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Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.
PERIODE DE JEU
été 440 AM
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Jeu 12 Oct 2017 - 0:33
Invité
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L’annonce de son titre sembla troubler la jeune femme, peut-être qu’elle n’avait pas vraiment saisit ce qu’il était. Fort heureusement elle ne s’inclina pas et ne fit pas de révérence et le prince sut apprécier la simplicité qui était la sienne. Il fut plus touché par les condoléances sincères venant de la demoiselle que par celles des courtisans avides de s’abreuver de sa souffrance. Il ne sut quoi répondre à la peine de la jeune fille, cela devait être terrible de grandir sans un parent, ou d’en être arraché dans son cas quand on lui avait pris sa mère. Il eut un sourire complice et malheureux, ils étaient plus semblables qu’il ne l’avait pensé tout d’abord et s’il le pouvait il ferait en sorte de l’aider. Il attendit qu’elle lui montre le chemin vers l’espace de cuisine sans doute, et une fois là-bas la laissa faire pour trouver le récipient par contre une fois remplit et malgré son bras il s’en empara. Impossible de laisser cette charmante jeune femme peiner sous le poids du broc. Il lui sourit et retourna dans la pièce, posant le récipient sur la table avant d’étendre ses muscles en gardant la grimace de douleur pour lui.
« Bien, après et bien … Je ne sais pas du tout ce que l’on fait. »
Il en aurait ri si ce n’était pas aussi dramatique, mais ce n’était pas lui qui se chargeait de ce genre de choses en temps normal. Une légère frappe sur le battant de la porte encore ouverte et il fut sauvé par l’arrivée du médecin, et heureusement une femme. Il s’inclina face à Matilda et ne se fit pas prier pour quitter la pièce et laisser le patricien s’assurer que la jeune femme n’avait rien de grave. Lui-même et bien préférait en fait largement rentrer cependant s’assurer qu’elle aille bien était et restait dans ses priorités. Il fit la garde devant la porte, croisant les bras et s’adossant au mur se concentrant pour ne rien entendre.
Il ne voulait pas qu’elle sente encore plus d’intrusion et préférait largement que cette soirée soit plutôt consacrée à du repos. Il se fit interrompre dans ses pensées par des collègues de la jeune femme qu’il traita avec autant de tact que la demoiselle mais dont il refusa les avances. Non pas qu’elles n’étaient pas assez bien pour lui, mais il était pour le moment au service de la jeune femme et ne voulait pas commettre d’impair. Aussi quand la directrice de l’établissement s’approcha il lui remit une bourse en demandant à ce qu’on ne dérange pas sa protégée espérant que cela suffirait pour la semaine.
Voyant la femme acquiescé et repartir il n’imaginait pas les rumeurs qui allaient sans doute courir dès le lendemain dans l’établissement. Lui voyait surtout qu’elle aurait un peu de calme pour repenser à son futur, quand la porte se rouvrit il se redressa et salua le patricien qu’il régla et le suivit du regard quand il repartit sans vraiment l’avoir reconnu, une chance pour lui. Il toqua légèrement à la porte, ayant lui complètement occulté sa blessure pour s’assurer que la jeune femme avait, elle reçut tous les soins nécessaires. Il attendit sa confirmation vocale et passa le battant de la porte qu’il referma derrière lui, se tournant pour lui sourire.
« Est-ce que tout va bien ? Vous a-t-il prescrit quelques médecines à prendre ? »
Il espérait qu’elle n’avait pas de séquelles ou de douleurs suite à sa chute, s’inquiétait sincèrement pour la jeune femme comme il l’aurait fait pour n’importe quelle personne qui aurait croisé sa route. Il ne doutait pas qu’un médecin saurait apaiser la jeune fille, elle avait sans doute prescrit des pilules pour le sommeil ou même un anti douleur à base de plantes. Lui-même n’oserait sans doute pas se prononcer, bien incapable de distinguer les ingrédients les uns des autres. On lui avait juste appris à reconnaitre les poisons et les senteurs qui en accompagnent certains comme la couleur caractéristique d’autres. Il devrait peut être prendre congé maintenant, peu enclin à être intrusif plus longtemps dans la vie de la jeune fille pourtant il devait bien lui expliquer l’arrangement qu’il avait pris sans son consentement. Il se racla la gorge lentement avant de passer sa main dans ses cheveux réprimant un juron la blessure se rappelant à son souvenir, il inspira lentement avant de souffler pour faire refluer celle-ci.
« Hem, il se pourrait que je vous ai ménager quelques jours de repos, j’espère que cela ne vous chagrine pas, mais il me semble que c’était la moindre des choses de vous permettre de reprendre des forces. »
« Bien, après et bien … Je ne sais pas du tout ce que l’on fait. »
Il en aurait ri si ce n’était pas aussi dramatique, mais ce n’était pas lui qui se chargeait de ce genre de choses en temps normal. Une légère frappe sur le battant de la porte encore ouverte et il fut sauvé par l’arrivée du médecin, et heureusement une femme. Il s’inclina face à Matilda et ne se fit pas prier pour quitter la pièce et laisser le patricien s’assurer que la jeune femme n’avait rien de grave. Lui-même et bien préférait en fait largement rentrer cependant s’assurer qu’elle aille bien était et restait dans ses priorités. Il fit la garde devant la porte, croisant les bras et s’adossant au mur se concentrant pour ne rien entendre.
Il ne voulait pas qu’elle sente encore plus d’intrusion et préférait largement que cette soirée soit plutôt consacrée à du repos. Il se fit interrompre dans ses pensées par des collègues de la jeune femme qu’il traita avec autant de tact que la demoiselle mais dont il refusa les avances. Non pas qu’elles n’étaient pas assez bien pour lui, mais il était pour le moment au service de la jeune femme et ne voulait pas commettre d’impair. Aussi quand la directrice de l’établissement s’approcha il lui remit une bourse en demandant à ce qu’on ne dérange pas sa protégée espérant que cela suffirait pour la semaine.
Voyant la femme acquiescé et repartir il n’imaginait pas les rumeurs qui allaient sans doute courir dès le lendemain dans l’établissement. Lui voyait surtout qu’elle aurait un peu de calme pour repenser à son futur, quand la porte se rouvrit il se redressa et salua le patricien qu’il régla et le suivit du regard quand il repartit sans vraiment l’avoir reconnu, une chance pour lui. Il toqua légèrement à la porte, ayant lui complètement occulté sa blessure pour s’assurer que la jeune femme avait, elle reçut tous les soins nécessaires. Il attendit sa confirmation vocale et passa le battant de la porte qu’il referma derrière lui, se tournant pour lui sourire.
« Est-ce que tout va bien ? Vous a-t-il prescrit quelques médecines à prendre ? »
Il espérait qu’elle n’avait pas de séquelles ou de douleurs suite à sa chute, s’inquiétait sincèrement pour la jeune femme comme il l’aurait fait pour n’importe quelle personne qui aurait croisé sa route. Il ne doutait pas qu’un médecin saurait apaiser la jeune fille, elle avait sans doute prescrit des pilules pour le sommeil ou même un anti douleur à base de plantes. Lui-même n’oserait sans doute pas se prononcer, bien incapable de distinguer les ingrédients les uns des autres. On lui avait juste appris à reconnaitre les poisons et les senteurs qui en accompagnent certains comme la couleur caractéristique d’autres. Il devrait peut être prendre congé maintenant, peu enclin à être intrusif plus longtemps dans la vie de la jeune fille pourtant il devait bien lui expliquer l’arrangement qu’il avait pris sans son consentement. Il se racla la gorge lentement avant de passer sa main dans ses cheveux réprimant un juron la blessure se rappelant à son souvenir, il inspira lentement avant de souffler pour faire refluer celle-ci.
« Hem, il se pourrait que je vous ai ménager quelques jours de repos, j’espère que cela ne vous chagrine pas, mais il me semble que c’était la moindre des choses de vous permettre de reprendre des forces. »
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