Informations
Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.
PERIODE DE JEU
été 440 AM
été 440 AM
Dignitaire - Jason Duchatelet, copropriétaire de l'Impérial
4 participants
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Lun 27 Jan 2020 - 16:12
Invité
Invité
Jason Duchatelet
ft. Milo A. Ventimiglia
Surnom : Jay ou le Transporteur
Âge : 35 ans
Métier : Copropriétaire de l'IMPERIAL
Nationalité et origines : Raclusien (Origine) Ambrosien (adoption)
Situation conjugale : Célibataire
Culte : Trinité mercantile (Timan, Hyram, Telle)
Orientation sexuelle : Hétéro
Groupe : Dignitaire
Âge : 35 ans
Métier : Copropriétaire de l'IMPERIAL
Nationalité et origines : Raclusien (Origine) Ambrosien (adoption)
Situation conjugale : Célibataire
Culte : Trinité mercantile (Timan, Hyram, Telle)
Orientation sexuelle : Hétéro
Groupe : Dignitaire
Carnation : Caucasien
Taille : 1m75
Corpulence : Mince et bien entretenue
Cheveux : Mi-long de couleur noir
Yeux : Marron
Signe(s) distinctif(s) : De vieilles cicatrices sur le corps témoignages de son passé, une chevalière portant le blason de la famille "Tour surmonté d'un ballon". Il a aussi une montre à gousset avec le blason qu'il affectionne beaucoup, héritage de son père.
Taille : 1m75
Corpulence : Mince et bien entretenue
Cheveux : Mi-long de couleur noir
Yeux : Marron
Signe(s) distinctif(s) : De vieilles cicatrices sur le corps témoignages de son passé, une chevalière portant le blason de la famille "Tour surmonté d'un ballon". Il a aussi une montre à gousset avec le blason qu'il affectionne beaucoup, héritage de son père.
Caractère :
Jason est une personne connue pour sa très grande honnêteté. Personnage assez franc, il ne semble avoir peur de dire ce qu’il pense, ne tournant pas autour du pot. En effet, le mensonge et les subtilités du langage sont peu utilisés, qu’en cas particulier. Mais ce trait de caractère qu’ont peu juger très positif à aussi ses travers. Comme nous l’avons dit, il use peu de subtilité, disant les choses directement, il risque de provoquer le courroux ou du mépris de certains. Ironiquement, l’inverse peut fonctionner aussi, car Jason a quelque peu le sang chaud. S’attaquer à une corde sensible, il aura du mal à contenir sa colère. Il y travail, apprend à prendre sur lui, mais ce n’est pas évident.
C’est aussi un idéaliste. On risque de dire qu’il est quelqu’un d’assez naïf et… Ce ne serait pas faux. Jason n’est pas quelqu’un qui court après l’argent. Vivant dans un milieu confortable, il ne voit pas l’utilité d’amasser plus, et donc cherche surtout à servir l’empire et sa population en offrant toujours un moyen de transport adéquat et de qualité, voulant se lancer dans des plans risqués. Pour cela, sa copropriétaire de l’Imperial veille toujours à éviter que ses projets restent au moins rentables.
C’est aussi un fervent sujet envers la famille Impériale actuelle. Cette dévotion, il la doit en son père. Par elle, il jugerait presque plus que par les de Choisel en qui il accorde toute sa confiance. Un peu trop peut-être, car il se ferait passer presque pour fanatique. En tout cas, la famille régnante peut-être assurée de son soutient et d’aucun mauvais coup de la part de ce grand défenseur.
Toutefois, ceci mène à un point assez compliqué, celui de la remise en question. Si Jason se trompe sur ses propres choix, bien entendu il y réfléchira et fera tout pour corriger le tir. Mais si le problème venait justement de la famille Impériale, il aurait du mal à l’admettre et ceci risque de provoquer une sorte de blocage.
Parlant de dévotion, c’est aussi un homme très spirituel. Prier devant l’autel des dieux mercantiles est plus qu’un rituel ou un devoir pour lui. Non ingrat, il pense à remercier les dieux pour leurs bénédictions sur ses affaires, sur la vie en Ambrosia, mais aussi envers Aernia pour sa protection envers les du Choiseul, mais on l’aura sans doute compris.
Niveau social, ce personnage peut aussi être agréable à côtoyer. Il n’est peut-être pas trop mondain, les réceptions manquent d’intérêt pour lui, mais utile pour les affaires, mais cela n’empêche pas d’avoir une conversation spirituelle, ouverte et cultivé avec lui. Il aime parler avec autrui, quelque soit son niveau social et se montre souvent soucieux envers son prochain. Ceci lui vaut quelques moqueries de par son groupe social, mais Jason s’en moque royalement, même si cela peut lui jouer quelques tours.
Jason est une personne connue pour sa très grande honnêteté. Personnage assez franc, il ne semble avoir peur de dire ce qu’il pense, ne tournant pas autour du pot. En effet, le mensonge et les subtilités du langage sont peu utilisés, qu’en cas particulier. Mais ce trait de caractère qu’ont peu juger très positif à aussi ses travers. Comme nous l’avons dit, il use peu de subtilité, disant les choses directement, il risque de provoquer le courroux ou du mépris de certains. Ironiquement, l’inverse peut fonctionner aussi, car Jason a quelque peu le sang chaud. S’attaquer à une corde sensible, il aura du mal à contenir sa colère. Il y travail, apprend à prendre sur lui, mais ce n’est pas évident.
C’est aussi un idéaliste. On risque de dire qu’il est quelqu’un d’assez naïf et… Ce ne serait pas faux. Jason n’est pas quelqu’un qui court après l’argent. Vivant dans un milieu confortable, il ne voit pas l’utilité d’amasser plus, et donc cherche surtout à servir l’empire et sa population en offrant toujours un moyen de transport adéquat et de qualité, voulant se lancer dans des plans risqués. Pour cela, sa copropriétaire de l’Imperial veille toujours à éviter que ses projets restent au moins rentables.
C’est aussi un fervent sujet envers la famille Impériale actuelle. Cette dévotion, il la doit en son père. Par elle, il jugerait presque plus que par les de Choisel en qui il accorde toute sa confiance. Un peu trop peut-être, car il se ferait passer presque pour fanatique. En tout cas, la famille régnante peut-être assurée de son soutient et d’aucun mauvais coup de la part de ce grand défenseur.
Toutefois, ceci mène à un point assez compliqué, celui de la remise en question. Si Jason se trompe sur ses propres choix, bien entendu il y réfléchira et fera tout pour corriger le tir. Mais si le problème venait justement de la famille Impériale, il aurait du mal à l’admettre et ceci risque de provoquer une sorte de blocage.
Parlant de dévotion, c’est aussi un homme très spirituel. Prier devant l’autel des dieux mercantiles est plus qu’un rituel ou un devoir pour lui. Non ingrat, il pense à remercier les dieux pour leurs bénédictions sur ses affaires, sur la vie en Ambrosia, mais aussi envers Aernia pour sa protection envers les du Choiseul, mais on l’aura sans doute compris.
Niveau social, ce personnage peut aussi être agréable à côtoyer. Il n’est peut-être pas trop mondain, les réceptions manquent d’intérêt pour lui, mais utile pour les affaires, mais cela n’empêche pas d’avoir une conversation spirituelle, ouverte et cultivé avec lui. Il aime parler avec autrui, quelque soit son niveau social et se montre souvent soucieux envers son prochain. Ceci lui vaut quelques moqueries de par son groupe social, mais Jason s’en moque royalement, même si cela peut lui jouer quelques tours.
Histoire :
Des origines lointaines et brumeuses...
Il est difficile de déterminer la date de naissance précise de Jason. Même lui, aurait du mal à raconter d’où il venait précisément, n’ayant plus que quelques vagues souvenirs accompagnaient de certitudes. Mais voici donc ce que l’on peut raconter. Nous sommes à la Ligue Raclusienne. Il y a quelques années, les cités-états envoyèrent de nombreux émissaires à Ambrosia pour assurer une certaine influence, face aux pactes conclus entre l’empire de vapeur et le protectorat, ainsi que les positions renforcer des Eskrois pour se restituer dans le contexte historique. Dans cet épisode quelque peu tendu, certains cherchaient à tirer parti comme ce Capitaine de navire marchand, qui fit commerce avec l’empire pour aider ainsi à montrer que le Ligue avait tant à offrir et que l'a dénigré serait fort stupide.
Quel était le nom de ce marin ? Aucune idée, s’en était un parmi tant d’autres qui voguaient sur les flots, remplissant leurs cales de nombreux biens couteux, affrontant brumes et tempêtes. Cependant il aimait surtout se faire appeler par son surnom « Barracuda » qui d’après une légende, lui fut donné par un passé dans la piraterie, mais jamais attester.
Quoi qu’il en soit, nous ne nous attarderons pas sur les aventures du capitaine, mais plutôt sur Une aventure. En effet, un homme voyageant de long en large, rapportant des récits d’explorations et rapportant des richesses attiraient quelques faveurs. Lors d’une petite fête justement donnée par un des Elus, le « Barracuda » fit sensation en narrant ses récits, surtout auprès de la gente féminine qui idéalisait le capitaine. Bien entendu, il put compter grâce à cela quelques conquêtes, et l’une d’elle nous intéresse.
On ignore tout d’elle, mais elle devait sans doute faire partie de l’Élite, du moins posséder un niveau de vie confortable. Elle n’était qu’une conquête parmi tant d’autres, chose qu’elle pouvait aussi bien accepter qu’en être jalouse, cependant elle sera à jamais marqué par les rares visites de cet aventurier. La dame tomba bien entendue enceinte. Ayant peur de la disgrâce, elle fit tout son possible pour cacher sa grossesse grâce à l’aide d’une esclave du nom d’Anita. La noble due même se faire passer pour malade et se retirer dans un lieu isolé pour terminer la grossesse et accoucher. Quand l’enfant arriva au monde, la mère aurait pu ressentir un attachement pour le fruit de ses entrailles, mais le jeune garçon lui rappela l’opprobre qu’elle risquait d’avoir en retour. Ainsi, l’enfant fut confié à Anita, se faisant passer pour le sien. Congédiée, l’esclave dut vivre à l’écart, touchant une petite rente d’argent de son ancienne maîtresse.
Les péripéties auraient pu s’arrêter là. Mais non en réalité. Anita nomma elle-même l’enfant du nom de Jason. Pendant près de quatre ans, elle éleva le petit comme le sien. Mais un jour, le garçon voulu en savoir le plus possible sur son père ainsi que sa mère, car l’esclave n’avait jamais prétendu être sa mère de sang. Face aux demandes répétitives de Jason, Anita alla prévenir sa maîtresse. Inquiète que le secret venait à s’éventer, la dame due prendre une lourde décision.
Organisant un rendez-vous, elle revit ainsi Jason. Mais les retrouvailles furent de courtes durées. Car la dame avait repris contact avec le Barracuda. Lui présentant son fils, ce dernier eu un mouvement de rejet, n’acceptant pas cette nouvelle paternité. Mais il changea d’avis quand elle lui offrit une bonne somme d’argent pour l’emmener sur son bateau. Barracuda accepta, et ce fut à travers les cris et les larmes que Jason fut emmené sur le navire, arracher en même temps des bras aimant de sa nourrice Anita.
De l’eau à la crasse
Pendant près d’un an, père et fils voyagèrent ensemble. Jason fut rassuré d’apprendre que son ainé était son géniteur et développa rapidement de la confiance et de l’admiration pour ce dernier. Pour le Barracuda, difficile à dire. Il essayait toujours de trouver quelque chose à faire faire au garçon, mais il représentait plus une gène qu’autre chose. Tantôt paternel, tantôt détaché et méprisant, leur relation avait du mal à se définir et semblait évolué vers le mauvais sens. Quand ils faisaient escale à un port, le Barracuda ordonnait à chaque fois à son fils de rester à bord. Mais l’enfant voulait suivre son parent, trainant ainsi dans ses pattes, ce qui posait souvent problème quand le capitaine devait faire affaire ou cherchait à « sympathiser » avec quelques belles ou de quelques professionnelles dont l’arrivé de l’enfant dérange. Au final, le Barracuda vint à enfermer son fils dans la cale sous bonne garde, ce qui provoquait quelques crises déchirantes.
Très rapidement, les temps devinrent durs. Le capitaine trouvait des difficultés à rendre son commerce aussi lucratif qu’avant. L’entretient de son navire devenait onéreux, de même que la paye de ses marins dont il dut se séparer de plusieurs. Peut-être était-ce pour cela qu’il a agi ainsi. Pour son geste, chacun ira de son interprétation, en tout cas le résultat en fut là. Accostant au port de l’Est de la cité d’Ambrosia, le Barracuda offrit un verre à tous ses hommes y comprit à son jeune fils de six ans. Ayant prévu de partir au petit jour, le capitaine offrit la meilleure chambre possible de l’auberge à son fils Jason pour profiter d’un bon lit avant de repartir. Mais quand le garçon se réveilla, il découvrit avec horreur que son père et ses hommes l’eurent abandonné. Il chercha à les retrouver, mais le navire ne mouillait plus à quai.
C’est alors qu’il tombera sur le « Rat » un surnom si on peut dire affectueux. La réalité fut que le Rat et le Barracuda étaient deux vieux amis ayant navigué ensemble avant. Son père l’eut abandonné entre ses mains pour des raisons non expliquées et qu’à présent, cet homme aux allures de charlatan des bas-fonds, allait s’occuper de lui. Le rat était un de ces hommes et femmes, qui utilisait un réseau d’orphelins pour accomplir quelques tâches. Vente d’allumettes, de fleurs, journaux, vols… Bref, un peu de tout et n’importe quoi dont devra se familiariser Jason.
Les rues de vapeurs
Ce fut dans ce dédale gris, crachant de la fumée où les recoins sombres abritant le danger que le jeune Jason grandissait. Il était bien heureux d’avoir un toit. Et même si parfois, quelques activités déplaisaient au garçon, le « Rat » n’était pas mauvais avec eux. Comme un père, il apportait toujours de quoi manger et boire pour les enfants, et quand un est malade, il appelait toujours un médecin. Certes, ce dernier n’était pas le meilleur et travaillait sous terre pratiquant des soins quelque peu limite, mais c’était déjà ça. Très vite, Jason s’attacha à cette petite famille qui apprit à se serrer les coudes. Bien entendu, tout n’était pas rose. Plus d’une fois, des gendarmes coursaient les orphelins quand ils volaient, et des bagarres avaient souvent lieu. Le corps de Jason se marqua à cette date avec ses cicatrices.
Pendant près de deux ans Jason vécu avec cette nouvelle famille. Il adopta rapidement le rôle de grand frère qui veillait sur chacun des plus jeunes et alla en secourir un quand on criait qu’il était en danger. Mais une fois de plus, ce troisième foyer allait se retrouver briser. Les forces de l’ordre découvrir où le Rat se cachait. D’après les rumeurs, un des enfants aurait balancer l’information contre une bonne bourse. Ainsi, les gendarmes débarquèrent pour arrêter le Rat, qui arriva tout juste à sauver ses enfants, les dispersant aux quatre coins de la ville.
N’étant que des enfants des rues, les gendarmes ne semblaient pas intéressés par ces derniers, pensant les capturer dès que l’un d’entre eux, échouera à voler quelques roues dans une poche. Jason se retrouva donc séparer de tout le monde. Pendant plusieurs mois il tenta de survivre la plupart du temps seul. Parfois il retrouvait ses camarades, d’autres ils furent séparés, manquant plus d’une fois de se faire attraper. Chaque jour fut donc un combat pour la survie.
Des abîmes à la lumière
La chance, point de vu relatif, tourna pour Jason. Lors d’une petite fête organisée en ville, le jeune homme tenta de détrousser un notable. Prit sur le fait, le garçon tenta de prendre la fuite, mais hélas pour lui, il fut rapidement appréhendé et envoyé en cellule. Se croyant fini, Jason pria n’importe quel dieu de bien vouloir l’aider, tout en réfléchissant divers scénarios pour réussir à s’en sortir. C’est alors qu’un étrange homme vint lui rendre visite. Bien vêtu, parfumé, monocle à l’œil et coiffé d’un haut de forme, l’inconnu se présenta sous le nom de Tristan Duchatelet. C’était lui que Jason eut tenté de voler. Loin de lui exiger des comptes, Duchatelet voulu savoir ce qui a conduit Jason sur pareille pente. Réservé et méfiant, Jason ne raconta pas grand-chose. Tristan lui fit donc cette proposition. Il ne l’enverra ni en prison ou quelconque lieu pour jeune voleur, s’il venait le voir chez lui afin de lui proposer de travailler pour lui et ainsi gagner sa vie.
Au début, Jason n’était pas trop pour. Sans doute un piège pensait-il et il pourrait en profiter pour s’enfuir. Toutefois, il accepta. Il fut conduit par la police à la demeure des Duchatelet. Il était impressionné par l’immense maison du Grand on pouvait le dire. Tristan lui fit donc faire un rapide tour du propriétaire et lui expliqua deux choses. Premièrement, Tristan était un des propriétaires de la compagnie l’IMPERIALE, qui gérait tout ce qui était transport avec une seconde famille, les Clairefontaine. Et deuxièmement, Jason devait aider Tristan comme un assistant devant assuré l’ordre dans ses papiers et son bureau. Sentant qu’il n’avait pas le choix, Jason obtempéra.
Les débuts ne furent pas toujours faciles. Durant les premiers mois, Jason fût tenté de voler et s’enfuir et plus d’une fois, Tristan dû le gronder. Mais à côtés de ses ordres stricts, il se montra souvent concilient. Oreille attentive, il écoutait le jeune homme quand ce dernier parlait avec franchise, le conseillait et le trait plus que bien. Rapidement, un lien très fort unissait les deux personnages.
Jason découvrira que Tristan était marié. Sa femme Mathilde Duchatelet, avait déjà un fils d’un premier mariage, Edgard Pernyworth. Apparemment, le couple n’avait aucun enfant, et on soupçonnait Mathilde de juste cherché à mettre son fils à la tête de l’entreprise après son mari. Déjà, Edgard n’aimait pas Jason, sachant qu’il venait des milieux pauvres, un orphelin ayant manquer de finir en prison. De même, Jason n’aimait pas son ainé qu’il trouvait un peu trop prétentieux et méprisant. C’est alors que Tristan confia au jeune garçon son désire de l’adopter. En réalité, il avait plus confiance en ce jeune des rues qu’à son beau-fils. Jason était ravit et accepta bien de rejoindre cette famille.
La course de fer des héritiers
Tristan était au courant des origines de Jason grâce à plusieurs de ses contacts. Il savait que s’il voulait que le garçon prenne la relève, ils feraient mieux tous deux de garder le secret sur ses origines. De toute manière, Jason ne se souvenait qu’à peine de son enfance or d’Ambrosia, pour lui, il était de l’empire de vapeur à cent pour cent.
Bien entendu, cette décision concernant l’adoption ne plaisait pas à tout le monde. Mathilde voulu que ce fut son propre fils qui prit la relève de l’entreprise. D’ailleurs, les premières rumeurs au sujet de Jason débutèrent avec elle. Qui pouvait-être cet enfant ? Pourquoi son mari s’en était-il attaché à ce vagabond ? Très vite, on parlait d’enfant illégitime, volé, issu d’un milieu peur recommandable… Et aussi, Jason gardait quelques fois contact avec ses anciens compagnons, venant en aide s’il pouvait. Des fois, on le retrouvait à trainer dans les ruelles inquiétantes à se battre et discuter avec quelques mendiants. Mais Tristan ne lâchait rien, il maintenait sa décision et apprit tout ce qu’il savait à ce nouveau fils qui se montra très ouvert apprenant tout de son mentor. Il apprit comment faire tourner une affaire, un peu sur la mécanique et l’ingénierie, la spiritualité envers les dieux mercantiles mais surtout… Il lui apprit l’amour de l’histoire de la famille. Comment les Duchatelet furent de grands alliés aux De Choiseul, lui communiquant ainsi cette dévotion envers la famille impériale.
Edgard quant à lui, ne lorgnait que sur l’héritage, pensant uniquement à diriger en donnant des ordres. Ne se souciant pas plus que cela, il enchaina quelques petits scandales, trainant dans les bars, fêtes et « rendez-vous » galants. Ceci mit quelques bâtons dans les roues de sa mère pour le faire accéder à la tête de l’Impérial. Décident le tout pour le tout, en l’an 418 AM, Mathilde alla confronter son époux. Une dispute conjugale éclata où Tristan se retrouva blesser et Mathilde en pleine crise. Il fallu plusieurs serviteurs pour venir calmer la maîtresse de maison. Suite à cet incident, il fut décidé que l’épouse irait en maison de repos. On ne sait pas de qui venait ce choix, mais ceci marqua la rupture entre les deux époux. L’année suivant, ce fut le scandale avec l’épouse Impériale qui fit trembler la société, Iphigénie. Jason avait treize ans au moment des faits.
Une ascension mouvementée
Edgard se fit discret depuis tout ce temps. Retrouvant un semblant de tranquillité, Jason mena une vie paisible sous l’attention de son père bien aimé. Cependant, il avait pris pour habitude il y a peu, de visiter les ports de la ville. Bien que reconnaissant envers son père d’adoption, le jeune homme gardait espoir de revoir son géniteur. Il ne cherchait pas à ce qu’il le reprenne et revivre avec lui. Il espérait juste le revoir, constater si oui ou non il le reconnaitrait et aussi, avoir des réponses à ses questions. Ceci n’arriva donc jamais.
Les années passèrent, notre jeune ami grandissait et devenait un beau jeune homme, profitant donc bien du nouveau foyer qu'il venait de gagner. Il partageait sa vie entre deux partie. La première avec son père où il avait droit à plusieurs précepteurs qui l'aidèrent dans ses cours en plus des études qu'il devait mener et devenir l'homme qu'on attendait. De l'autre, il tenta de revoir ses vieux amis le plus souvent dans le secret. Mais parfois ces deux vies totalement opposés amenaient quelques confrontations.
Le cadre tranquille dont s'était habitué Jason allait changer en l'an 423, Jason venait d’avoir ses dix-huit ans, l’âge pour lui de devenir pupilles. Préparé pour ce grand moment, il garda espoir qu’il soit pris en charge par un tuteur de la ligue Raclusienne. Curieux sur ses origines et l’espoir de rencontrer par hasard ses véritables parents, c’était avec déception qu’il fut pris en charge par un dignitaire Eskroi, un membre d’une branche de la famille Wolverton. Un seigneur quelque peu solitaire, il s’était séparé de sa famille pour diverses raisons. Pendant trois ans, Arnaud Wolverton voulu intéresser le jeune homme à l’art de la guerre et la gestion d’un territoire. Autant dire que ces activités ne plaisaient guère au Duchatelet qui était assez répugner à l’idée de combattre, mais trouvait plus d’intérêt à la gestion. Il eut quelques hauts et bas durant sa vie de Pupille, mais il s’entendait bien avec son tuteur dont il en garda un assez bon souvenir.
Le retour cependant chez lui, n’était pas aussi festif qu’il aurait put l’imaginer. Son père fut heureux de le revoir et vice et versa, mais Edgard était revenu. Un soir, Jason revenait de l’IMPRIALE, où il commençait tout juste ses débuts officiels dans l’entreprise. Il tomba alors sur une dispute entre son père Tristan et Edgard. Soule, vêtements ruinés, l’ancien héritier des Duchatelet avait dilapidé son premier héritage venant de son père biologique et venait exiger le sien auprès de l’ancien adoptif. Tristan refusa et voulu chasser l’impertinent qui furieux, s’en prit au vieil homme. Jason dû intervenir pour séparer les deux hommes. Edgard disgracié, fut envoyé un temps en prison avant de se faire oublier pour de bon.
Un héritage précieux
En l’an 427 AP, Jason avait vingt-deux an. Après tous les efforts fournit, le parcours titanesque qu’il dû accomplir, le jeune homme se vit offrir un post administratif au sein de l’IMPERIALE, qui était une grande étape dans son parcours professionnel. Pour fêter cela, son père d’adoption Tristan lui offrit la fameuse montre à gousset avec les armoiries de la famille, dont Jason ne se sépare jamais et affectionne beaucoup.
Cependant, son père avait aussi pour projet d’unir son fils à une fille de noble famille. Il proposa plusieurs prétendantes, mais Jason ne semblait pas emballer à l’idée de se marier. Il aimerait choisir sa promise en temps et en heure et ceci provoquait les premières grandes disputes père et fils. En attendant donc que ce jour arrive, Tristan reste propriétaire de l’MPERIALE. Cependant, le vieil homme rencontra de plus en plus des ennuis de santé. Même un jour, pendant un une inauguration d’une nouvelle voie d’un monorail moderne, le pauvre homme eut une attaque. Il dû la vie à Jason qui paniqué, alla à son secours et pratiqua les gestes qui sauvent. Il resta au chevet de son père pendant plusieurs jours. Le médecin fit comprendre que Tristan ne pouvait plus assurer ses fonctions comme avant. Ainsi, le vieil homme dû céder sa place à Jason.
Les papiers furent signés, Jason devenait, l’émotion partagé, le nouveau copropriétaire de l’IMPERIALE. Il devait désormais travail en collaboration avec la représentante de la seconde famille, Catherine Clairefontaine, dix ans son ainée. Les deux personnages étaient si différends. L’un rêveur et idéaliste, l’autre les pieds sur terre et raisonnable. Quand Jason eut une idée démesurée pour une nouvelle voie de monorail, un projet d’avion ou de dirigeable qui lui parait intéressant, Catherine devait le faire ressaisir, parlant avant tout des finances, si oui ou non de tels lubies pouvaient se faire. Jason avait tout juste vingt sept ans quand il reprit les rennes.
Les années passèrent et le nouveau duo parvint à assurer un avenir prospère à l’entreprise et à l’empire. Tristan quant à lui, devait rester souvent enfermer chez eux. Mais Jason veilla à ce que son père ne manquait de rien, faisant venir les meilleurs médecins à la demeure. Il veillait aussi à toujours avoir un moment dans la semaine pour passer le voir et passer ainsi du temps ensemble. Également, n’oubliant pas ses débuts modestes, Jason versait une partie de ses revenues aux divers orphelinats et refuges pour enfants.
Il est clair que ce jeune homme à connu pas mal de haut et de bas, mais il fit toujours de son mieux pour ne pas dévier de ses principes, se souvenir de qui il était pour mieux avancer. Restes à savoir si un jour ou l’autre, il viendrait à tomber ou rester ferme…
Des origines lointaines et brumeuses...
Il est difficile de déterminer la date de naissance précise de Jason. Même lui, aurait du mal à raconter d’où il venait précisément, n’ayant plus que quelques vagues souvenirs accompagnaient de certitudes. Mais voici donc ce que l’on peut raconter. Nous sommes à la Ligue Raclusienne. Il y a quelques années, les cités-états envoyèrent de nombreux émissaires à Ambrosia pour assurer une certaine influence, face aux pactes conclus entre l’empire de vapeur et le protectorat, ainsi que les positions renforcer des Eskrois pour se restituer dans le contexte historique. Dans cet épisode quelque peu tendu, certains cherchaient à tirer parti comme ce Capitaine de navire marchand, qui fit commerce avec l’empire pour aider ainsi à montrer que le Ligue avait tant à offrir et que l'a dénigré serait fort stupide.
Quel était le nom de ce marin ? Aucune idée, s’en était un parmi tant d’autres qui voguaient sur les flots, remplissant leurs cales de nombreux biens couteux, affrontant brumes et tempêtes. Cependant il aimait surtout se faire appeler par son surnom « Barracuda » qui d’après une légende, lui fut donné par un passé dans la piraterie, mais jamais attester.
Quoi qu’il en soit, nous ne nous attarderons pas sur les aventures du capitaine, mais plutôt sur Une aventure. En effet, un homme voyageant de long en large, rapportant des récits d’explorations et rapportant des richesses attiraient quelques faveurs. Lors d’une petite fête justement donnée par un des Elus, le « Barracuda » fit sensation en narrant ses récits, surtout auprès de la gente féminine qui idéalisait le capitaine. Bien entendu, il put compter grâce à cela quelques conquêtes, et l’une d’elle nous intéresse.
On ignore tout d’elle, mais elle devait sans doute faire partie de l’Élite, du moins posséder un niveau de vie confortable. Elle n’était qu’une conquête parmi tant d’autres, chose qu’elle pouvait aussi bien accepter qu’en être jalouse, cependant elle sera à jamais marqué par les rares visites de cet aventurier. La dame tomba bien entendue enceinte. Ayant peur de la disgrâce, elle fit tout son possible pour cacher sa grossesse grâce à l’aide d’une esclave du nom d’Anita. La noble due même se faire passer pour malade et se retirer dans un lieu isolé pour terminer la grossesse et accoucher. Quand l’enfant arriva au monde, la mère aurait pu ressentir un attachement pour le fruit de ses entrailles, mais le jeune garçon lui rappela l’opprobre qu’elle risquait d’avoir en retour. Ainsi, l’enfant fut confié à Anita, se faisant passer pour le sien. Congédiée, l’esclave dut vivre à l’écart, touchant une petite rente d’argent de son ancienne maîtresse.
Les péripéties auraient pu s’arrêter là. Mais non en réalité. Anita nomma elle-même l’enfant du nom de Jason. Pendant près de quatre ans, elle éleva le petit comme le sien. Mais un jour, le garçon voulu en savoir le plus possible sur son père ainsi que sa mère, car l’esclave n’avait jamais prétendu être sa mère de sang. Face aux demandes répétitives de Jason, Anita alla prévenir sa maîtresse. Inquiète que le secret venait à s’éventer, la dame due prendre une lourde décision.
Organisant un rendez-vous, elle revit ainsi Jason. Mais les retrouvailles furent de courtes durées. Car la dame avait repris contact avec le Barracuda. Lui présentant son fils, ce dernier eu un mouvement de rejet, n’acceptant pas cette nouvelle paternité. Mais il changea d’avis quand elle lui offrit une bonne somme d’argent pour l’emmener sur son bateau. Barracuda accepta, et ce fut à travers les cris et les larmes que Jason fut emmené sur le navire, arracher en même temps des bras aimant de sa nourrice Anita.
De l’eau à la crasse
Pendant près d’un an, père et fils voyagèrent ensemble. Jason fut rassuré d’apprendre que son ainé était son géniteur et développa rapidement de la confiance et de l’admiration pour ce dernier. Pour le Barracuda, difficile à dire. Il essayait toujours de trouver quelque chose à faire faire au garçon, mais il représentait plus une gène qu’autre chose. Tantôt paternel, tantôt détaché et méprisant, leur relation avait du mal à se définir et semblait évolué vers le mauvais sens. Quand ils faisaient escale à un port, le Barracuda ordonnait à chaque fois à son fils de rester à bord. Mais l’enfant voulait suivre son parent, trainant ainsi dans ses pattes, ce qui posait souvent problème quand le capitaine devait faire affaire ou cherchait à « sympathiser » avec quelques belles ou de quelques professionnelles dont l’arrivé de l’enfant dérange. Au final, le Barracuda vint à enfermer son fils dans la cale sous bonne garde, ce qui provoquait quelques crises déchirantes.
Très rapidement, les temps devinrent durs. Le capitaine trouvait des difficultés à rendre son commerce aussi lucratif qu’avant. L’entretient de son navire devenait onéreux, de même que la paye de ses marins dont il dut se séparer de plusieurs. Peut-être était-ce pour cela qu’il a agi ainsi. Pour son geste, chacun ira de son interprétation, en tout cas le résultat en fut là. Accostant au port de l’Est de la cité d’Ambrosia, le Barracuda offrit un verre à tous ses hommes y comprit à son jeune fils de six ans. Ayant prévu de partir au petit jour, le capitaine offrit la meilleure chambre possible de l’auberge à son fils Jason pour profiter d’un bon lit avant de repartir. Mais quand le garçon se réveilla, il découvrit avec horreur que son père et ses hommes l’eurent abandonné. Il chercha à les retrouver, mais le navire ne mouillait plus à quai.
C’est alors qu’il tombera sur le « Rat » un surnom si on peut dire affectueux. La réalité fut que le Rat et le Barracuda étaient deux vieux amis ayant navigué ensemble avant. Son père l’eut abandonné entre ses mains pour des raisons non expliquées et qu’à présent, cet homme aux allures de charlatan des bas-fonds, allait s’occuper de lui. Le rat était un de ces hommes et femmes, qui utilisait un réseau d’orphelins pour accomplir quelques tâches. Vente d’allumettes, de fleurs, journaux, vols… Bref, un peu de tout et n’importe quoi dont devra se familiariser Jason.
Les rues de vapeurs
Ce fut dans ce dédale gris, crachant de la fumée où les recoins sombres abritant le danger que le jeune Jason grandissait. Il était bien heureux d’avoir un toit. Et même si parfois, quelques activités déplaisaient au garçon, le « Rat » n’était pas mauvais avec eux. Comme un père, il apportait toujours de quoi manger et boire pour les enfants, et quand un est malade, il appelait toujours un médecin. Certes, ce dernier n’était pas le meilleur et travaillait sous terre pratiquant des soins quelque peu limite, mais c’était déjà ça. Très vite, Jason s’attacha à cette petite famille qui apprit à se serrer les coudes. Bien entendu, tout n’était pas rose. Plus d’une fois, des gendarmes coursaient les orphelins quand ils volaient, et des bagarres avaient souvent lieu. Le corps de Jason se marqua à cette date avec ses cicatrices.
Pendant près de deux ans Jason vécu avec cette nouvelle famille. Il adopta rapidement le rôle de grand frère qui veillait sur chacun des plus jeunes et alla en secourir un quand on criait qu’il était en danger. Mais une fois de plus, ce troisième foyer allait se retrouver briser. Les forces de l’ordre découvrir où le Rat se cachait. D’après les rumeurs, un des enfants aurait balancer l’information contre une bonne bourse. Ainsi, les gendarmes débarquèrent pour arrêter le Rat, qui arriva tout juste à sauver ses enfants, les dispersant aux quatre coins de la ville.
N’étant que des enfants des rues, les gendarmes ne semblaient pas intéressés par ces derniers, pensant les capturer dès que l’un d’entre eux, échouera à voler quelques roues dans une poche. Jason se retrouva donc séparer de tout le monde. Pendant plusieurs mois il tenta de survivre la plupart du temps seul. Parfois il retrouvait ses camarades, d’autres ils furent séparés, manquant plus d’une fois de se faire attraper. Chaque jour fut donc un combat pour la survie.
Des abîmes à la lumière
La chance, point de vu relatif, tourna pour Jason. Lors d’une petite fête organisée en ville, le jeune homme tenta de détrousser un notable. Prit sur le fait, le garçon tenta de prendre la fuite, mais hélas pour lui, il fut rapidement appréhendé et envoyé en cellule. Se croyant fini, Jason pria n’importe quel dieu de bien vouloir l’aider, tout en réfléchissant divers scénarios pour réussir à s’en sortir. C’est alors qu’un étrange homme vint lui rendre visite. Bien vêtu, parfumé, monocle à l’œil et coiffé d’un haut de forme, l’inconnu se présenta sous le nom de Tristan Duchatelet. C’était lui que Jason eut tenté de voler. Loin de lui exiger des comptes, Duchatelet voulu savoir ce qui a conduit Jason sur pareille pente. Réservé et méfiant, Jason ne raconta pas grand-chose. Tristan lui fit donc cette proposition. Il ne l’enverra ni en prison ou quelconque lieu pour jeune voleur, s’il venait le voir chez lui afin de lui proposer de travailler pour lui et ainsi gagner sa vie.
Au début, Jason n’était pas trop pour. Sans doute un piège pensait-il et il pourrait en profiter pour s’enfuir. Toutefois, il accepta. Il fut conduit par la police à la demeure des Duchatelet. Il était impressionné par l’immense maison du Grand on pouvait le dire. Tristan lui fit donc faire un rapide tour du propriétaire et lui expliqua deux choses. Premièrement, Tristan était un des propriétaires de la compagnie l’IMPERIALE, qui gérait tout ce qui était transport avec une seconde famille, les Clairefontaine. Et deuxièmement, Jason devait aider Tristan comme un assistant devant assuré l’ordre dans ses papiers et son bureau. Sentant qu’il n’avait pas le choix, Jason obtempéra.
Les débuts ne furent pas toujours faciles. Durant les premiers mois, Jason fût tenté de voler et s’enfuir et plus d’une fois, Tristan dû le gronder. Mais à côtés de ses ordres stricts, il se montra souvent concilient. Oreille attentive, il écoutait le jeune homme quand ce dernier parlait avec franchise, le conseillait et le trait plus que bien. Rapidement, un lien très fort unissait les deux personnages.
Jason découvrira que Tristan était marié. Sa femme Mathilde Duchatelet, avait déjà un fils d’un premier mariage, Edgard Pernyworth. Apparemment, le couple n’avait aucun enfant, et on soupçonnait Mathilde de juste cherché à mettre son fils à la tête de l’entreprise après son mari. Déjà, Edgard n’aimait pas Jason, sachant qu’il venait des milieux pauvres, un orphelin ayant manquer de finir en prison. De même, Jason n’aimait pas son ainé qu’il trouvait un peu trop prétentieux et méprisant. C’est alors que Tristan confia au jeune garçon son désire de l’adopter. En réalité, il avait plus confiance en ce jeune des rues qu’à son beau-fils. Jason était ravit et accepta bien de rejoindre cette famille.
La course de fer des héritiers
Tristan était au courant des origines de Jason grâce à plusieurs de ses contacts. Il savait que s’il voulait que le garçon prenne la relève, ils feraient mieux tous deux de garder le secret sur ses origines. De toute manière, Jason ne se souvenait qu’à peine de son enfance or d’Ambrosia, pour lui, il était de l’empire de vapeur à cent pour cent.
Bien entendu, cette décision concernant l’adoption ne plaisait pas à tout le monde. Mathilde voulu que ce fut son propre fils qui prit la relève de l’entreprise. D’ailleurs, les premières rumeurs au sujet de Jason débutèrent avec elle. Qui pouvait-être cet enfant ? Pourquoi son mari s’en était-il attaché à ce vagabond ? Très vite, on parlait d’enfant illégitime, volé, issu d’un milieu peur recommandable… Et aussi, Jason gardait quelques fois contact avec ses anciens compagnons, venant en aide s’il pouvait. Des fois, on le retrouvait à trainer dans les ruelles inquiétantes à se battre et discuter avec quelques mendiants. Mais Tristan ne lâchait rien, il maintenait sa décision et apprit tout ce qu’il savait à ce nouveau fils qui se montra très ouvert apprenant tout de son mentor. Il apprit comment faire tourner une affaire, un peu sur la mécanique et l’ingénierie, la spiritualité envers les dieux mercantiles mais surtout… Il lui apprit l’amour de l’histoire de la famille. Comment les Duchatelet furent de grands alliés aux De Choiseul, lui communiquant ainsi cette dévotion envers la famille impériale.
Edgard quant à lui, ne lorgnait que sur l’héritage, pensant uniquement à diriger en donnant des ordres. Ne se souciant pas plus que cela, il enchaina quelques petits scandales, trainant dans les bars, fêtes et « rendez-vous » galants. Ceci mit quelques bâtons dans les roues de sa mère pour le faire accéder à la tête de l’Impérial. Décident le tout pour le tout, en l’an 418 AM, Mathilde alla confronter son époux. Une dispute conjugale éclata où Tristan se retrouva blesser et Mathilde en pleine crise. Il fallu plusieurs serviteurs pour venir calmer la maîtresse de maison. Suite à cet incident, il fut décidé que l’épouse irait en maison de repos. On ne sait pas de qui venait ce choix, mais ceci marqua la rupture entre les deux époux. L’année suivant, ce fut le scandale avec l’épouse Impériale qui fit trembler la société, Iphigénie. Jason avait treize ans au moment des faits.
Une ascension mouvementée
Edgard se fit discret depuis tout ce temps. Retrouvant un semblant de tranquillité, Jason mena une vie paisible sous l’attention de son père bien aimé. Cependant, il avait pris pour habitude il y a peu, de visiter les ports de la ville. Bien que reconnaissant envers son père d’adoption, le jeune homme gardait espoir de revoir son géniteur. Il ne cherchait pas à ce qu’il le reprenne et revivre avec lui. Il espérait juste le revoir, constater si oui ou non il le reconnaitrait et aussi, avoir des réponses à ses questions. Ceci n’arriva donc jamais.
Les années passèrent, notre jeune ami grandissait et devenait un beau jeune homme, profitant donc bien du nouveau foyer qu'il venait de gagner. Il partageait sa vie entre deux partie. La première avec son père où il avait droit à plusieurs précepteurs qui l'aidèrent dans ses cours en plus des études qu'il devait mener et devenir l'homme qu'on attendait. De l'autre, il tenta de revoir ses vieux amis le plus souvent dans le secret. Mais parfois ces deux vies totalement opposés amenaient quelques confrontations.
Le cadre tranquille dont s'était habitué Jason allait changer en l'an 423, Jason venait d’avoir ses dix-huit ans, l’âge pour lui de devenir pupilles. Préparé pour ce grand moment, il garda espoir qu’il soit pris en charge par un tuteur de la ligue Raclusienne. Curieux sur ses origines et l’espoir de rencontrer par hasard ses véritables parents, c’était avec déception qu’il fut pris en charge par un dignitaire Eskroi, un membre d’une branche de la famille Wolverton. Un seigneur quelque peu solitaire, il s’était séparé de sa famille pour diverses raisons. Pendant trois ans, Arnaud Wolverton voulu intéresser le jeune homme à l’art de la guerre et la gestion d’un territoire. Autant dire que ces activités ne plaisaient guère au Duchatelet qui était assez répugner à l’idée de combattre, mais trouvait plus d’intérêt à la gestion. Il eut quelques hauts et bas durant sa vie de Pupille, mais il s’entendait bien avec son tuteur dont il en garda un assez bon souvenir.
Le retour cependant chez lui, n’était pas aussi festif qu’il aurait put l’imaginer. Son père fut heureux de le revoir et vice et versa, mais Edgard était revenu. Un soir, Jason revenait de l’IMPRIALE, où il commençait tout juste ses débuts officiels dans l’entreprise. Il tomba alors sur une dispute entre son père Tristan et Edgard. Soule, vêtements ruinés, l’ancien héritier des Duchatelet avait dilapidé son premier héritage venant de son père biologique et venait exiger le sien auprès de l’ancien adoptif. Tristan refusa et voulu chasser l’impertinent qui furieux, s’en prit au vieil homme. Jason dû intervenir pour séparer les deux hommes. Edgard disgracié, fut envoyé un temps en prison avant de se faire oublier pour de bon.
Un héritage précieux
En l’an 427 AP, Jason avait vingt-deux an. Après tous les efforts fournit, le parcours titanesque qu’il dû accomplir, le jeune homme se vit offrir un post administratif au sein de l’IMPERIALE, qui était une grande étape dans son parcours professionnel. Pour fêter cela, son père d’adoption Tristan lui offrit la fameuse montre à gousset avec les armoiries de la famille, dont Jason ne se sépare jamais et affectionne beaucoup.
Cependant, son père avait aussi pour projet d’unir son fils à une fille de noble famille. Il proposa plusieurs prétendantes, mais Jason ne semblait pas emballer à l’idée de se marier. Il aimerait choisir sa promise en temps et en heure et ceci provoquait les premières grandes disputes père et fils. En attendant donc que ce jour arrive, Tristan reste propriétaire de l’MPERIALE. Cependant, le vieil homme rencontra de plus en plus des ennuis de santé. Même un jour, pendant un une inauguration d’une nouvelle voie d’un monorail moderne, le pauvre homme eut une attaque. Il dû la vie à Jason qui paniqué, alla à son secours et pratiqua les gestes qui sauvent. Il resta au chevet de son père pendant plusieurs jours. Le médecin fit comprendre que Tristan ne pouvait plus assurer ses fonctions comme avant. Ainsi, le vieil homme dû céder sa place à Jason.
Les papiers furent signés, Jason devenait, l’émotion partagé, le nouveau copropriétaire de l’IMPERIALE. Il devait désormais travail en collaboration avec la représentante de la seconde famille, Catherine Clairefontaine, dix ans son ainée. Les deux personnages étaient si différends. L’un rêveur et idéaliste, l’autre les pieds sur terre et raisonnable. Quand Jason eut une idée démesurée pour une nouvelle voie de monorail, un projet d’avion ou de dirigeable qui lui parait intéressant, Catherine devait le faire ressaisir, parlant avant tout des finances, si oui ou non de tels lubies pouvaient se faire. Jason avait tout juste vingt sept ans quand il reprit les rennes.
Les années passèrent et le nouveau duo parvint à assurer un avenir prospère à l’entreprise et à l’empire. Tristan quant à lui, devait rester souvent enfermer chez eux. Mais Jason veilla à ce que son père ne manquait de rien, faisant venir les meilleurs médecins à la demeure. Il veillait aussi à toujours avoir un moment dans la semaine pour passer le voir et passer ainsi du temps ensemble. Également, n’oubliant pas ses débuts modestes, Jason versait une partie de ses revenues aux divers orphelinats et refuges pour enfants.
Il est clair que ce jeune homme à connu pas mal de haut et de bas, mais il fit toujours de son mieux pour ne pas dévier de ses principes, se souvenir de qui il était pour mieux avancer. Restes à savoir si un jour ou l’autre, il viendrait à tomber ou rester ferme…
Divers : Les rumeurs qui court à son encontre concernent ses origines. Personne ne sait qu'il est né Raclusien et on trouve étrange que Duchatelet eut adopter un enfant des rues. On parle d'enfant caché, vendu ou n'importe quoi. De plus, le fait que Jason garde le silence dessus ne fait qu'accentuer les doutes.
Date de naissance : Il y a fort longtemps
Double compte : Henry Wolverton & Almera Strokes
Où nous as-tu trouvé? : Me souviens plus XD
Commentaire : A toute vapeur ! Sort
Double compte : Henry Wolverton & Almera Strokes
Où nous as-tu trouvé? : Me souviens plus XD
Commentaire : A toute vapeur ! Sort
Lun 27 Jan 2020 - 16:39
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Nationalité : Amethien
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
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Rebienvenue !
Lun 27 Jan 2020 - 16:45
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
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Re bienvenue avec ce nouveau perso *-*
Lun 27 Jan 2020 - 20:50
Invité
Invité
Merci beaucoup à vous deux
Je devrais rapidement remplir ma fiche dans la semaine si tout va bien^^
Je devrais rapidement remplir ma fiche dans la semaine si tout va bien^^
Mar 28 Jan 2020 - 13:16
Daphnée Samabartel
Propriétaire d'un comptoir commercial
Re-bienvenue avec un nouveau personnage qui promet d'envoyer du lourd (et qui n'aura encore d'autre choix que de connaître Daphnée, te voilà condamné à RP avec moi pour le restant de ton existence, navrée ! x) )
Mar 28 Jan 2020 - 13:30
Invité
Invité
Merci Daphnée
Et pas de souci pour un rp ouaip faudra qu'on trouve quelque chose
Et pas de souci pour un rp ouaip faudra qu'on trouve quelque chose
Jeu 30 Jan 2020 - 8:38
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Nationalité : Amethien
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Bonjour !
Je vais me charger de la modération de ta fiche !
Alors j'aime beaucoup ce que tu as écrit, c'est une super fiche. Mais par contre l'âge du pupillat n'est pas bon. on débute son pupillat lorsque de l'on a entre 18 et 21 ans, pas à 16 ans !
Je te laisse régler ce détail et ensuite je pourrais te valider !
Je vais me charger de la modération de ta fiche !
Alors j'aime beaucoup ce que tu as écrit, c'est une super fiche. Mais par contre l'âge du pupillat n'est pas bon. on débute son pupillat lorsque de l'on a entre 18 et 21 ans, pas à 16 ans !
Je te laisse régler ce détail et ensuite je pourrais te valider !
Jeu 30 Jan 2020 - 11:31
Invité
Invité
Bonjour
Merci beaucoup cela me fait plaisir que ma fiche plaire
Je viens de modifier le passage concerné au tant pour moi confondu les âges XD
A très bientôt
Merci beaucoup cela me fait plaisir que ma fiche plaire
Je viens de modifier le passage concerné au tant pour moi confondu les âges XD
A très bientôt
Ven 31 Jan 2020 - 22:10
Leonie de Marzac
Propriétaire de la Gobelin Bank
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 91
Date d'inscription : 13/01/2020
Messages : 91
Date d'inscription : 13/01/2020
Jeune homme, je pense que nous devrions nous entendre!
Bienvenue
Bienvenue
Ven 31 Jan 2020 - 22:38
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Nationalité : Amethien
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Tu es donc validé
Tu as la possibilité de créer ton carnet de bal désormais ou encore de proposer des pv si tu en as besoin !
Si tu ne l'as pas fait, peux-tu remplir ton profil correctement s'il te plait?
Pas la peine de passer dans les registres puisque nous les mettrons obligatoirement à jour en te validant, top non ? Mais si jamais tu as besoin de nous communiquer quoi que ce soit, cette partie du forum fera certainement ton bonheur !
Maintenant tu as toutes tes clés en mains pour jouer, n’oublies pas, pour la bonne harmonie du forum, que quand tu as finis un rp, il faut passer par ici! En attendant et bien va comploter !
Que [NOM DU DIEU] veille sur toi !
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