permission pour assister aux funérailles de son père. Il avait dix-neuf ans.
Il rentra à Ambrosia à vingt ans, mais ce fut d'abord pour débuter son tutorat obligatoire, dont il se serait bien passé. Il était heureux de retrouver le Palais et sa sœur après tout ce temps, même si bien des choses avaient changé. De l'eau avait coulé sous les ponts, comme on dit. Au fil des ans, Nemrod avait bien travaillé pour le réconcilier avec l'idée de rentrer chez lui et de pouvoir associer ses devoirs familiaux avec ses propres projets. En fait, le Maître-Espion était maintenant devenu la figure paternelle de remplacement de Nicolas, et il faisait peu de doute que le sentiment était partagé.
Restant réserviste pour la durée de son tutorat comme beaucoup de jeunes militaires ambrosiens, il passa trois ans à apprendre et comprendre ce qui, à la cour et en politique, lui avait échappé lors de ses plus jeunes années. Il appréciait aussi Elrich Zullheimer ; il rendait sa sœur heureuse. Cela dit, les bons sentiments n'allaient pas plus loin. Il restait insidieusement jaloux des hommes qui entouraient l'Impératrice de Vapeur, c'était juste plus fort que lui. A la cour, nulle débutante ne lui accorderait de regard appuyé et son tuteur aurait tant désapprouvé qu'il se faufile dans les cuisines pour apprendre les mystères que les jeunes femmes cachaient aux hommes vierges ! Il finit par se faufiler un soir au Vice et Délice et pense avoir gardé le secret à ce jour ; mais nul doute que Nemrod avait considéré, et il avait raison, que cela l'aiderait à se concentrer sur autre chose que les volants des jupons.
C'est tout de même avec plaisir qu'il retrouva la vie militaire à vingt-trois ans. Que ce soit par l'Ambrosia Express, par navire ou par aéronef, il découvrit et protégea les domaines que sa famille protégeait depuis des siècles, tel un ancien seigneur faisant le compte de ses domaines et volant au secours du petit peuple. Les militaires l'appelaient Petit Prince, tantôt avec complicité et tantôt avec désapprobation. Eu égards à ses états de service, il aurait sûrement déjà dû être promu capitaine, mais il avait un comportement explosif au feu. Il ne craignait pas la Mort, car pour lui sa vie restait existentiellement vide.
Il fut néanmoins rappelé à la raison lors d'une embuscade à bord d'un navire commercial abandonné. Son supérieur avait ordonné le repli immédiat, mais, tout complexe de supériorité mis à part, Nicolas ne se voyait pas assumer un repli face à une bande de pirates eskrois débraillés. Il reprit le bâtiment avec un minimum de pertes humaines et matérielles, mais lui-même fut grièvement blessé, la lame rouillée d'une dague se brisant à quelques centimètres de son cœur. Ce n'était pas sa première blessure, mais c'était de loin la plus grave, et, s'il fut vite remis sur pieds, la leçon était retenue.
Il se préparait à retourner au service quand il reçut la nouvelle de la mort d'Elrich Zullheimer, cependant. Inquiet de la situation de sa sœur enceinte, il réclama une permission illimitée pour la rejoindre. Le temps qu'il la rejoigne, cependant, le futur héritier n'était plus en son sein. Par trois fois la Mort avait rappelé son pouvoir à lui ; de quoi forcer l'humilité et l'introspection chez n'importe quel homme.
Sur le navire le ramenant chez lui, il fit la connaissance d'Olympiane de Thiam, une jeune prêtresse d'Ameth venue faire son tutorat à Ambrosia avant de se dédier à une vie monastique. Entre Nicolas et elle, ce fut le coup de foudre, et le jeune homme inexpérimenté dans les affaires du cœur crut sincèrement avoir trouvé là l'Amour, l'unique, le seul de sa vie. Il entama avec elle une relation qui finit bien vite par déboucher sur une scandaleuse grossesse. Emporté par la fièvre du moment, il voulait tout plaquer et partir loin avec elle, ne plus tenir compte ni d'Ambrosia ni du reste du monde.
Quand Nemrod finit, inévitablement, par l'apprendre, ce fut un coup de tonnerre qui ébranla les appartements de Lilith. Les deux voulurent convaincre tant bien que mal Nicolas de son égarement, mais il ne pensait plus qu'à lui. En dernier ressort, il fut enfermé dans des appartements et fut interdit d'en sortir jusqu'à nouvel ordre. Avec sa sœur, les sentiments qui s'étaient lentement étiolés s'étaient sérieusement effilochés ; quant au Maître-Espion, il agit pour son bien, avec ou sans consentement. A son insu, Valerian d'Andressy, tuteur d'Olympiane, fut convaincu de reconnaître une liaison avec elle et la paternité de l'enfant ; et elle fut renvoyée chez elle pour rejoindre le monastère sans tarder.
La nouvelle prit Nicolas au dépourvu. Il refusa d'abord d'y croire, mais le doute et le travail de sape de L'Envers finirent par avoir leur effet. Et s'ils avaient tous raison ? Et s'il était juste un jeune imbécile tombé pour une catin ? Il passa de la colère au chagrin et au désespoir. Comment supporter cette tragédie ? Comment jamais ressortir la tête haute d'ici ? Deux choix se présentaient à lui : fuir pour disparaître à jamais dans la honte, la solution facile ; ou prendre ses responsabilités à bras-le-corps, prouver enfin la véritable étendue de son courage, et faire contrition face à ses juges les plus redoutés : sa propre famille.
Divers
Depuis ses 4 ans, Nicolas traîne le surnom officieux de Bâtard. Suite aux adultères commis par sa mère, Iphigénie de Galois, le doute sur sa légitimité n'a jamais été levé.
Il porte bien la marque des descendants de Mérimin de Choiseul, mais la chose a été cachée.
Il traîne à l'armée une réputation ambiguë. Même si considéré comme un arrogant prétentieux, sa brève carrière est impeccable et l'accusation d'insubordination dont il a fait l'objet a été déboutée sans surprise et sans interférence du Palais, malgré ce que peuvent en dire les mauvaises langues.
Olympiane de Thiam, devenue moniale d'Ameth, est la mère de son enfant. Pour éviter le pire du scandale, Valerian d'Andressy a reconnu la paternité, dont Nicolas a été persuadé. Il est donc persuadé que cet enfant n'est pas le sien, bien qu'un doute tenace persiste au fond de lui.
Il connait la relation de Lilith et d'Everard Zullheimer, le jumeau d'Elrich. Il ignore jusqu'où elle va, mais il n'y voit rien de bon et trouve même la situation bizarre.
Depuis ses 4 ans, Nicolas traîne le surnom officieux de Bâtard. Suite aux adultères commis par sa mère, Iphigénie de Galois, le doute sur sa légitimité n'a jamais été levé.
Il porte bien la marque des descendants de Mérimin de Choiseul, mais la chose a été cachée.
Il traîne à l'armée une réputation ambiguë. Même si considéré comme un arrogant prétentieux, sa brève carrière est impeccable et l'accusation d'insubordination dont il a fait l'objet a été déboutée sans surprise et sans interférence du Palais, malgré ce que peuvent en dire les mauvaises langues.
Olympiane de Thiam, devenue moniale d'Ameth, est la mère de son enfant. Pour éviter le pire du scandale, Valerian d'Andressy a reconnu la paternité, dont Nicolas a été persuadé. Il est donc persuadé que cet enfant n'est pas le sien, bien qu'un doute tenace persiste au fond de lui.
Il connait la relation de Lilith et d'Everard Zullheimer, le jumeau d'Elrich. Il ignore jusqu'où elle va, mais il n'y voit rien de bon et trouve même la situation bizarre.
Date de naissance : Il y a 31 ans.
Double compte : Nope !
Où nous as-tu trouvé? : Carmi m'a obligé.
Commentaire : La Langoustine commune (Nephrops norvegicus) est « la langoustine » proprement dite (et commercialement parlant). C'est l'une des espèces de Nephropinae appelées « langoustine ». Nephrops norvegicus est l'unique espèce du genre Nephrops. Contrairement à ce que son nom peut suggérer, la langoustine n’est pas une petite langouste. Elle appartient a une famille qui inclut également le homard et les écrevisses, mais pas les langoustes. Elle est également connue sous son nom italien de « scampi ».
Double compte : Nope !
Où nous as-tu trouvé? : Carmi m'a obligé.
Commentaire : La Langoustine commune (Nephrops norvegicus) est « la langoustine » proprement dite (et commercialement parlant). C'est l'une des espèces de Nephropinae appelées « langoustine ». Nephrops norvegicus est l'unique espèce du genre Nephrops. Contrairement à ce que son nom peut suggérer, la langoustine n’est pas une petite langouste. Elle appartient a une famille qui inclut également le homard et les écrevisses, mais pas les langoustes. Elle est également connue sous son nom italien de « scampi ».
Mar 26 Mai 2020 - 11:21
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
mon frèreuuuuuuuuuuu
bienvenue *-*
Si tu as besoin, tu sais où me trouver <3
bienvenue *-*
Si tu as besoin, tu sais où me trouver <3
Mar 26 Mai 2020 - 11:23
Invité
Invité
CC @Lilith de Choiseul, @Nemrod L'Envers et ... @Everard Zullheimer ...
Nemrod ! Tonton ! Papa de cœur ! J'ai besoin de toi pour mettre à jour les liens qui unissent nos deux personnages.
Et coucou à tout le monde bien sûr !
Nemrod ! Tonton ! Papa de cœur ! J'ai besoin de toi pour mettre à jour les liens qui unissent nos deux personnages.
Et coucou à tout le monde bien sûr !
Mar 26 Mai 2020 - 11:30
Daphnée Samabartel
Propriétaire d'un comptoir commercial
J'me tape l'incruste mais je veux un lien de la muerte aussi étant donné que tu vas devenir mon neveu par alliance (si si, c'est tordu, autant dire que Daphnée aurait préféré le neveu à l'oncle mais elle a pas eu le choix kestuveu).
Bienvenue à toi, trop heureuse de voir Nicolas enfin joué et hâte de lire cette fiche !
Bienvenue à toi, trop heureuse de voir Nicolas enfin joué et hâte de lire cette fiche !
Mar 26 Mai 2020 - 11:53
Nemrod L'Envers
Maître espion
Nationalité : Ambrosien
Messages : 263
Date d'inscription : 05/03/2017
Messages : 263
Date d'inscription : 05/03/2017
Bonjour Nicolas ! Et bienvenue parmi nous en espérant que tu seras meilleur que le précédent. Quoique si c'est Lilith qui t'a recruté, ça devrait aller, je suppose.
Je te laisse m'envoyer un message privé pour discuter les points que tu souhaiterais adapter ou discuter !
Je te laisse m'envoyer un message privé pour discuter les points que tu souhaiterais adapter ou discuter !
Mar 26 Mai 2020 - 12:26
Invité
Invité
@Daphnée Samabartel Non mais ... Mais comme si je n'avais pas déjà assez d'embrouilles avec ton futur mari, future tata par alliance !
J'en suis flatté, malgré tout. Merci pour ton accueil !
@Nemrod L'Envers C'est fait tonton ! Merci également pour ton accueil !
J'en suis flatté, malgré tout. Merci pour ton accueil !
@Nemrod L'Envers C'est fait tonton ! Merci également pour ton accueil !
Mar 26 Mai 2020 - 18:17
Constance Jane Enverse
Garde Impérial
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 152
Date d'inscription : 27/03/2018
Messages : 152
Date d'inscription : 27/03/2018
C'est avec un sincère plaisir, que je te souhaite la bienvenue.
Mon personnage ne connait pas le tient, mais ils sont indirectement lié! J'espère avoir le plaisir de croiser ta plume.
Mon personnage ne connait pas le tient, mais ils sont indirectement lié! J'espère avoir le plaisir de croiser ta plume.
Mar 26 Mai 2020 - 18:21
Nemrod L'Envers
Maître espion
Nationalité : Ambrosien
Messages : 263
Date d'inscription : 05/03/2017
Messages : 263
Date d'inscription : 05/03/2017
Euh non, vous êtes directement liés mes loulous, c'est une batarde mais vous êtes cousins !
Mar 26 Mai 2020 - 19:25
Invité
Invité
Merci @Constance Jane Enverse ! Trop mignon !
Et merci encore à @Nemrod L'Envers pour la scrupuleuse tenue de notre complexe arbre généalogique. Une regrettable erreur est si vite arrivée !
J'entends les veines de tes tempes gonfler, tonton !
Et merci encore à @Nemrod L'Envers pour la scrupuleuse tenue de notre complexe arbre généalogique. Une regrettable erreur est si vite arrivée !
J'entends les veines de tes tempes gonfler, tonton !
Mar 26 Mai 2020 - 19:27
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