Les Chroniques d'Ambrosia - RPG 18+
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Informations

Les chroniques d’Ambrosia est un univers rpg Steampunk/Victorien, interdit aux moins de 18 ans, aux avatars réels en 400*250 px et qui ne vous demandera aucunminimum de ligne, ni d’activité. Notre forum a été ouvert le 22/01/2017 et fête ses 6 ans. Il est une création originale de Carmina et Valcret. Les Chroniques d’Ambrosiaest un forum rpg d’intrigues politiques et religieuses dans un univers semi-fantastique.

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ALISTER Rose
ft. Anne Hathaway de lES Misérable
surmon: : La Favorite  de Madame
Âge : 25
Metier : Serveuse
Nationalité et origines : Ambrosienne
Célibataire : Célibataire(ve)
Culte : karos
Orientation sexuelle :Bi
Groupe :Peuple
Carnation : Blanche
Taille : 1,73
Corpulence : Fine
Cheveux : Cheveux long, Brune
Yeux : Marron
Signe(s) distinctif(s) :Tatouage un R signifiant Richard le prénom de son pére adoptif
Caractère :Mon enfance à été très difficile à l'orphelinat, les autres enfants non pas été tendre avec moi, j'ai servi de défouloir, il m'a donc fallut beaucoup de persévérance pour arriver à supporter tous sa. Une fois adopter, je pensais que tous ceux-là allaient être loin derrière moi, mais malheureusement mon père et mon frère on continue à me maltraiter, il m'a fallut beaucoup de courage pour continuer malgré tout.

Je suis une jeune femme qui est coquette et délicate, car mon beau-père, me demandait d'être à son goût, et surtout lors des soirées qu'il organisait ses amis, avec le temps j'ai appris à aimer prendre soin de moi, je passe donc un long moment devant mon miroir à me maquiller, à me maquiller me coiffer mais aussi à me regarder si mes habits sont bien en concordances

En dépit de ce que mon beau père me faisait subir, je lui étais dévouée, et me sentait redevable malgré tous de m’avoir sortie de l’orphelinat, il me fallait être discrète, car il me traitait plus qu’une servante, et me demandait de reste en retrait de ne pas me montre, car il savait très bien que se qu’il faisait était, contre la loi d’Ambrosia, avec le recule je me suis aperçu que cela était de l’esclavage.

Par dessus tout je gardais mon enthousiasme, et profitais des moindres petits temps de liberté pour profiter des bons moments que je pouvais passer. Le temps passe, je ne voulais surtout pas perdre espoir qu’un jour je pourrais avoir une vie meilleure et partir de ce calvaire.

Tout cela ma fait perdre confiance en moi et  je le considérais vraiment comme mon père, il m’a traitée comme une moins que rien, il m’a donné à ses amis, il m’a trainée dans la rue ce qui fait que je n’ai plus confiance envers les hommes voir une peur.
Histoire :Je m'appelle Rose Allister et voici mon histoire :

A l'âge de 3 ans, j'ai été abandonnée sur les marches de l’orphelinat d'Ambrosia.

Les seules choses que je me souvienne de cet abandon, c'est qu'il faisait froid. Il y avait de la neige partout,  j'étais avec une femme dans un costume gris souris, qui était très triste, des grosses larmes coulaient sur son visage, elle me prit dans ses bras et me dit "qu'elle m'aimait et qu'elle ne m’oublierait jamais" puis un homme monta les marches de l’orphelinat.

Cet homme avait un visage plutôt sévère et strict, il appuya sur la sonnette de l’orphelinat, prit la main de cette femme pour la tirer vers lui, pendant qu’elle étrennait et me dit, ils vont bien s'occuper de toi  ici, je suis désolée. Je sens les larmes coulées le long de mon visage, j’ai crié «  MAMAN », et d'avoir serré le plus fort que je pouvais ma poupée en chiffon que j’avais dans les bras.

Je les regardais s'éloigner, puis la porte s’ouvrir, deux femmes passèrent la porte. L’une d’elles avait un visage doux, l'autre un visage très sec, très sévère, elle me faisait peur. La plus douce me prit dans ses bras et me fit rentrer, elle s'occupa de moi, me réchauffa, me donna une  bonne douche bien chaude, m’habilla de vêtements chauds. Cette dame me conduisit à la cuisine, elle me donna un bol de lait  chaud, m’accompagna aux dortoirs, une grande pièce avec beaucoup de lits où d autres enfants étaient couchés, j'avais très peurs je me mis au lit et ne bougeai plus.

Ce fut la première nuit passer dans l’orphelinat.

Il y en eut bien d'autres, les jours passaient et se ressemblaient, la seule chose  qui changeait c’était les brimades de mes camarades, tout un groupe de filles qui m'avait pris en grippes,  elle me traînait par les cheveux, me frappais et me volait.

Un jour un homme est venu à l’orphelinat et à demander à voir plusieurs filles dont moi, il avait l'air gentil, il m’a posé plein de questions, puis s'est entretenu, avec Miss Becy , cette femme si sévère et si méchante,  ils sont convenue de mon adoption après avoir donné une grosse sommes d'argent à la directrice.

L'homme est revenue quelques jours plus tard me chercher, ma ramener chez lui.

Ce n’était pas une grande maison, mais il y avait assez de place pour que trois personnes puissent y vivre, il y avait un garçon qui était plus âgé que moi. L’homme qui m’avait adopté m’installât  dans une chambre à l’étage, il m’expliqua les règles de cette maison : «  interdiction de sortie sans l'avoir demandé, interdiction de faire du bruit, interdiction de courir partout » en somme je n’avais le droit en rien, juste rester tranquille dans ma chambre et de ne pas bouger.

Un jour, mon père me demanda de venir le voir dans le salon, il avait demandé à un tatoueur de venir. Mon père l’avait lui aussi grassement payer pour qu'il accepte de se déplacer jusqu’à notre domicile, que tout cela reste entre lui et mon père, il ma fait une marque sur le poignet un R majuscule comme son prénom Richard.

Mon père me dit qu'il a fait ça pour que je me souvienne toujours que c'est mon père adoptif, donc je lui appartenais, je donnai mon poignet au tatoueur, je ne dis rien  et me laissai faire, cela était un peu douloureux, mais je ne voulais pas lui montrer que j'avais mal.

Plus les années passaient, et plus je vis le comportement de mon beau père changer. Etait ce par jalousie ? Par ma beauté ? je n’ai jamais vraiment que le pourquoi ce que qu’il se prêtait à faire.

J’avais maintenant 18 ans, j'étais devenue une vraie petite femme d’intérieure, je faisais le ménage, les repas, mettre la table la débarrasser,  la vaisselle,  le linge, le repassage, en somme je faisais tout, pendant que les hommes se prélassaient. Dans mes nouvelles attributions, je devais aussi aller faire les courses mais j’avais le droit de sortir quand présence de mon frère, d’ailleurs il m’arrivait quelquefois, quand mon frère discutait avec ses amis, de m’éloigner quelques secondes  et de m’aventurer dans les rues où je n'avais pas le droit d'aller, là de belle jeune femmes en tenue affriolante, parcourait le trottoir en interpellant les passants,  cela m' intriguait.

Ce jour là n'ayant pas fait attention, je me fis pincer par mon frère, qui me « dit tien te voila toi je te cherchais partout,  tu na pas le droit d'être ici, ici ce sont les putes, ça t’intrigue hein, bien un jour toi aussi tu viendras ici et tu en seras une ».

Je ne comprenais pas ce qu'il voulait dire et qu'est que c'était une pute ? à son retour il n'hésita pas à tous cafter à notre père. Tien j’ai retrouvé Rose dans la rue des péripatéticiennes, il se mit à rire, mon père lui dit , »bah elle va apprendre à savoir très vite se qu’est ce, demain nous avons une fête avec tous nos amis,  voila une bonne belle occasion de commencer à l’initier, et ça verra plaisir à nos amis ».

Le lendemain, tous les amis de mon père et de mon frère étaient réuni chez nous,  j’ai faits le service durant toute la soirée, puis une fois tout le monde passer au salon débarrasser la table et faire la vaisselle, j’avais eu le temps pendant le repas de grignoter quelques petites choses par ci par la dans la cuisine, je pensais avoir finies mes corvées pour aller me coucher.

Quand mon frère vainc me chercher car mon père me demandait. Je rentrais dans le salon on tout le monde était installé avec un verre de Brandy et un cigare,  mon père me dit" tien tu vas emmener ce jeune homme dans ta chambre, et tu fais ce qu’il te dit et tu te laisse faire , car si j’apprends que cela n'est pas le cas, tu seras punie".

Je le fis monter dans ma chambre, il ferma la porte à clés et commença à s'approcher de moi, il me caressa, la joue, j'avais peur je tremblais, il me dit «  n'est pas peur ». À force avec le temps cela ne me faisait plus rien, je restais passive sur le lit en attendant qu'il est fini, mon père avait fait de moi une traîner, mais sa je l'apprenais bien plus tard, d’autant plus que si j’étais resté encore à la maison c’est que mon père savait très bien qu’il était hors juridiction, hélas je ne le savais pas, tous profiteurs qu’ils étaient aucuns n’a eu pitié que de le signaler aux autorités. Malgré moi j’étais devenu une putain.

Ce petit jeu dura encore une bonne paire année, puis arriver à l'âge de mes 20 ans, il m'annonça que non seulement je continuerais à faire plaisir à ses amis et à ceux de mon frère. En plus j'irais dans la rue pour chercher d'autres personnes et que ces personnes la  me pailleront. Comme je ne pouvais pas faire cela chez lui, ni dans la rue, mon père m'avait, loué une petite chambre.

Dans un premier temps cela fut très dur pour moi, de me retrouver toute seule dans la rue même si mon frère était parfois là et veillait sur moi. Il repoussait les hommes trop ivre ou violent. J'avais pris conscience très vite ce que je fessais était la même chose, que ses femmes que j'avais quand été plus jeune, donc j'étais devenue moi-même une pute.

Les autres vielles prostituées n’étaient pas très tendres avec moi seule deux ou trois jeunes femmes m'avais pris en sympathie et veillais sur moi, le soir je rentrais chez moi fatiguer et lasse. Je mangeais vite fait quelques petites choses, aller vite prendre une douche et allais me coucher. Le moment que je redoutais le plus était celui où je devais passer devant mon père pour lui donner ma recette du jour, car si elle n'était pas bonne je me prenais des coups de ceinture.

J'avais maintenant 23 ans, mais j'avais une grande tristesse et une grande lassitude, le seul moment ou je regagnais un peu d’espoir c'est quand cette femme passait devant moi, c’était une très belle femme, très bien habiller. Elle passait devant moi elle me souriait toujours, elle avait un visage très doux, je l'admirais. Je me disais que le jour où j'arriverais à me sortir de toutcela je voudrais lui ressembler, je ne s'avais pas encore que cette très belle femme était la tenancière d'un bordel.


Un jour cette jolie femme s'approcha de moi et me demanda mon prénom, je lui répondis avec un grand sourire, elle se pressente, « je m'appelle Sarah » elle m'invita à aller boire quelque chose de chaud au café. Je ne savais pas si je pouvais y aller, car pendant ce temps je ne gagnais pas d'argent, si mon père ou mon frère passait et ne me voyais pas là je risquais de me prendre encore une sacrée trempe.

J’ai accepté malgré tous car que chose dans mon for intérieur me disait qu'il fallait y aller. Nous prenons place à l'intérieure, elle me posa de nombreuses questions, je n'osais pas lui répondre puis avec le temps elle  me rassura, je lui racontai mon histoire, elle m'expliqua qu'elle avait un établissement où des jeunes femmes faisaient le même travail que je faisais. Ce qu'on appelait un bordel, mais qu'elle veillait sur elle. Elle me proposa que je vienne avec elle, mais pas pour y travailler comme prostituer mais comme serveuse, car il y avait un bar, et que je serais en sécurité et que plus jamais un homme ne me toucherais.

Je lui expliquai que je ne pouvais pas, mon père était violent avec moi, que j'allais vers de très gros problème. Elle me rassura en me disant que je ne pouvais pas continuer à faire sa et qu’avec elle je ne craignais rien, « je vais t’emmène chez moi » et je lui dis  « et pour mes affaires ? »

Elle me répondit que « Tu en as pas besoin, je tachèterais tout ce dont tu auras besoin" elle paya ce qu'elle devait. Elle demanda a une serveuse s’il y avait une porte qui donnait derrière, elle le lui montra la porte derrière. Nous nous sommes levé et nous sortîmes par la porte au fond de la salle, cette porte donnait dans une petite ruelle, il y avait personne.

Nous rentons chez elle, elle me dit « te voila en sécurité et cela devient ton nouveau chez toi «  j'avais encore les jambes qui tremblaient. Sarah me montra ma nouvelle chambre, elle me dit que je pouvais me doucher et me reposer le temps nécessaire.  Durant ce temps elle prépara le repas, je pris une douche et me couchai sur le lit, je m'endormis très vite, je me réveillai que le lendemain soir, car j'étais très fatigué. Sarah me laissa me reposer encore quelques jours de plus, une fois remise en forme Sarah, ma apprit le métier de serveuse, ma nouvelle vie commença.
Divers : Je fais partis des enfants du scandale des ventes. Elle a peur que son père et son frère la retrouvent. Des mauvaises langues disent je déteste les hommes, et une rumeur court que je suis la  putain et favorite de Madame Vialanni. Pour que Madame Vialanni soit protégée juridiquement elle me donna une carte de prostitution en promettant que Rose ne s'en servira jamais.  
Date de naissance : 03 janvier 1975
Double compte :non
Où nous as-tu trouvé? :par une amie
Commentaire : ...


Dernière édition par Rose Alister le Mar 14 Mar 2017 - 14:17, édité 25 fois
Lilith de Choiseul
Impératrice de vapeur
Lilith de Choiseul
Nationalité : Ambrosienne
Messages : 4234
Date d'inscription : 14/01/2017
Bienvenue Rose!
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Coucou ma chérie contente de te voir ici.
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Bien le bonjour, jeune demoiselle...

...soyez la bienvenue parmi les doux-dingues.
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Everard Zullheimer
Nationalité : Amethien
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
Bonjour ! Sois la bienvenue !

Je ne savais pas que les vices et délices étaient un bar, pour avoir des serveuses :p

Avant même que ta fiche n'avance, je vais devoir te demander de changer de surnom, la favorite étant un titre de cour donné à Hélène de Valene, peut être pourrais tu préciser alors, "La favorite de madame" ?

Une marque au fer rouge n'est pas anodine, je te conseille de faire attention en la justifiant Wink

Bon courage pour ta fiche !
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Monsieur Zullheimer faudrait il que vous passiez nous rendre visite, je sais accueillir mes clients comme il se doit, j'ai refait la maison à mon gout, j'aime le luxe que voulez vous.
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Everard Zullheimer
Nationalité : Amethien
Messages : 1566
Date d'inscription : 14/04/2016
je ne me rends pas dans un lieu de luxure... j'ai des standings un peu plus élevés et une furieuse envie de ne pas attraper la chaude pisse ou la syphilis.... :p

J'ai juste toujours trouvé drôle qu'on embauche une fille qui pupute pas dans une maison close ! Après rien ne l'empêche, mais si jamais je devais aller dans un lupanar, ce ne serait pas pour reluquer une simple serveuse quand je peux avoir une fille sur chaque genou ! :p
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Bienvenue Rose, et bonne chance pour la rédaction de ta fiche.
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Rien de tel dans mon établissement mes filles sont correctes. A chacun son standing mais Rose est a moi, on regarde on ne touche pas. Si vous desirez deux filles peuvent s occuper de vous mon cher.
Everard Zullheimer
Premier serviteur d'Ameth en Ambrosia
Everard Zullheimer
Nationalité : Amethien
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Date d'inscription : 14/04/2016
Ah en fait la seule cliente de rose, c'est sa patronne... c'est pas anti-business ? :p
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