Les Chroniques d'Ambrosia - RPG 18+
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Informations

Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.

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VIALANNI Sarah
ft. : Christina Hendricks
Surnom : Madame
Âge : 36 ans
Métier : Maquerelle
Nationalité et origines : Amethienne
Situation conjugale : Célibataire
Culte : Karos et Timan
Orientation sexuelle : Bi
Groupe : Peuple
Carnation : Laiteuse
Taille : 1,70 m
Corpulence : Pulpeuse
Cheveux : Longs et roux
Yeux : Gris-Vert, cerclés de noir, tendent plus ou moins vers le gris ou le vert selon son humeur
Signe(s) distinctif(s) : un renard tatoué sur la cuisse droite dont la queue remonte en s’enroulant sur sa fesse.
Caractère :
Sarah peut sembler ambitieuse à des yeux extérieurs, mais en réalité, elle est simplement pragmatique. Car si elle ne se fait aucune illusion sur la nature humaine, et en particulier celle des hommes, et si elle connaît parfaitement sa place dans la société et n’a aucun espoir de retrouver une quelconque respectabilité, elle sait aussi comment en tirer profit. Et c’est bien la seule valeur en laquelle elle croit encore, l’argent. Lui seul permet d’imposer le respect et d’assurer la sécurité, et plus on en a, plus on est à l’abri des coups du sort.
Cependant, si Sarah est une femme vénale, elle n’est pas pour autant avare ou égoïste. Elle paie généreusement ses employés, préférant les lier par un contrat très précis mais qui lui donne l’avantage de profiter de leurs plus belles années tout en leur permettant de se retirer du métier quelques années plus tard avec une belle cagnotte, plutôt que d’utiliser le système habituel des maisons closes. Et gare à vous si vous vous comportez mal avec l’une de ses filles ou l’un de ses garçons, elle vous le fera payer très cher. Et là, il ne s’agira pas que d’argent.
Pourtant, si Vices et Délices connaît un tel succès, ce ne sont pas là les seules raisons. Sarah a reçu une bonne éducation, et, malgré les coups du sort, n’a jamais renoncé à se cultiver, ni à inciter ses filles à se cultiver, certaine que ce serait un atout pour sa maison. Cette capacité à faire la conversation, alliée à une nature luxurieuse et à des courbes voluptueuses, est ce qui lui a permis d’attirer dans ses filets des clients de la « haute ». Car croyez-le ou non, les hommes ne se rendent pas dans une maison close uniquement pour le sexe !
Histoire :
Toute jeune fille, son père emmena Sarah à Ambrosia, capitale de l’Empire de la Vapeur. Marchand ambitieux, le mode de vie améthien ne lui convenait plus, et la mort de la mère de sa fille fut le déclencheur de son départ définitif de sa terre natale.
Enfant curieuse et aussi ambitieuse que son père, Sarah le suivit volontairement dans cette ville radicalement différente de tout ce qu’elle avait connu jusqu’alors. Ce fut d’abord le temps de l’émerveillement lorsqu’elle découvrit la capitale et ses merveilles – toute cette technologie, ces machines, les îles volantes, et la foule partout, grouillante et de tous horizons. Dès que son père avait un peu de temps libre, il le lui consacrait et l’emmenait découvrir la ville et ses différents quartiers. Cependant, les affaires n’allaient pas aussi bien qu’il le souhaitait, et il se mit à travailler de plus en plus et Sarah se sentit vite délaissée. Elle n’était alors encore qu’une enfant, et faute de surveillance efficace et de compagnie adaptée, elle passa la plupart de son temps avec les quelques domestiques de la maison.
Cela ne posait guère de problèmes, hormis une éducation négligée. Jusqu’à la puberté… la beauté de cette enfant aux cheveux roux et à la peau pâle se révéla soudain, et en quelques mois elle devint une belle jeune femme pulpeuse à la peau laiteuse et à la chevelure flamboyante, mais également à la sensualité débordante. Heureusement, elle était très innocente des choses de la vie, aussi, lorsque son père la surprit en train d’embrasser un jeune valet dans un couloir sombre, rien d’irrémédiable n’était encore arrivé. Choqué de découvrir à quel point sa fille avait changé sans qu’il n’en remarque rien et inquiet pour sa sécurité, il décida qu’il était temps de la former aux affaires pour qu’elle puisse l’épauler – et aussi avec l’idée qu’une telle beauté à ses côtés pour recevoir ses clients et pour négocier ne pouvait être qu’un atout supplémentaire.
L’esprit toujours aussi curieux et ayant hérité de l’ambition de son père, elle apprit vite les bases du métier de marchand et comprit elle aussi rapidement qu’elle pouvait se servir de ses charmes pour amadouer même les plus difficiles des partenaires de son père. Malheureusement, même son aide ne suffit pas à redresser la barre, et quand son père mourut soudainement, emporté par une attaque, Sarah découvrit qu’elle n’avait plus rien : le négoce était grêvé de dettes, la maison hypothéquée, les gages des quelques domestiques qui restaient impayés depuis des mois… Elle se retrouva à la rue, seule, sans argent, avec pour toutes possessions une grande valise bourrée tant bien que mal de vêtements et de quelques souvenirs.
Elle commença par revendre ses plus belles robes pour pouvoir se payer une chambre en attendant de trouver un travail, mais cela ne fut rapidement pas suffisant. Elle n’avait suivi aucun apprentissage, était la fille d’un marchand ruiné… personne ne voulut l’employer. Elle déménagea vers des quartiers de plus en plus pauvres et malfamés à mesure que l’argent venait à manquer, jusqu’à ce qu’un soir, elle ne soit même plus en mesure de se payer une chambre. Elle passa la nuit dans la rue, terrifiée, et elle fit le point sur sa vie : elle n’avait plus rien, plus rien à vendre, plus rien à négocier, sauf… son corps, et surtout, sa virginité. Sarah était une jeune fille romantique, qui croyait au grand amour et qu’un jour, un homme l’aimerait et lui donnerait un toit. Mais cette nuit-là changea tout. Aucun homme n’était venu, sauf pour lui couler un regard en coin intéressé, alors c’était à elle d’agir.
Elle repensa à cet « ami » de son père qui lui avait fait une proposition ignoble après son décès. Celle de lui acheter sa virginité. Elle y repensa, tourna et retourna cette idée dans sa tête, et finalement prit une décision. Elle n’avait plus le choix, personne ne voulait l’employer et seul son corps semblait avoir une quelconque valeur. Alors elle vendrait son corps. Mais autant en tirer le plus grand profit possible, et vu le prix que « l’ami’ » de son père était prêt à mettre pour sa virginité, elle serait idiote de ne pas en profiter. Et cela lui éviterait de se faire déflorer par le premier venu.
Le lendemain, après avoir fait aussi soigneusement sa toilette que possible et brossé sa chevelure longuement pour la faire briller, elle se rendit là où elle savait trouver l’homme. Elle l’aborda discrètement, car elle avait honte de sa tenue qui criait à tous à quel point elle était tombée bas, et lui indiqua qu’elle acceptait sa proposition. L’homme eut un sourire cruel qui faillit la faire se raviser, mais sa fierté prit le dessus. Le marché était accepté, elle ne pouvait pas se dédire.
L’expérience fut atroce. L’homme, ravi d’avoir une innocente à sa disposition, se montra violent et sadique. Il ne se contenta pas de la déflorer sans aucune douceur, il la battit au point de la laisser pour morte dans la chambre sordide qu’il avait louée pour l’occasion. Mais, dans sa perversité, il lui laissa l’argent promis.
Lorsque Sarah revint à elle, elle pleura d’abord beaucoup, de douleur et de rage. Elle était furieuse de s’être laissée berner par quelqu’un qui se prétendait un ami. Elle se jura de ne plus jamais faire confiance à un homme, et de faire payer à ceux qui voudraient se jouer d’elle.
Elle était dans un tel état qu’elle dut rester plusieurs jours alitée, et devoir piocher pour cela dans l’argent qu’elle avait gagné ne faisait que renforcer sa décision. Soit, elle devait vendre son corps pour vivre, mais elle ne serait pas qu’une simple pute à la merci d’un mac bien longtemps. Oh bien sûr, ce serait nécessaire dans un premier temps, ne serait-ce que pour être protégée des clients et des autres macs, mais… mais elle avait son idée.
Elle arpenta bientôt les quais à la recherche de clients, sa peau encore couverte d’ecchymoses qui tranchaient sur sa pâleur. Sa fraîcheur et sa rousseur lui attirèrent bien vite un protecteur, et sa nature luxurieuse des clients réguliers qui appréciaient une putain qui ne se contentaient pas de subir. Elle aurait pu susciter la jalousie de ses « collègues », mais elle avait son plan bien en tête, et pour le mener à bien, elle avait besoin des autres filles. Elle s’arrangea donc pour devenir amie avec quelques-unes d’entre elles, celles qui partageaient son bout de rue, et elle les amena doucement à l’idée qu’elles n’avaient pas besoin de souteneur, qu’elles pouvaient se protéger entre elles et ainsi mettre de l’argent de côté. Puis elle les convainquit de lui confier leur argent, pour qu’elle le fasse fructifier, en bonne fille de marchand qu’elle était. Et elle le fit, investissant de petites sommes par-ci par-là, engageant un homme pour les protéger, en particulier de leurs anciens mac qui n’avaient pas apprécié leurs « démissions », achetant de nouveaux corsages, de nouvelles bottines, de la nourriture, leur permettant ainsi d’attirer plus de clients, et plus fortunés. Leur petit pécule grossit rapidement, et bientôt elles louèrent un petit appartement où elles purent faire leurs passes en tout confort et en toute sécurité, et se reposer, cuisiner et se laver le reste du temps. Là encore, ne plus avoir à faire leur travail dans la rue et proposer un environnement propre leur attira des clients plus riches et dont la plupart leur étaient fidèles, car Sarah avait aussi choisi ses compagnes parmi celles qui pouvaient trouver du plaisir à leur métier.
Le pécule continua à grossir, Sarah tenait des comptes précis de qui apportait quoi, discutait avec ses compagnes de quoi faire pour gagner plus et améliorer leurs conditions de vie. Et comme elle avait le sens des affaires, le petit appartement devint bientôt modeste maison close, propre, bien tenue, et surtout sûre pour les filles. Elle attira une clientèle plus aisée et elle ne tarda pas à se faire une réputation favorable. Les gains ne cessèrent de croître, le petit groupe de putains du quai qui s’étaient associées pour se protéger put enfin lever le pied et embaucher d’autres filles, plus jeunes, plus belles, avec plus d’éducation aussi. Certaines des anciennes émirent le désir de se retirer des affaires maintenant qu’elles avaient un peu d’économies de côté, et Sarah sauta sur l’occasion pour leur racheter leurs parts dans la maison.
C’est également à cette période qu’elle fut approchée par des agents de l’Empire pour la première fois. Leur demande était simple : il est bien connu que les hommes ont tendance à parler sans se méfier aux putes, à se vanter, et que certaines affaires se concluent dans les salons des maisons closes ; ils exigèrent donc de Sarah qu’elle et ses filles leur rapportent ce qu’elles entendraient et qui pourrait être utile à l’Empire. Mais toute chose a un prix, les renseignements en premier lieu. Sarah, bien que loyale à l’Empire, était bien consciente de cela, et, usant de son charme autant que de son bagout, négocia leur prix, préférant de futures faveurs à de l’argent. Elle avait déjà son idée en tête, une idée qui prendrait un peu de temps et beaucoup d’argent, mais qui nécessiterait surtout de solides appuis : créer et diriger le bordel le plus fabuleux qu’Ambrosia ait jamais connu !
Cela lui prit plus de dix ans, pendant lesquels elle économisa, forma, espionna, manipula, marchanda, fit pression… elle faillit tout perdre lorsqu’Aurelius Saint-Clair réussit à la séduire et lui fit miroiter de l’installer comme sa maîtresse, voire de l’épouser ! Tout ça pour l’abandonner du jour au lendemain, sans un mot… la laissant dévastée au point d’être incapable de travailler pour un temps.
Cependant, ses amies l’épaulèrent et lui rappelèrent ses objectifs, auxquels elle ajouta une nouvelle vengeance. Et au final, elle atteignit son objectif principal, celui qui lui donnerait les moyens de se venger : diriger sa propre maison close, la plus luxueuse de la capitale, celle qui offre le plus de plaisirs et de variété, devenir une femme riche, qui ne prend plus de clients que pour le plaisir.
N’allez tout de même pas croire que Sarah est une femme parfaite totalement satisfaite de son sort. Elle n’est que trop consciente de ce qu’elle a perdu, sa place dans la société et l’amour d’un père, et de ce qu’elle n’aura jamais : une situation respectable et l’amour d’un homme, ou au moins le mariage. Elle s’est résignée aux deux, mais cela reste un poids constant sur son cœur. Et elle n’est pas infaillible : il lui arrive de se laisser berner par des clients, certains y arrivent même à répétition sans qu’elle n’arrive à comprendre pourquoi, comme Zenon de Lascelle. Elle a beau faire, elle se fait avoir à presque tous les coups, et quand elle arrive à lui résister, ce sont ses filles qui la supplient de le laisser entrer… et elle a beau être une maquerelle sévère (il faut bien cela pour assurer le succès du Vices et Délices), elle devient une vraie tigresse quand il s’agit de protéger ses employés, filles comme garçons, et, par Karos, elle leur doit bien ce petit plaisir de se faire séduire plutôt que de séduire. Certes elle râle pour la forme, mais ce n’est que pour la forme.
Ce que lui réserve l’avenir ? Elle ne le sait, sauf que ce n’est certainement pas l’amour, et sûrement des ennuis. La seule chose dont elle est sûre, c’est que les hommes ne changeront jamais, et qu’elle n’a donc aucun scrupule à avoir à leur soutirer de l’argent.
Divers :  
Il paraîtrait que les femmes mariées peuvent elles aussi se rendre au Vices et Délices, par une porte dérobée, et qu’elles pourraient y louer les services des garçons ou des filles de Sarah, ou bien y retrouver leurs amants. Mais… ceci n’est qu’une rumeur, bien sûr…
Date de naissance : 11 mars
Double compte : non
Où nous as-tu trouvé? : ici : http://www.sawen.net/forum-rpg-steampunk-c16-p1.html
Commentaire : Je suis impatiente de renouer avec le jeu de rôle par forum ! Je vous attends au Vices et Délices pour des aventures palpitantes…


Dernière édition par Sarah Vialanni le Sam 3 Nov 2018 - 22:34, édité 1 fois
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Everard Zullheimer
Nationalité : Amethien
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Officiellement bienvenue ! Je vais te changer ton pseudo pour correspondre à celui de ton personnage !

Pense qu'à ta prochaine connexion, ton identifiant sera Sarah Vialanni.

Désires-tu un coup de main pour l'avatar ?
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Lilith de Choiseul
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
Bienvenuuuuue
Invité
Invité
Anonymous
Merci pour votre accueil ! Embarassed
L'identifiant ne sera pas un problème, par contre, la bonne question est le mot de passe Suspect Mais bon, ça me reviendra bien !

Et je veux bien un coup de main pour l'avatar et la signature, j'avoue être une quiche en graphisme (mais j'ai repéré une superbe photo de Christina avec un corset noir).
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Everard Zullheimer
Nationalité : Amethien
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Envoie moi la photo alors !

Et du coup, je te laisse changer ton pseudo en conséquences ! Wink
Nemrod L'Envers
Maître espion
Nemrod L'Envers
Nationalité : Ambrosien
Messages : 263
Date d'inscription : 05/03/2017
Bienvenue à toi ! Wink
Invité
Invité
Anonymous
Bienvenue dans la ville de la perversité Mademoiselle !
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Lilith de Choiseul
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
Coucou Sarah, où en es-tu dans ta fiche, tu as besoin d'une rallonge de temps? Smile
Invité
Invité
Anonymous
scratch J'ai beau réfléchir, je ne vois pas quoi ajouter !
S'il y a besoin de précisions ou de compléter des choses, n'hésitez pas à me le dire, Majesté, mais j'avoue avoir l'habitude de garder un background un peu flou qui me permet ensuite de la flexibilité dans mon jeu (mais j'évite les incohérences et les facilités, je vous rassure, j'ai l'habitude de jouer des personnages sociaux, et mon MJ principal déteste les jokers sortis du chapeau).
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Lilith de Choiseul
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
Nan mais comme tu nous as pas dit clairement terminé, on était pas sûrs XD mdr

On va te lire du coup, et revenir rapidement vers toi, désolé de l'attente!
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