Caractère :Un de mes nombreux penchants est la luxure, je suis tombé dedans par obligation, j’en ai vu de toutes sortes des vertes et des pas mûrs mais depuis j’aime ça même si aujourd’hui mes services et d’ailleurs les prix pratiqués dans ma maison close sont corrects mais pas donnés, il faut savoir débourser, surtout s’il l’on me désire, j’aime les cadeaux, j’aime avoir les hommes à mes pieds sans compter que je ne fais rien sans avoir un retour, j’aime que l’on prenne soin de  moi.

Je suis très protectrice de mes filles je veille sur elles mais aussi sur les  personnes qui me sont proches, je ferais ce que je pourrais pour les protéger, quitte à mentir, trahir, manipuler. La vie a fait que je suis devenue prévenante mais a voir le mauvais côté des choses, toujours à prévoir le pire de ce qu’il peut se passer mais hélas je ne prévois toujours pas tout et cela me joue des tours comme mon histoire amoureuse.

Je reste froide à tout événement peut être pour me protéger dans un sens, je reste indifférente à ce qu’il peut arriver, je ne prends plus plaisir à la vie, je n’ai plus rien à découvrir bref je suis blasé par ce qu’il peut se passer autour de moi. J’ai pu faire des études, avant de venir à Ambrosia j’ai pu lire et m’imprégner des livres que je pouvais trouver et m’enrichir  sur le monde, j’ai profité de ma vie prospère pour m’informer le plus possible et me cultiver comme ci que j’avais l’impression que ma vie allait prendre un tournant.

J'avais raison,je me suis forgé un caractère, j'ai une carapace, je ne me laisse plus marcher sur les pieds, depuis je mène ma ma maison d'une poigne de fer. Je suis connue et reconnue dans cette ville par mes charmes, par ma poigne, par mon gant de velours la Maquerelle, la Catin d'Ambrosia mais j'en suis fière, ce titre me permet d'avoir une vie prospère.

Histoire :Je suis née en 402  ma mère est morte en couches, mon père ne m’en a parlé que très peu il pensait me protéger malgré mes nombreuses questions, elles restaient sans réponses ce qui n’empêchait pas que j’ai eu une jeunesse très développée, intelligente, plonger toujours dans mes bouquins, bonne élève on avait rien à me reprocher.

Mon père était marchand la boutique était prospère durant quelques années mais avec les changements la boutique s’effondra sans que l’on comprenne pourquoi. Mon père a décidé de s’établir à Ambrosia, refonder une boutique, il a effectué tous les papiers pour pouvoir rester dans cette ville qui ne me plaisait guère ayant tout perdue.

Je finis par m’y habituer avec le temps mais la vie était moins prospère j’aidais comme je pouvais mon père doublé de mes études mais voila la boutique ne fonctionnait pas, j’ai trouvé un matin mon père à terre, une crise cardiaque, je suis arrivée trop tard ce jour la me laissant seule. J’avais vingt ans, on m’a tout prit ne pouvant payer les dettes de mon père je me suis retrouvée dehors, sans rien dans les poches vouées à moi-même.

J’ai dû vendre mon corps sur le bord des quais à des pervers, je n’ai pue me résoudre à me droguer malgré les nombreuses proposions, j’ai décidé de prendre les choses en mains de devenir quelqu’un mais je suis tombée dans la luxure et j’aime ça, je ne peux pas le nier.

 Ayant fréquenté du monde et surtout des filles du milieu nous nous sommes associés pour créer " les vices et délices " protéger les filles que d’être dans la rue et surtout apporter de l’argent, j’étais devenue malicieuse je voulais être patronne de la maison, j’ai vite fait éjectée mes collègues en rachetant les parts me retrouvant la Maquerelle de ce lieu qui devient connu avec le temps.

Je suis connu  Ambrosia sous le surnom de Madame chose qui ne me déplaisait pas au contraire, j’étais reconnu dans mon métier bien que particulier. Des habitués venaient l’argent coulait à flots, des hommes me vouaient un culte en m’adressant des cadeaux plus beaux les uns que les autres tant dit que d’autres me devaient une ardoise comme ZENON DE LASCELLES je me suis promis qu’un jour je m’occuperais de lui et il me lécherait les pieds, une trop grosse ardoise était en attente plus fort que moi je le laissais entrer un homme important pour les Vices et délices qui pouvait me rapporter gros et surtout des clients.

A force des choses et durant les fantasmes de ces messieurs, dames j’arrivais à les faire parler de gré ou de force sous ma pression quelque soit, je me suis rendu compte que je pouvais avoir  des secrets assez facilement, un peu d’alcool en plus et le tour était joué.

Je décidais de rester anonyme mais je me sentais protectrice au prêt de Sa Majesté, je me devais d'informer certains secret qui pouvait mettre en danger la ville, son peuple et Sa majesté. Je savais qu'il existait des espions certains d'entre eux étaient des clients mais dans ma maison tous restaient anonymes, même les filles portaient pas leurs vrais noms, un mot code entre cet indic et moi voulait dire que j'avais des choses à lui dire et donc j'en profitais pour lui donner un rendez vous très particulier, lui donnant mes informations, peut être au final était il un peu plus qu'un habitué, un indic....

Sous ma belle histoire si on peut appeler ça une belle histoire d’un homme qui a trahi mon cœur, qui m’a jeté aucun homme oserait faire ça sauf  lui AURELIUS SAINT-CLAIR  je me souviendrais toujours de ce nom, rêvais je un jour d’une vengeance ou au contraire revivre notre histoire d’amour dans tous les cas je ne laisserais pas passer ce geste. J'ai vécu Avec lui un rêve, rêve de princesse peut être de trop, j'étais heureuse et du jour au lendemain il m'a jetée comme une veille chaussette je n'ai pas vraiment compris, il était marié, nous étions amant , notre histoire était parfaite, je voulais être avec lui, je ne comprends toujours pas ce geste mais pourquoi ?

Dans tous les cas je le déteste on ne me jette pas comme çà pas moi mais au fond de moi mon cœur était encore avec lui, je rêvais d'une vengeance réussir à le récupérer pour moi, qu'il envoie balader sa femme comme il ma envoyé balader j'en serais heureuse.

Divers :  On me connais déjà sous la catin d'Ambosia on me nomme Madame. On me perçoit parfois douce mais pas si douce que ça. Des bruits de coin de rue disent que des filles de joie se font agresser, des mauvaises langues m'accuse peut être de jalousie de ma réussite. La dernière rumeur on dit que parfois je donne des substances illicites à l'insu de mes client. Je reste j'aime rester une femme mystérieuse est ce vrai ou pas ?/div>